Prenant la parole, M. Aly Nar Diop, du bureau d'Intelligence Prospective Économique a répondu à la question soulevée par l’Unacois sur le secteur informel. Évalué à 3.500.000 entreprises individuelles au Sénégal, il est le premier bassin de l’entreprise au Sénégal. Selon l’expert, pour atteindre l’objectif ou pour que le Sénégal soit au même niveau que les autres pays comme le Maroc, Singapour, comme l’a souligné le premier ministre, il faudrait puiser dans ce bassin de 500 entreprises ou 700 entreprises pour 10.000 habitants pour asseoir véritablement des entreprises très solides. Si l’on se fie à ses propos, le Sénégal dispose de l’initiative et de la liberté économique parce que seul 10% ou moins de 10% sont des entreprises formelles contre 97% des entreprises informels qui bénéficient de toute la liberté pour l’entrepreneuriat. L’autre point, c’est une administration performante beaucoup plus opérationnelle, car il va falloir réformer l’Etat en profondeur.
Par contre, pour Aly Nar Diop, l'agriculture reste la clé du développement car pour qu'une économie soit en marche, il faut nourrir la population à bas coût. La Chine en est l’exemple illustratif. Il en est de même, pour le secteur de l’énergie, pour le tourisme qui sont des moteurs de croissance. Au-delà de ces points, il y’a aussi l’aspect du textile. Il affirme que développer l’industrie du textile, c’est en même temps accompagner 500.000 travailleurs. Et, pour y parvenir, il faut une modernisation de ce secteur pour mieux les accompagner à ce que la matière première soit disponible en valorisant ces employés pour la création de la richesse locale.
Par contre, pour Aly Nar Diop, l'agriculture reste la clé du développement car pour qu'une économie soit en marche, il faut nourrir la population à bas coût. La Chine en est l’exemple illustratif. Il en est de même, pour le secteur de l’énergie, pour le tourisme qui sont des moteurs de croissance. Au-delà de ces points, il y’a aussi l’aspect du textile. Il affirme que développer l’industrie du textile, c’est en même temps accompagner 500.000 travailleurs. Et, pour y parvenir, il faut une modernisation de ce secteur pour mieux les accompagner à ce que la matière première soit disponible en valorisant ces employés pour la création de la richesse locale.
Autres articles
-
Querelles entre journalistes des médias : "Ce que l'on voit ces dernières années, ne nous honore pas..." (Mamadou Thior)
-
Sécurité renforcée pour les deux-roues : Des mesures fermes, mais bien accueillies
-
Saly: Les pétards brûlent l'hôtel Espadon ...
-
Discours à la nation / le décryptage froid de Zahra Iyane Thiam : « Que des contradictions, une absence de l’économie et une allégeance au PM! »
-
Appel à candidature : le chef de l’État annonce le lancement de la plateforme « Ligueyal Sa Réw » au courant du premier trimestre 2025.