DAKARACTU.COM Ce dimanche 25 septembre n'a pas été de tout repos pour le chef de l'Etat, Abdoulaye Wade, et ses proches. Wade a reçu au palais beaucoup de dignitaires de son régime : le Premier ministre, Souleymane Ndéné Ndiaye, le président du Sénat, Pape Diop, son alter ego de l'Assemblée nationale, Mamadou Seck, et bien d'autres personnalités.
Au menu de l'entretien du président avec ses hôtes, l'idée d'un remaniement ministériel pour recentrer le gouvernement sur la famille libérale, renforcer les militants historiques du Parti démocratique sénégalais (PDS, au pouvoir), resserrer les rangs en vue de l'échéance électorale de février 2012.
Abdoulaye Wade s'est laissé convaincre par les radicaux de son entourage que seul un PDS fort peut le faire gagner sans qu'il ait besoin de l'aide de personne. Le chef de l'Etat est même acquis à l'idée que les transhumants aujourd'hui dans le gouvernement ne peuvent lui attirer que des ennuis. D'autant qu'il soupçonne certains d'entre eux d'être des taupes de ses adversaires, vu le nombre d'informations confidentielles qui fuitent. Il faut dire, à sa décharge, qu'il a toujours été méfiant vis-à-vis de certains. Il est resté, par exemple, longtemps hésitant, de même que son fils Karim Wade, avant de nommer Abdoulaye Makhtar Diop, un transfuge de l'ancien parti au pouvoir, dans le gouvernement.
Sauf changement de dernière minute donc, Abdoulaye Wade devrait donc remanier son gouvernement dans les jours à venir.
Au menu de l'entretien du président avec ses hôtes, l'idée d'un remaniement ministériel pour recentrer le gouvernement sur la famille libérale, renforcer les militants historiques du Parti démocratique sénégalais (PDS, au pouvoir), resserrer les rangs en vue de l'échéance électorale de février 2012.
Abdoulaye Wade s'est laissé convaincre par les radicaux de son entourage que seul un PDS fort peut le faire gagner sans qu'il ait besoin de l'aide de personne. Le chef de l'Etat est même acquis à l'idée que les transhumants aujourd'hui dans le gouvernement ne peuvent lui attirer que des ennuis. D'autant qu'il soupçonne certains d'entre eux d'être des taupes de ses adversaires, vu le nombre d'informations confidentielles qui fuitent. Il faut dire, à sa décharge, qu'il a toujours été méfiant vis-à-vis de certains. Il est resté, par exemple, longtemps hésitant, de même que son fils Karim Wade, avant de nommer Abdoulaye Makhtar Diop, un transfuge de l'ancien parti au pouvoir, dans le gouvernement.
Sauf changement de dernière minute donc, Abdoulaye Wade devrait donc remanier son gouvernement dans les jours à venir.
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