Le rebondissement de ce qu'il est convenu d'appeler le "cas Wade fils" ne laisse pas indifférent les "Apéristes". En effet, un des seconds couteaux du chef de file de l'Apr, en l'occurrence Sidy Sam a spontanément réagi.
A ses yeux, "l’arrêt de la cour de justice de la CEDEAO du 19 juillet 2013 montre, si besoin en est encore, que nous vivons depuis l’avènement du Président Macky Sall à la magistrature suprême, une réhabilitation de l’état de droit au Sénégal. Finie l’ère des tripatouillages incessants de la constitution avec une Assemblée nationale qui taillait des lois sur mesure à un pouvoir exécutif qui faisait fi de toute hiérarchie des normes juridiques".
Continuant son argumentaire, le responsable politique de l'Apr à la Médina d'ajouter : "la confirmation de la légalité de l’arrestation de Karim constitue encore une fois une importante preuve de la séparation des pouvoirs au Sénégal, car il témoigne non seulement du respect par notre pays des principes constitutionnels et des conventions internationales, mais également de la réalité de l’indépendance de la justice, principes fondamentaux de la démocratie".
Et Sidy Sam de conclure: "il ne reste plus à Mes Bathily, Seydou Diagne et Cie, avocats de Karim Wade et du PDS, qu’à trouver les arguments juridiques nécessaires devant les tribunaux pour défendre leurs clients, toute autre tentative serait vaine et ne ferait que les discréditer davantage".
A ses yeux, "l’arrêt de la cour de justice de la CEDEAO du 19 juillet 2013 montre, si besoin en est encore, que nous vivons depuis l’avènement du Président Macky Sall à la magistrature suprême, une réhabilitation de l’état de droit au Sénégal. Finie l’ère des tripatouillages incessants de la constitution avec une Assemblée nationale qui taillait des lois sur mesure à un pouvoir exécutif qui faisait fi de toute hiérarchie des normes juridiques".
Continuant son argumentaire, le responsable politique de l'Apr à la Médina d'ajouter : "la confirmation de la légalité de l’arrestation de Karim constitue encore une fois une importante preuve de la séparation des pouvoirs au Sénégal, car il témoigne non seulement du respect par notre pays des principes constitutionnels et des conventions internationales, mais également de la réalité de l’indépendance de la justice, principes fondamentaux de la démocratie".
Et Sidy Sam de conclure: "il ne reste plus à Mes Bathily, Seydou Diagne et Cie, avocats de Karim Wade et du PDS, qu’à trouver les arguments juridiques nécessaires devant les tribunaux pour défendre leurs clients, toute autre tentative serait vaine et ne ferait que les discréditer davantage".
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