A la sortie de sa visite à l'Archevêque métropolitain de Dakar et Chef de l'Église, Monseigneur Benjamin N'diaye, le président de la République a déclaré : " Je suis venu rendre visite à Monseigneur Banjamin N'diaye dans le cadre de cette tournée d'explication pour le référendum du 20 mars. Comme vous le savez, depuis une semaine nous avons entamé des visites de proximité auprès des cités religieuses, toutes confessions confondues. Là il était important que je lui dise le sens et la portée de la réforme. Solliciter évidemment des prières, mais aussi profiter de l'occasion de sa présence pour lancer un appel au calme. Je ne vois pas pourquoi juste pour un vote du "OUI" ou du "NON", il doit y avoir de la violence. Je pense que la violence est un prétexte pour ceux qui veulent semer le désordre. J'ai déjà lancé un appel aux partisans du "OUI" qui sont de notre côté, de ne pas répondre à la provocation et de ne pas entreprendre une action qui mène à la violence. Ça serait fausser l'esprit républicain qui fonde le sens et la portée du vote du citoyen devant une situation aussi fondamentale que le vote de la loi portant révision de la Constitution. Je lance cet appel aussi aux partisans du "NON" d'observer le principe de la non-violence et d'exercice de leur droit. Ils ont le droit et la liberté de dire non, alors il faut aussi que les autres acceptent cela. C'est la démocratie!
La confrontation se fera dans les urnes, mais pas dans les rues avec des pierres ou des cailloux. Ce sont des prétextes qu'il faut déplorer et condamner fermement. Il faut aussi rappeler aux uns et aux autres que la loi est là pour rappeler à l'ordre ceux qui s'écarteront de sa voie. Une élection n'est pas un prétexte pour faire n'importe quoi. Alors j'ai tenu à lancer cet appel et nous avons bon espoir, comme d'habitude que nous allons voter dans le calme et la tranquillité et les résultats seront appréciés. Dans tous les cas, il n'y aura ni vainqueur ni vaincu. Ce dont il s'agit, c'est de voter un projet de révision, alors il ne faut pas déplacer le débat. Il n'est pas ailleurs!
Je remercie Monseigneur pour le temps qu'il a pris pour nous recevoir et à travers lui, je remercie toute la communauté catholique et chrétienne du Sénégal."
Sur la question de savoir s'il est confiant pour la victoire du "OUI" le dimanche, le Président Macky Sall, le sourire aux lèvres souligne : "Je suis toujours confiant. Je suis un optimiste. Si j'en juge sur ce que j'ai vu dans le pays, cette sorte de déferlante et d'enthousiasme partout où je suis passé, il est vrai que je n'ai pas beaucoup vu des partisans du "NON"; ce qui est amusant car quand tu passes quelque part ceux qui disent "OUI" étaient plus nombreux, mais aussi tu vois quelques uns qui disent "NON". Ce "OUI" "NON" là est amusant et cela montre notre démocratie et c'est ça que nous recherchons. La liberté de chacun d'exprimer son opinion.
Maintenant, la souveraineté appartient au peuple et nous saurons l'orientation du peuple, le soir du 20 mars. "
La confrontation se fera dans les urnes, mais pas dans les rues avec des pierres ou des cailloux. Ce sont des prétextes qu'il faut déplorer et condamner fermement. Il faut aussi rappeler aux uns et aux autres que la loi est là pour rappeler à l'ordre ceux qui s'écarteront de sa voie. Une élection n'est pas un prétexte pour faire n'importe quoi. Alors j'ai tenu à lancer cet appel et nous avons bon espoir, comme d'habitude que nous allons voter dans le calme et la tranquillité et les résultats seront appréciés. Dans tous les cas, il n'y aura ni vainqueur ni vaincu. Ce dont il s'agit, c'est de voter un projet de révision, alors il ne faut pas déplacer le débat. Il n'est pas ailleurs!
Je remercie Monseigneur pour le temps qu'il a pris pour nous recevoir et à travers lui, je remercie toute la communauté catholique et chrétienne du Sénégal."
Sur la question de savoir s'il est confiant pour la victoire du "OUI" le dimanche, le Président Macky Sall, le sourire aux lèvres souligne : "Je suis toujours confiant. Je suis un optimiste. Si j'en juge sur ce que j'ai vu dans le pays, cette sorte de déferlante et d'enthousiasme partout où je suis passé, il est vrai que je n'ai pas beaucoup vu des partisans du "NON"; ce qui est amusant car quand tu passes quelque part ceux qui disent "OUI" étaient plus nombreux, mais aussi tu vois quelques uns qui disent "NON". Ce "OUI" "NON" là est amusant et cela montre notre démocratie et c'est ça que nous recherchons. La liberté de chacun d'exprimer son opinion.
Maintenant, la souveraineté appartient au peuple et nous saurons l'orientation du peuple, le soir du 20 mars. "
Autres articles
-
Un Oncle Pervers Sème la Terreur à Pikine: 30 Ans de Prison Demandés pour Viol sur Mineure
-
Infanticide ou malheur tragique ? Une jeune fille de 18 ans accusée d’infanticide risque 5 ans de réclusion criminelle après avoir étranglé son bébé à l’aide d’un foulard
-
Venezuela: Maduro annonce la capture de sept "mercenaires" au Venezuela, dont deux Américains
-
Baptême des agences de la CSS: l'antenne de Guédiawaye-Pikine porte dorénavant le nom de Mademba Sock.
-
Dénomination des agences de la Caisse de Sécurité Sociale : L’agence de la VDN porte désormais le nom de Mansour Kama