Le SEP de BBY se félicite du bon déroulement du scrutin du 24 février 2019 reconnu par les milliers d'observateurs nationaux comme étrangers, au cours duquel les citoyens ont accompli dans la paix et la sérénité leur devoir civique afin d'exprimer leur souveraine volonté de se choisir un Président de la République pour les cinq (5) années à venir.
Le SEP salue avec déférence l'exemplarité de la maturité du peuple sénégalais qui vient de démontrer encore une fois à la face du monde son sens élevé de la démocratie, malgré la campagne d'intoxication et les appels au boycott et à l'insurrection lancés par des franges de l'opposition revancharde.
Les premiers résultats parvenus à notre directoire de campagne donnent une tendance forte à une participation massive (plus de 60%) de l'électorat sénégalais sur le territoire et dans la diaspora, exprimant ainsi son rejet radical du mot d'ordre de boycott émis par l'ancien président de la République dont la seule obsession est de faire gouverner ce pays par son fils, même si c'est au prix de la destruction de celui-ci.
Par ailleurs, ces mêmes résultats traités et diffusés par les organes de presse indiquent de lourdes tendances qui, si elles étaient consolidées, pouvaient conduire à la victoire, dès le premier tour, de notre candidat Macky Sall. Elles se situaient le 24 février à 22h aux alentours de 49%.
Devant une telle situation, vers 22h 30, l'opposition paniquée par ces informations venant de la presse, ameute l'opinion, pour dénoncer, et menacer les organes de presse (TFM et 2STV,...) qui ont eu l'outrecuidance de publier de telles informations. Et dans la même foulée, elle annonce de manière péremptoire que le 2ème tour est inévitable, faisant ainsi entendre à l'opinion que le candidat Macky Sall n'avait pas atteint la barre des 51%.
Dès lors, il était tout à fait légitime et compréhensible que BBY relève le défi de la communication pour éclairer l'opinion sur les résultats qu'il détenaient. C'est pourquoi Mahammad Boun A.Dione, en sa qualité de porte parole du directoire, a indiqué vers 24h les tendances qui donnaient son candidat vainqueur avec 57% au moins.
Il est tout de même saisissant que l'opposition se donne le droit d'émettre son opinion sur l'état des résultats en sa possession, de proclamer qu'il y aura nécessairement un deuxième tour et refuse aux journalistes la possibilité d'en avoir leur lecture propre.
Le SEP s'indigne d'une telle démarche et dénonce avec la dernière énergie cette tentative d'intimidation des professionnels de l'information qui, depuis 2000, ont toujours communiqué les résultats affichés sur les lieux de vote et procédé à leur compilation pour révéler les tendances qu'ils dessinent.
Mais l'absurdité d'une telle posture de la part de l'opposition ne saurait étonner ceux qui ont suivi les différents comportements de celle-ci tout au long du processus électoral avec son refus de tout dialogue et son boycott de toutes concertations sur le processus ; tout cela articulé à une stratégie d'insurrection qui n'a jamais pu prospérer.
Aujourd'hui encore, alors que la juridiction habilitée n'a pas encore proclamé les résultats définitifs, la voilà qui s'agite dans tous les sens, accuse, menace la presse et tente d'accréditer l'idée d'un deuxième tour obligatoire, à travers la diffusion de "fake news", avant d'appeler les jeunes et les femmes à descendre dans la rue.
Ce faisant, l'opposition est entrée dans un processus de mise en œuvre de la troisième phase du plan ourdi depuis longtemps et annoncé depuis Versailles par Abdoulaye Wade qui avait clairement indiqué les différentes étapes de la contestation de l'élection : avant (empêcher sa tenue), pendant (brûler les cartes et les urnes) et après (contester les résultats dans la rue). Rappelons que c'est sur cette stratégie qu'il a entretenu les différents candidats et où leurs soutiens qu'il a reçus.
Le SEP appelle les populations à avoir une pleine conscience de la dangerosité d'une telle option irresponsable et antirépublicaine, à refuser de faire le jeu de l'opposition revancharde prête à brûler le pays pour ses ambitions propres, à rester sereine et attentive à la proclamation des résultats définitifs par le Conseil Constitutionnel, seule juridiction compétente en la matière.
