Le Réseau National des femmes travailleuses du Sénégal (Rénafes), en partenariat avec PRB (Population Référence Bureau) et CREG (Consortium Régional Génératio nnel) a organisé un atelier, ce jeudi 1er Août 2024 à la fondation Friedrich Ebert. Placé sous le thème « Concertation de haut niveau avec la société civile sur le travail domestique non rémunéré ». Cette rencontre entre dans le cadre du projet Counting Women’s Work. L' objectif est de sensibiliser et d’informer les organisations de la société civile sénégalaise sur l’importance du travail domestique non rémunéré, son impact sur l’économie nationale, ainsi que sur la réalisation du dividende démographique, afin de susciter un débat informé et constructif.
Selon la directrice de l’équité et de l’égalité de genre au ministère de la Famille et de solidarité, Astou Diouf Guèye, cette concertation regroupant le CREG, le PRB et le RENAFES intéresse beaucoup d’aspects, en particulier le travail domestique non rémunéré. Mais, le principal objectif est de pouvoir jeter les bases d’un dialogue politique autour d’une thématique qui intéresse le progrès social, le bien-être, mais aussi l’économie de manière générale. Au sein de cette problématique, on y trouve des aspects qui touchent les questions d’égalité, les rapports hommes/femmes entre autres lien… Ce qui justifie la présence du ministère de la famille à travers la direction de l’équité, de l’égalité de genre pour mener cette concertation en coopération avec les acteurs.
Les résultats attendus sont une meilleure compréhension de l’importance du travail domestique non rémunéré et de son impact sur l’économie et la société sénégalaise, des discussions constructives sur les politiques et les actions à entreprendre pour reconnaître et réduire la charge du travail domestique non rémunéré, un renforcement des capacités des membres de la société civile pour qu’ils puissent participer activement au plaidoyer en faveur de politiques sensibles au genre et visant à valoriser le travail domestique non rémunéré.
En réalité, une étude menée par l’ANSD a révélé que les femmes utilisent 21h/jour de leur temps journalier contre les hommes qui en font 8%. En conséquence, les femmes n’ont pas assez de temps pour mener des activités économiques.
En se rapportant à Fatoumata Binetou Yaffa, présidente de RENAFES, l’intérêt est de partager l’étude menée par le CREG et PRB pour une réflexion afin de poser le véritable débat : celle des femmes au foyer. Ainsi, l’organisatrice plaide pour un travail reconnu et valorisé pour une contribution dans l’économie du pays. D’où l’importance capitale de ces débats interactifs qui méritent d’être posés à la population. Une manière de promouvoir la masculinité positive et la stabilité des couples dans le ménage. Toutefois, elle invite l’État à introduire le travail domestique non rémunéré dans les objectifs de la politique familiale.
Selon la directrice de l’équité et de l’égalité de genre au ministère de la Famille et de solidarité, Astou Diouf Guèye, cette concertation regroupant le CREG, le PRB et le RENAFES intéresse beaucoup d’aspects, en particulier le travail domestique non rémunéré. Mais, le principal objectif est de pouvoir jeter les bases d’un dialogue politique autour d’une thématique qui intéresse le progrès social, le bien-être, mais aussi l’économie de manière générale. Au sein de cette problématique, on y trouve des aspects qui touchent les questions d’égalité, les rapports hommes/femmes entre autres lien… Ce qui justifie la présence du ministère de la famille à travers la direction de l’équité, de l’égalité de genre pour mener cette concertation en coopération avec les acteurs.
Les résultats attendus sont une meilleure compréhension de l’importance du travail domestique non rémunéré et de son impact sur l’économie et la société sénégalaise, des discussions constructives sur les politiques et les actions à entreprendre pour reconnaître et réduire la charge du travail domestique non rémunéré, un renforcement des capacités des membres de la société civile pour qu’ils puissent participer activement au plaidoyer en faveur de politiques sensibles au genre et visant à valoriser le travail domestique non rémunéré.
En réalité, une étude menée par l’ANSD a révélé que les femmes utilisent 21h/jour de leur temps journalier contre les hommes qui en font 8%. En conséquence, les femmes n’ont pas assez de temps pour mener des activités économiques.
En se rapportant à Fatoumata Binetou Yaffa, présidente de RENAFES, l’intérêt est de partager l’étude menée par le CREG et PRB pour une réflexion afin de poser le véritable débat : celle des femmes au foyer. Ainsi, l’organisatrice plaide pour un travail reconnu et valorisé pour une contribution dans l’économie du pays. D’où l’importance capitale de ces débats interactifs qui méritent d’être posés à la population. Une manière de promouvoir la masculinité positive et la stabilité des couples dans le ménage. Toutefois, elle invite l’État à introduire le travail domestique non rémunéré dans les objectifs de la politique familiale.
Des formules et des stratégies seront mises en place avec les organisations de la société civile pour une bonne communication.
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