DAKARACTU.COM Les Sénégalais sont subjugués depuis quelques jours. Une nouvelle figure politique, ou plutôt un nouveau visage, a fait une fracassante irruption à la « Une » de leurs journaux, et les a laissés subjugués pour certains, étonnés pour d’autres, intéressés et emplis d’une piquante curiosité pour nombre d’entre eux. Léna Sène, c’est certain, fait incontestablement le buzz. Son apparition aux côtés d’Idrissa Seck, lors de son entrée en campagne, a fait s’interroger tous les acteurs de la vie politique et l’ensemble des Sénégalais intéressés par la chose politique. Léna Sène, à elle seule, a donné et le ton et l’idée de la scénographie qui va accompagner la marche d’Idy vers le Palais en 2012. Nul ne s’est trompé et l’image de Condoleezza Rice a été évoquée comme une évidence. La campagne d’Idrissa Seck va être orchestrée et réglée comme sur du papier à musique. Elle sera irradiante comme cette jeune femme qui va bouleverser la façon de faire de la politique au Sénégal, et en chambouler quelques tenaces habitudes. Qui est Léna Sène ? Pourquoi Idrissa Seck, redoutable chasseur de têtes, et perpétuel chercheur de talents pouvant bétonner de leurs compétences la trajectoire de ses ambitions, est-il allé la chercher avec insistance et pugnacité ? Que va-t-elle apporter à son parti ? Que va-t-elle changer dans l’organisation du candidat, et à l’intérieur même de Rewmi ? Dakaractu vous dresse un portrait grandeur nature de cet objet politique non encore identifié.
Idrissa Seck n’est pas homme à ignorer les leçons de ses échecs. Il n’a jamais cessé de tracer son sillon et de rester tendu vers son objectif de devenir le 4° président de la République du Sénégal. Après 2007, il savait déjà comment opérer. Il s’en est donné les moyens. Entre négociations avec Me Wade et ses déboires au sein du PDS, il a décidé de changer de cap et de méthodes, et de tout réorganiser à commencer par sa stratégie de conquête. C’est là que l’histoire entre Idrissa Seck et Léna Sène commence et prend sa source. Cette histoire est singulière. Parce que depuis plus de trois ans, Idy a repéré cette femme sénégalaise et, depuis, les choses se sont tissées, pas toujours aisément, au gré de la création d’un véritable pacte politique, et d’un accord strict sur des choses essentielles en rapport à des principes clairs et déclarés.
Trois années à convaincre et la jeune fille et les parents de celle-ci qui n’ont pas donné tout de suite leur assentiment. Le père de Léna Sène est le communiste Ibrahima Sène, figure emblématique du PIT, opposant sans concession de Wade et du pouvoir libéral qu’incarne à ses yeux le leader de Rewmi. Il est d’abord hostile à une collaboration de sa fille avec Idy. Sa femme, elle, aux goûts politiques plus orientés vers le libéralisme, reste d’une neutralité bienveillante. Elle n’entravera pas des voies qui s’ouvrent sur les chemins escarpés que la carrière de sa fille emprunte. Les parents de Léna ont confiance en elle. Son cursus et ses expériences diverses plaident pour elle, sa trajectoire en témoigne brillamment.
Léna Sène est née à Washington en 1977. Elle a grandi à Dakar, y a fait ses études secondaires, et les a menées de très brillante manière jusqu’au baccalauréat série C qu’ elle décroche après un cycle de haute facture, au cours duquel elle truste tous les prix d’excellence. Dès son retour aux Etats Unis, elle intègre les universités les plus prestigieuses, décroche ses diplômes à Harvard, et va faire de solides gammes dans la plus grande école de finances du pays. Recrutée tour à tour par les enseignes prestigieuses Lehman Brothers et JP Morgan, elle arrache un stage d’une année à la Maison Blanche à la faveur d’un très sélectif concours. Déjà éduquée de façon stricte dans une atmosphère épanouie, ces années passées dans cet environnement hautement compétitif lui forgent le caractère qu’elle a trempé, au service d’une énorme capacité de travail et d’une inébranlable rigueur. En plus de cela, elle est culturellement en fusion avec le Sénégal. Elle parle couramment le ouolof et le sérère, demeure très poreuse aux réalités sociales et culturelles du pays de son père, est très respectueuse des traditions, est musulmane pratiquante, ne fume ni ne boit d’alcool… Bref, cette grande et belle jeune femme sait où elle va, comment elle y va, et avec qui elle y va et dans quelles conditions. On ne l’embarque pas dans des chemins qui peuvent l’éloigner de ses convictions, de ses choix éthiques et moraux, de ses trajectoires et de son développement personnel.
