DAKARACTU.COM Au cours de leur séminaire d'hier 17 septembre, les partis et organisations membres des coalitions Bennoo Siggil Senegaal (BSS) et Bennoo Alternative 2012 se sont penchés sur la transition à mettre en place après Abdoulaye Wade, mais aussi sur les critères pour être membre du groupe qui va gouverner le Sénégal et pour être le candidat de l'unité et du rassemblement.
La durée de la transition a été allongée de 3 à 5 ans, conformément au souhait de la population. Au grand dam du Parti de l'indépendance et du travail (PIT), qui estime qu'il faut s'en tenir à la durée initiale de 3 ans fixée d'accord parties, et du mouvement Tekki qui assimile le revirement à du "Wakh wakheet". La durée de 5 ans a été adoptée, dont 3 ans consacrés aux réformes pour remettre le pays sur les rails.
Sur la question de la candidature, Robert Sagna, qui dirigeait les débats, a estimé qu'il fallait trouver des convergences avec l'Alliance pour la République (APR) de Macky Sall, favorable à une candidature plurielle qui peut être utile en prenant des voix à la famille libérale. L'APR s'en est réjouie et a réaffirmé sa position, rejointe par Cheikh Bamba Dièye du FSD/BJ qui redit son ancrage dans BSS et se déclare candidat à la candidature.
Sur les critères pour être le candidat de l'unité et du rassemblement, le Parti socialiste (PS) a insisté et obtenu qu'on y ajoute le critère de représentativité. Et pour une raison simple : le PS est, au vu de la dernière présidentielle, la force la plus représentative de BSS.
Un "groupe de facilitation" a été mis en place pour désigner le futur candidat. La question reste entière.
La durée de la transition a été allongée de 3 à 5 ans, conformément au souhait de la population. Au grand dam du Parti de l'indépendance et du travail (PIT), qui estime qu'il faut s'en tenir à la durée initiale de 3 ans fixée d'accord parties, et du mouvement Tekki qui assimile le revirement à du "Wakh wakheet". La durée de 5 ans a été adoptée, dont 3 ans consacrés aux réformes pour remettre le pays sur les rails.
Sur la question de la candidature, Robert Sagna, qui dirigeait les débats, a estimé qu'il fallait trouver des convergences avec l'Alliance pour la République (APR) de Macky Sall, favorable à une candidature plurielle qui peut être utile en prenant des voix à la famille libérale. L'APR s'en est réjouie et a réaffirmé sa position, rejointe par Cheikh Bamba Dièye du FSD/BJ qui redit son ancrage dans BSS et se déclare candidat à la candidature.
Sur les critères pour être le candidat de l'unité et du rassemblement, le Parti socialiste (PS) a insisté et obtenu qu'on y ajoute le critère de représentativité. Et pour une raison simple : le PS est, au vu de la dernière présidentielle, la force la plus représentative de BSS.
Un "groupe de facilitation" a été mis en place pour désigner le futur candidat. La question reste entière.
Autres articles
-
Laser du lundi : Macky et Aliou Sall ont fort à faire entre l’amorce de la pompe à désagréments et la fermeture des vannes (Par Babacar Justin Ndiaye)
-
Laser du lundi : Ebullition au Sénégal, élection en Mauritanie et dislocation en cours au Mali (Par Babacar Justin Ndiaye)
-
Farba Ngom et Yakham Mbaye sont les voltigeurs de tête de Macky Sall (Par Babacar Justin Ndiaye)
-
Laser du lundi : Pourquoi le Sénégal s’installe dans la gouvernance émaillée de heurts et teintée de haine ? (Par Babacar Justin Ndiaye)
-
Laser du lundi : Les imprudences d’Aliou Sall et les erreurs de Macky Sall sont plus dévastatrices que les bazookas de l’opposition radicale (Par Babacar Justin Ndiaye)