Depuis quelque temps, une certaine presse compradore d'outre-Atlantique, apparemment en service commandé, distille des fake-news sur Air Sénégal S.A à l’effet de mettre du plomb dans l’aile de la nouvelle compagnie.
Pour preuve : il a été écrit au mois de mars dernier que Jérôme Maillet, le chargé de la stratégie et de l’investissement, est activement recherché par les autorités judiciaires de l’ex-Zaïre pour malversations présumées à Congo Airways. Le numéro 2 de Air Sénégal SA a même été accusé d’avoir fait couler la boite. Pourtant, les recoupements effectués par nos soins révèlent que Congo Airways, qui fait partie des 32 compagnies africaines admises dans la certification IOSA en juillet 2018 (Iata operational safety audit), affiche de bons résultats, en un temps-éclair.
Dakaractu a appris, de sources autorisées, qu’un consistant budget de guerre a été dégagé pour jeter le discrédit sur le pavillon national, dont les activités vont, à coup sûr, porter ombrage, sur la desserte Paris-Dakar, à de grandes compagnies, principalement Corsair International. En clair, ce groupe, qui est au bord de la faillite au point que son patron Pascal de Izaguirre cherche à le vendre, désespérément, est prédisposé à une vision tragique de son avenir depuis qu’il lui a été notifié, par l’autorité de l’aviation civile sénégalaise, de quitter la ligne au plus tard le 31 janvier 2019. Une décision d’autant plus embarrassante pour le Français que celui-ci jouit d’un taux de remplissage de 90 % sur cette desserte d’où il tire la plus grosse part de son chiffre d’affaires.
Comme pour mettre fin à ces manœuvres de déstabilisation qui empruntent leurs méthodes florentines aux hauts faits d’armes de la mafia sicilienne, le ministère des Transports Aériens et du Développement des Infrastructures aéroportuaires a sorti un communiqué pour souligner que les fréquences jusqu’ici mises à la disposition de Corsair ne peuvent être que la propriété du pavillon national, conformément aux accords bilatéraux, signés le 16 septembre 1974 et révisés le 20 septembre 2012, liant le Sénégal à la France. C’est à juste raison que Mme le ministre Maïmouna Ndoye Seck a précisé que Air Sénégal International usait de ce droit au moment de son exploitation.
Par contre, la question qu’on devrait se poser a trait au traitement royal réservé à Corsair International, qui est dispensé de verser des royalties au Sénégal, là où Royal Air Maroc libère chaque année plus de 3 millions d’euros à titre de compensation financière.
En définitive, Air Sénégal SA, malgré les cris d’orfraie de ses contempteurs, remplit toutes les conditions pour un bon décollage.
La compagnie, qui affecte de lancer ses vols régionaux en octobre 2018 avec des A319, en outre de bénéficier de la certification PEA, dispose d’une flotte digne de ses ambitions nationales et internationales, pour avoir démarré ses vols domestiques en avril dernier avec deux (02) ATR 72-600. Mieux, elle va acquérir deux A 330 NEO, respectivement en février et en juin 2019.
Pour preuve : il a été écrit au mois de mars dernier que Jérôme Maillet, le chargé de la stratégie et de l’investissement, est activement recherché par les autorités judiciaires de l’ex-Zaïre pour malversations présumées à Congo Airways. Le numéro 2 de Air Sénégal SA a même été accusé d’avoir fait couler la boite. Pourtant, les recoupements effectués par nos soins révèlent que Congo Airways, qui fait partie des 32 compagnies africaines admises dans la certification IOSA en juillet 2018 (Iata operational safety audit), affiche de bons résultats, en un temps-éclair.
Dakaractu a appris, de sources autorisées, qu’un consistant budget de guerre a été dégagé pour jeter le discrédit sur le pavillon national, dont les activités vont, à coup sûr, porter ombrage, sur la desserte Paris-Dakar, à de grandes compagnies, principalement Corsair International. En clair, ce groupe, qui est au bord de la faillite au point que son patron Pascal de Izaguirre cherche à le vendre, désespérément, est prédisposé à une vision tragique de son avenir depuis qu’il lui a été notifié, par l’autorité de l’aviation civile sénégalaise, de quitter la ligne au plus tard le 31 janvier 2019. Une décision d’autant plus embarrassante pour le Français que celui-ci jouit d’un taux de remplissage de 90 % sur cette desserte d’où il tire la plus grosse part de son chiffre d’affaires.
Comme pour mettre fin à ces manœuvres de déstabilisation qui empruntent leurs méthodes florentines aux hauts faits d’armes de la mafia sicilienne, le ministère des Transports Aériens et du Développement des Infrastructures aéroportuaires a sorti un communiqué pour souligner que les fréquences jusqu’ici mises à la disposition de Corsair ne peuvent être que la propriété du pavillon national, conformément aux accords bilatéraux, signés le 16 septembre 1974 et révisés le 20 septembre 2012, liant le Sénégal à la France. C’est à juste raison que Mme le ministre Maïmouna Ndoye Seck a précisé que Air Sénégal International usait de ce droit au moment de son exploitation.
Par contre, la question qu’on devrait se poser a trait au traitement royal réservé à Corsair International, qui est dispensé de verser des royalties au Sénégal, là où Royal Air Maroc libère chaque année plus de 3 millions d’euros à titre de compensation financière.
En définitive, Air Sénégal SA, malgré les cris d’orfraie de ses contempteurs, remplit toutes les conditions pour un bon décollage.
La compagnie, qui affecte de lancer ses vols régionaux en octobre 2018 avec des A319, en outre de bénéficier de la certification PEA, dispose d’une flotte digne de ses ambitions nationales et internationales, pour avoir démarré ses vols domestiques en avril dernier avec deux (02) ATR 72-600. Mieux, elle va acquérir deux A 330 NEO, respectivement en février et en juin 2019.
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