C’est cette femme qu’Idrissa Seck a ciblée il y a trois ans. Dans la plus grande discrétion. Les discussions furent ardues, d’abord parce qu’elle ne pouvait concevoir de travailler avec une personne qui pouvait encore collaborer avec le président Wade, ensuite parce que son père ne voyait pas ce projet d’un bon œil, et parce que sa carrière aux USA méritait aussi attention et ambitions légitimes et personnelles. Le travail de persuasion, avec foule d’arguments, de Idrissa Seck finit par payer. De source sûre, Léna Sène a posé deux conditions incontournables : Plus de discussions et d’évocation de quelque convergence que ce soit avec Wade, plus de signes pouvant laisser penser à une dualité de comportements. Et surtout, Léna Sène exige d’Idy une autonomie totale de décision dans sa manière de mener la campagne de son leader.
Il y a deux mois, les choses se précipitent. Dakaractu publie un post daté du 25 septembre dans lequel nous informions le public que Léna Sène était sur le point de finaliser ses discussions avec Idrissa Seck. Elle se trouvait au St James le jour de l’intrusion de Karim Wade dans les salons de cet hôtel parisien où Idy a l’habitude de descendre. Branle –bas de combat dans l’état-major de Rewmi, réunions d’urgences se succèdent, et concluent qu’il faut bétonner l’affaire et concrétiser cette explosive et dynamique alliance. L’ancien Premier ministre se laisse vite convaincre par les demandes de Léna Sène, de peur que son plan désormais public ne soit tué dans l’oeuf. Elle subira son entrée en politique sénégalaise non comme un examen, mais comme elle a décidé que cela se ferait : avec efficacité, rigueur et clarté. A peine arrivée au Sénégal, elle est à pied d’œuvre pour atteindre ses objectifs et réussir sa mission.
La jeune femme met tout son monde d’accord. Au siège de Rewmi où elle occupe encore le bureau du boss en attendant l’emménagement du sien propre, elle est la première arrivée à 7 h le matin et parmi les derniers à partir. Son rythme de travail intrigue tous ceux qui collaborent avec elle. Elle supervise tout, et travaille sans relâche à dresser et à affiner la stratégie de son mentor. Nos sources sont aussi formelles qu’ébahies, elle s’occupe du planning de la campagne, consulte pour en maximiser le moindre atout, trace la voie de la campagne jusqu’aux élections, en fixe les dates et les évènements qui vont la jalonner, et ne laisse à personne le soin de s’occuper des moindres détails, sachant quels thèmes vont être traités à quel moment et dans quelle scénographie. Idy observe et laisse faire. Il l‘associe à tous ses faits et gestes politiques, au grand dam des compagnons de la première heure et de la traversée du désert. C’est clair, Léna Sène est comme un corps étranger dans la galaxie Rewmi. La greffe peut-elle prendre sans remise en cause de certaines habitudes ? Une certaine hostilité commencerait à filtrer de certaines sphères proches du maire de Thiès. Elle est souriante mais pas familière. Son seul interlocuteur c’est Idy. Elle est entrée dans le cercle des intimes et pas par effraction, elle s’y impose par sa rigueur, et sa liberté de parole, de ton et de conscience. Le chef est enfin contredit quand ses idées sont peu avenantes ou pertinentes, elle assiste à toutes les réunions cruciales et décisives. Elle argumente ses choix, quand ils vont à l’encontre de ceux de son chef, note tout, écoute beaucoup, corrige, s’enquiert des choses qu’elle ne maîtrise pas complètement pour pouvoir, selon l’avis de tous, remettre les choses en place et en ordre. C’est sûr que dans un parti politique sénégalo-sénégalais, cette femme est un OVNI, qui va en déranger plus d’un. Finis les mouvements de menton approbateurs au moindre propos du chef, même insipides ou erronés, Léna Sène veut de la clarté dans ses rapports avec Idrissa Seck et de la liberté de manœuvre. Elle a pour rôle et pour mission d’atteindre les objectifs de son boss. Il l’a embauchée pour cela, elle a une quasi obligation de réussite. Pour toucher les savoureux dividendes de ce challenge, il lui faudra de la carapace, une certaine dose de pouvoir d’absorption et de décision, mais aussi pousser son entourage à aller à la même vitesse qu’elle et avec la même rigueur.
En attendant, elle habite chez papa et maman à Sacré Cœur 3, demeure célibataire, même si elle a eu une liaison sérieuse avec un Américain blanc, rencontré dans le monde des banques, qu’elle a fréquenté avec assiduité avant d’aller s’aguerrir dans les murs de la Maison Blanche. Idy sait ce qu’il a fait. Ce genre de success story plait aux Sénégalais. En recrutant cette jeune femme demeure aussi charmante que convaincante, il aura fait un grand pas dans la modernisation de notre vie politique et de son environnement.
