Je rends aujourd’hui hommage à un homme d’exception, un pilier de notre nation et un ami cher, Mamadou Moustapha Ba. Sa disparition est une perte inestimable pour notre pays, et elle laisse un vide que rien ne saurait combler pour tous ceux qui ont eu l’honneur de le connaître, de collaborer avec lui, ou simplement de bénéficier de sa présence.
Ancien ministre des Finances, Mamadou Moustapha Ba n’était pas seulement un serviteur de l’État ; il en était l’incarnation même, celui qui a su, tout au long de sa carrière, faire preuve d’un dévouement et d’une intégrité que peu de personnes peuvent égaler. Dans un domaine où la rigueur et la précision sont cruciales, il a su apporter une vision claire, des solutions solides et un souci constant du bien commun.
Mais au-delà du grand homme d’État, il y avait l’ami, celui avec qui j’ai eu le privilège de partager des instants précieux. Mamadou Moustapha Ba était un homme d’une rare sagesse, d’une humanité sincère, qui n’hésitait jamais à écouter, à conseiller, à épauler. Nos échanges étaient pour moi bien plus que de simples conversations ; ils étaient des leçons de vie, des moments d’inspiration. Son écoute bienveillante, sa compréhension profonde des défis humains et professionnels, et sa capacité à apaiser par des mots justes faisaient de lui un modèle et une source constante de motivation.
Je me souviendrai toujours de ces moments partagés, de son rire franc, de son humilité et de son optimisme inébranlable, même face aux plus grands défis. Mamadou Moustapha Ba avait cette force tranquille, cette capacité rare à se montrer ferme tout en restant ouvert aux autres, et à défendre ses valeurs avec dignité et respect. C’est cette force et cette bonté que nous pleurons aujourd’hui.
Son héritage, cependant, ne disparaîtra jamais. Il a laissé derrière lui des empreintes profondes, des valeurs fortes et un exemple de dévouement dont nous nous inspirerons tous. Nous avons perdu un homme qui a servi la nation avec tout son cœur, et son absence nous rappelle combien il était précieux pour notre société et pour chacun de nous.
Que Dieu l’accueille dans Son infinie miséricorde et que son âme repose en paix. Nous ne l’oublierons jamais, et son souvenir continuera de vivre dans nos cœurs et dans les valeurs qu’il nous a léguées. Adieu, cher ami. Que votre voyage vers l’au-delà soit aussi lumineux que la vie que vous avez menée parmi nous.
Serigne Abo Mbacké Thiam
Député de la 14e législature
Ancien ministre des Finances, Mamadou Moustapha Ba n’était pas seulement un serviteur de l’État ; il en était l’incarnation même, celui qui a su, tout au long de sa carrière, faire preuve d’un dévouement et d’une intégrité que peu de personnes peuvent égaler. Dans un domaine où la rigueur et la précision sont cruciales, il a su apporter une vision claire, des solutions solides et un souci constant du bien commun.
Mais au-delà du grand homme d’État, il y avait l’ami, celui avec qui j’ai eu le privilège de partager des instants précieux. Mamadou Moustapha Ba était un homme d’une rare sagesse, d’une humanité sincère, qui n’hésitait jamais à écouter, à conseiller, à épauler. Nos échanges étaient pour moi bien plus que de simples conversations ; ils étaient des leçons de vie, des moments d’inspiration. Son écoute bienveillante, sa compréhension profonde des défis humains et professionnels, et sa capacité à apaiser par des mots justes faisaient de lui un modèle et une source constante de motivation.
Je me souviendrai toujours de ces moments partagés, de son rire franc, de son humilité et de son optimisme inébranlable, même face aux plus grands défis. Mamadou Moustapha Ba avait cette force tranquille, cette capacité rare à se montrer ferme tout en restant ouvert aux autres, et à défendre ses valeurs avec dignité et respect. C’est cette force et cette bonté que nous pleurons aujourd’hui.
Son héritage, cependant, ne disparaîtra jamais. Il a laissé derrière lui des empreintes profondes, des valeurs fortes et un exemple de dévouement dont nous nous inspirerons tous. Nous avons perdu un homme qui a servi la nation avec tout son cœur, et son absence nous rappelle combien il était précieux pour notre société et pour chacun de nous.
Que Dieu l’accueille dans Son infinie miséricorde et que son âme repose en paix. Nous ne l’oublierons jamais, et son souvenir continuera de vivre dans nos cœurs et dans les valeurs qu’il nous a léguées. Adieu, cher ami. Que votre voyage vers l’au-delà soit aussi lumineux que la vie que vous avez menée parmi nous.
Serigne Abo Mbacké Thiam
Député de la 14e législature
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