Dakar, le 26 février 2019
Le SEP de BBY
Le SEP salue avec déférence l'exemplarité de la maturité du peuple sénégalais qui vient de démontrer encore une fois à la face du monde son sens élevé de la démocratie, malgré la campagne d'intoxication et les appels au boycott et à l'insurrection lancés par des franges de l'opposition revancharde.
Les premiers résultats parvenus à notre directoire de campagne donnent une tendance forte à une participation massive (plus de 60%) de l'électorat sénégalais sur le territoire et dans la diaspora, exprimant ainsi son rejet radical du mot d'ordre de boycott émis par l'ancien président de la République dont la seule obsession est de faire gouverner ce pays par son fils, même si c'est au prix de la destruction de celui-ci.
Par ailleurs, ces mêmes résultats traités et diffusés par les organes de presse indiquent de lourdes tendances qui, si elles étaient consolidées, pouvaient conduire à la victoire, dès le premier tour, de notre candidat Macky Sall. Elles se situaient le 24 février à 22h aux alentours de 49%.
Devant une telle situation, vers 22h 30, l'opposition paniquée par ces informations venant de la presse, ameute l'opinion, pour dénoncer, et menacer les organes de presse (TFM et 2STV,...) qui ont eu l'outrecuidance de publier de telles informations. Et dans la même foulée, elle annonce de manière péremptoire que le 2ème tour est inévitable, faisant ainsi entendre à l'opinion que le candidat Macky Sall n'avait pas atteint la barre des 51%.
Dès lors, il était tout à fait légitime et compréhensible que BBY relève le défi de la communication pour éclairer l'opinion sur les résultats qu'il détenaient. C'est pourquoi Mahammad Boun A.Dione, en sa qualité de porte parole du directoire, a indiqué vers 24h les tendances qui donnaient son candidat vainqueur avec 57% au moins.
Il est tout de même saisissant que l'opposition se donne le droit d'émettre son opinion sur l'état des résultats en sa possession, de proclamer qu'il y aura nécessairement un deuxième tour et refuse aux journalistes la possibilité d'en avoir leur lecture propre.
Le SEP s'indigne d'une telle démarche et dénonce avec la dernière énergie cette tentative d'intimidation des professionnels de l'information qui, depuis 2000, ont toujours communiqué les résultats affichés sur les lieux de vote et procédé à leur compilation pour révéler les tendances qu'ils dessinent.
Mais l'absurdité d'une telle posture de la part de l'opposition ne saurait étonner ceux qui ont suivi les différents comportements de celle-ci tout au long du processus électoral avec son refus de tout dialogue et son boycott de toutes concertations sur le processus ; tout cela articulé à une stratégie d'insurrection qui n'a jamais pu prospérer.
Aujourd'hui encore, alors que la juridiction habilitée n'a pas encore proclamé les résultats définitifs, la voilà qui s'agite dans tous les sens, accuse, menace la presse et tente d'accréditer l'idée d'un deuxième tour obligatoire, à travers la diffusion de "fake news", avant d'appeler les jeunes et les femmes à descendre dans la rue.
Ce faisant, l'opposition est entrée dans un processus de mise en œuvre de la troisième phase du plan ourdi depuis longtemps et annoncé depuis Versailles par Abdoulaye Wade qui avait clairement indiqué les différentes étapes de la contestation de l'élection : avant (empêcher sa tenue), pendant (brûler les cartes et les urnes) et après (contester les résultats dans la rue). Rappelons que c'est sur cette stratégie qu'il a entretenu les différents candidats et où leurs soutiens qu'il a reçus.
Le SEP appelle les populations à avoir une pleine conscience de la dangerosité d'une telle option irresponsable et antirépublicaine, à refuser de faire le jeu de l'opposition revancharde prête à brûler le pays pour ses ambitions propres, à rester sereine et attentive à la proclamation des résultats définitifs par le Conseil Constitutionnel, seule juridiction compétente en la matière.
Dakar, le 26 février 2019
Le SEP de BBY
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