Léna Sène va très bientôt aller se ressourcer quelques jours aux Etats-Unis, pour régler quelques affaires courantes, en même temps que son déménagement, et nous revenir à Dakar, occuper un appartement dans le quartier calme, huppé et surveillé des Almadies. Dès son retour, il ne sera plus question que de planning, de réunions, de meetings à préparer, de stratégies à dérouler, et de tableaux de bord à respecter. Sans compter les pièges à déjouer. Beaucoup pour une seule personne. Léna Sène va être dans la campagne en flux constants et tendus jusqu’en février 2012. On saura alors si c’est une Superwoman qu’Idrissa Seck a choisie et si la femme est l’avenir politique de l’homme.
Idrissa Seck n’est pas homme à ignorer les leçons de ses échecs. Il n’a jamais cessé de tracer son sillon et de rester tendu vers son objectif de devenir le 4° président de la République du Sénégal. Après 2007, il savait déjà comment opérer. Il s’en est donné les moyens. Entre négociations avec Me Wade et ses déboires au sein du PDS, il a décidé de changer de cap et de méthodes, et de tout réorganiser à commencer par sa stratégie de conquête. C’est là que l’histoire entre Idrissa Seck et Léna Sène commence et prend sa source. Cette histoire est singulière. Parce que depuis plus de trois ans, Idy a repéré cette femme sénégalaise et, depuis, les choses se sont tissées, pas toujours aisément, au gré de la création d’un véritable pacte politique, et d’un accord strict sur des choses essentielles en rapport à des principes clairs et déclarés.
Trois années à convaincre et la jeune fille et les parents de celle-ci qui n’ont pas donné tout de suite leur assentiment. Le père de Léna Sène est le communiste Ibrahima Sène, figure emblématique du PIT, opposant sans concession de Wade et du pouvoir libéral qu’incarne à ses yeux le leader de Rewmi. Il est d’abord hostile à une collaboration de sa fille avec Idy. Sa femme, elle, aux goûts politiques plus orientés vers le libéralisme, reste d’une neutralité bienveillante. Elle n’entravera pas des voies qui s’ouvrent sur les chemins escarpés que la carrière de sa fille emprunte. Les parents de Léna ont confiance en elle. Son cursus et ses expériences diverses plaident pour elle, sa trajectoire en témoigne brillamment.
Léna Sène est née à Washington en 1977. Elle a grandi à Dakar, y a fait ses études secondaires, et les a menées de très brillante manière jusqu’au baccalauréat série C qu’ elle décroche après un cycle de haute facture, au cours duquel elle truste tous les prix d’excellence. Dès son retour aux Etats Unis, elle intègre les universités les plus prestigieuses, décroche ses diplômes à Harvard, et va faire de solides gammes dans la plus grande école de finances du pays. Recrutée tour à tour par les enseignes prestigieuses Lehman Brothers et JP Morgan, elle arrache un stage d’une année à la Maison Blanche à la faveur d’un très sélectif concours. Déjà éduquée de façon stricte dans une atmosphère épanouie, ces années passées dans cet environnement hautement compétitif lui forgent le caractère qu’elle a trempé, au service d’une énorme capacité de travail et d’une inébranlable rigueur. En plus de cela, elle est culturellement en fusion avec le Sénégal. Elle parle couramment le ouolof et le sérère, demeure très poreuse aux réalités sociales et culturelles du pays de son père, est très respectueuse des traditions, est musulmane pratiquante, ne fume ni ne boit d’alcool… Bref, cette grande et belle jeune femme sait où elle va, comment elle y va, et avec qui elle y va et dans quelles conditions. On ne l’embarque pas dans des chemins qui peuvent l’éloigner de ses convictions, de ses choix éthiques et moraux, de ses trajectoires et de son développement personnel.
C’est cette femme qu’Idrissa Seck a ciblée il y a trois ans. Dans la plus grande discrétion. Les discussions furent ardues, d’abord parce qu’elle ne pouvait concevoir de travailler avec une personne qui pouvait encore collaborer avec le président Wade, ensuite parce que son père ne voyait pas ce projet d’un bon œil, et parce que sa carrière aux USA méritait aussi attention et ambitions légitimes et personnelles. Le travail de persuasion, avec foule d’arguments, de Idrissa Seck finit par payer. De source sûre, Léna Sène a posé deux conditions incontournables : Plus de discussions et d’évocation de quelque convergence que ce soit avec Wade, plus de signes pouvant laisser penser à une dualité de comportements. Et surtout, Léna Sène exige d’Idy une autonomie totale de décision dans sa manière de mener la campagne de son leader.
