Après la période 2019-2024, l’Association des Professionnels de l’Ingénieur Conseil du Sénégal (APICS) a tenu son Assemblée Générale Ordinaire ce samedi. L'événement, destiné à élargir ses rangs, est ouvert aux cabinets d’ingénieurs conseils sénégalais non encore membres. Deux points majeurs ont été à l'ordre du jour : la présentation des rapports d'activités et le renouvellement du bureau qui a enregistré l’élection de Ibrahima Diaw en remplacement de Mamadou Daffé. Bien sûre, il faut laisser la place au jeunes dans un contexte de changement de régime. Après 20 ans de résilience, le travail de l’ingénierie conseil doit désormais s’adapter aux réalités mais toujours, comme l’a précisé le nouveau président de l’APICS, « s’engager vers la consolidation de l’expertise local ». Ibrahima Diaw a rappelé que le secteur doit être assaini et à plusieurs niveaux, et il est maintenant question d’interpeller les nouvelles autorités sur les textes à revoir pour le fonctionnement du secteur d’ingénierie conseil ainsi à son accompagnement pour accomplir ses missions.
En effet, les activités des entreprises sénégalaises de génie conseil (EGC) remontent aux années 1974 avec la création de la Société Nationale des Études de Développement (SONED) par le Ministère du Plan. Depuis lors, le nombre de cabinets d'ingénieurs conseils sénégalais a considérablement augmenté. Aujourd'hui, ils sont plus d'une centaine à intervenir dans divers secteurs d'activité, dont l'agriculture, l'hydraulique, l'environnement, les infrastructures et l'énergie.
Créée en 2000, l’APICS a pour vocation de défendre les intérêts communs des (entreprises d’ingénierie conseil) EGC sénégalaises. Elle constitue une plateforme d’échange d’expériences, permettant aux cabinets de mutualiser leurs efforts pour résoudre les problèmes, relever les défis et renforcer leurs capacités respectives. Malgré leur rôle crucial, les EGC ont longtemps été marginalisées par les autorités étatiques, souvent reléguées au rôle de sous traitants au profit de cabinets internationaux. Avant 2024, les EGC peinaient à accéder à la commande publique, subissant une concurrence déloyale de la part de cabinets étrangers favorisés par des mécanismes de financements bilatéraux et multilatéraux. Les autorités semblaient sous-estimer l'importance de l'expertise nationale, exacerbant les difficultés des EGC avec une pression fiscale élevée et des délais de paiement longs.
En retour, elles s'engagent à exécuter les projets qui leur seront confiés avec responsabilité, contribuant ainsi à la création de richesses, d'emplois et à la croissance économique du pays. Elles appellent à une collaboration étroite avec l'Administration pour améliorer leurs conditions d'accès à la commande publique et pour la reconnaissance officielle de l'Ordre des Ingénieurs Conseils du Sénégal (OICS).
En effet, les activités des entreprises sénégalaises de génie conseil (EGC) remontent aux années 1974 avec la création de la Société Nationale des Études de Développement (SONED) par le Ministère du Plan. Depuis lors, le nombre de cabinets d'ingénieurs conseils sénégalais a considérablement augmenté. Aujourd'hui, ils sont plus d'une centaine à intervenir dans divers secteurs d'activité, dont l'agriculture, l'hydraulique, l'environnement, les infrastructures et l'énergie.
Créée en 2000, l’APICS a pour vocation de défendre les intérêts communs des (entreprises d’ingénierie conseil) EGC sénégalaises. Elle constitue une plateforme d’échange d’expériences, permettant aux cabinets de mutualiser leurs efforts pour résoudre les problèmes, relever les défis et renforcer leurs capacités respectives. Malgré leur rôle crucial, les EGC ont longtemps été marginalisées par les autorités étatiques, souvent reléguées au rôle de sous traitants au profit de cabinets internationaux. Avant 2024, les EGC peinaient à accéder à la commande publique, subissant une concurrence déloyale de la part de cabinets étrangers favorisés par des mécanismes de financements bilatéraux et multilatéraux. Les autorités semblaient sous-estimer l'importance de l'expertise nationale, exacerbant les difficultés des EGC avec une pression fiscale élevée et des délais de paiement longs.
En retour, elles s'engagent à exécuter les projets qui leur seront confiés avec responsabilité, contribuant ainsi à la création de richesses, d'emplois et à la croissance économique du pays. Elles appellent à une collaboration étroite avec l'Administration pour améliorer leurs conditions d'accès à la commande publique et pour la reconnaissance officielle de l'Ordre des Ingénieurs Conseils du Sénégal (OICS).
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