Il y a deux mois, les choses se précipitent. Dakaractu publie un post daté du 25 septembre dans lequel nous informions le public que Léna Sène était sur le point de finaliser ses discussions avec Idrissa Seck. Elle se trouvait au St James le jour de l’intrusion de Karim Wade dans les salons de cet hôtel parisien où Idy a l’habitude de descendre. Branle –bas de combat dans l’état-major de Rewmi, réunions d’urgences se succèdent, et concluent qu’il faut bétonner l’affaire et concrétiser cette explosive et dynamique alliance. L’ancien Premier ministre se laisse vite convaincre par les demandes de Léna Sène, de peur que son plan désormais public ne soit tué dans l’oeuf. Elle subira son entrée en politique sénégalaise non comme un examen, mais comme elle a décidé que cela se ferait : avec efficacité, rigueur et clarté. A peine arrivée au Sénégal, elle est à pied d’œuvre pour atteindre ses objectifs et réussir sa mission.
La jeune femme met tout son monde d’accord. Au siège de Rewmi où elle occupe encore le bureau du boss en attendant l’emménagement du sien propre, elle est la première arrivée à 7 h le matin et parmi les derniers à partir. Son rythme de travail intrigue tous ceux qui collaborent avec elle. Elle supervise tout, et travaille sans relâche à dresser et à affiner la stratégie de son mentor. Nos sources sont aussi formelles qu’ébahies, elle s’occupe du planning de la campagne, consulte pour en maximiser le moindre atout, trace la voie de la campagne jusqu’aux élections, en fixe les dates et les évènements qui vont la jalonner, et ne laisse à personne le soin de s’occuper des moindres détails, sachant quels thèmes vont être traités à quel moment et dans quelle scénographie. Idy observe et laisse faire. Il l‘associe à tous ses faits et gestes politiques, au grand dam des compagnons de la première heure et de la traversée du désert. C’est clair, Léna Sène est comme un corps étranger dans la galaxie Rewmi. La greffe peut-elle prendre sans remise en cause de certaines habitudes ? Une certaine hostilité commencerait à filtrer de certaines sphères proches du maire de Thiès. Elle est souriante mais pas familière. Son seul interlocuteur c’est Idy. Elle est entrée dans le cercle des intimes et pas par effraction, elle s’y impose par sa rigueur, et sa liberté de parole, de ton et de conscience. Le chef est enfin contredit quand ses idées sont peu avenantes ou pertinentes, elle assiste à toutes les réunions cruciales et décisives. Elle argumente ses choix, quand ils vont à l’encontre de ceux de son chef, note tout, écoute beaucoup, corrige, s’enquiert des choses qu’elle ne maîtrise pas complètement pour pouvoir, selon l’avis de tous, remettre les choses en place et en ordre. C’est sûr que dans un parti politique sénégalo-sénégalais, cette femme est un OVNI, qui va en déranger plus d’un. Finis les mouvements de menton approbateurs au moindre propos du chef, même insipides ou erronés, Léna Sène veut de la clarté dans ses rapports avec Idrissa Seck et de la liberté de manœuvre. Elle a pour rôle et pour mission d’atteindre les objectifs de son boss. Il l’a embauchée pour cela, elle a une quasi obligation de réussite. Pour toucher les savoureux dividendes de ce challenge, il lui faudra de la carapace, une certaine dose de pouvoir d’absorption et de décision, mais aussi pousser son entourage à aller à la même vitesse qu’elle et avec la même rigueur.
En attendant, elle habite chez papa et maman à Sacré Cœur 3, demeure célibataire, même si elle a eu une liaison sérieuse avec un Américain blanc, rencontré dans le monde des banques, qu’elle a fréquenté avec assiduité avant d’aller s’aguerrir dans les murs de la Maison Blanche. Idy sait ce qu’il a fait. Ce genre de success story plait aux Sénégalais. En recrutant cette jeune femme demeure aussi charmante que convaincante, il aura fait un grand pas dans la modernisation de notre vie politique et de son environnement.
Léna Sène va très bientôt aller se ressourcer quelques jours aux Etats-Unis, pour régler quelques affaires courantes, en même temps que son déménagement, et nous revenir à Dakar, occuper un appartement dans le quartier calme, huppé et surveillé des Almadies. Dès son retour, il ne sera plus question que de planning, de réunions, de meetings à préparer, de stratégies à dérouler, et de tableaux de bord à respecter. Sans compter les pièges à déjouer. Beaucoup pour une seule personne. Léna Sène va être dans la campagne en flux constants et tendus jusqu’en février 2012. On saura alors si c’est une Superwoman qu’Idrissa Seck a choisie et si la femme est l’avenir politique de l’homme.
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