L'Union européenne a levé les sanctions qui frappaient des collaborateurs de l'ancien président Laurent Gbagbo afin de mettre un terme à l'asphyxie économique du pays, selon le Journal Officiel de l'UE.
Paul Yao N'Dre, président de la Cour constitutionnelle qui avait proclamé Laurent Gbagbo vainqueur de l'élection présidentielle au détriment de Alasanne Ouattara, vainqueur reconnu par la communauté internationale, ne figure plus sur la liste des personnalités visées par un gel de leurs avoirs et une interdiction de voyager.
L'entrepreneur Roland Dagher, proche du régime de Laurent Gbagbo, a également été retiré de la liste. L'Union européenne a commencé à lever les sanctions qu'elle avait décrétées à l'encontre de personnalités et entreprises ivoirienne lorsque Alassane Ouattara a accédé au poste de président du pays en avril.
Par ailleurs, deux entreprises pétrolières, la Société Ivoirienne de Raffinage et la Société Nationale d'opérations pétroliàres de la Côte d'Ivoire, ne figurent plus sur les listes des entreprises visées par les sanctions de l'UE.
Les sanctions imposées début 2011 par l'Union européenne au régime de l'ex-président Laurent Gbagbo visaient à l'asphyxier et à le forcer à céder le pouvoir.
M. Gbagbo a été arrêté le 11 avril par les forces du président Alassane Ouattara, appuyées par la France et l'ONU après une guerre de dix jours dans Abidjan et près de cinq mois de crise post-électorale dans cette ancienne colonie française. (belga)
Paul Yao N'Dre, président de la Cour constitutionnelle qui avait proclamé Laurent Gbagbo vainqueur de l'élection présidentielle au détriment de Alasanne Ouattara, vainqueur reconnu par la communauté internationale, ne figure plus sur la liste des personnalités visées par un gel de leurs avoirs et une interdiction de voyager.
L'entrepreneur Roland Dagher, proche du régime de Laurent Gbagbo, a également été retiré de la liste. L'Union européenne a commencé à lever les sanctions qu'elle avait décrétées à l'encontre de personnalités et entreprises ivoirienne lorsque Alassane Ouattara a accédé au poste de président du pays en avril.
Par ailleurs, deux entreprises pétrolières, la Société Ivoirienne de Raffinage et la Société Nationale d'opérations pétroliàres de la Côte d'Ivoire, ne figurent plus sur les listes des entreprises visées par les sanctions de l'UE.
Les sanctions imposées début 2011 par l'Union européenne au régime de l'ex-président Laurent Gbagbo visaient à l'asphyxier et à le forcer à céder le pouvoir.
M. Gbagbo a été arrêté le 11 avril par les forces du président Alassane Ouattara, appuyées par la France et l'ONU après une guerre de dix jours dans Abidjan et près de cinq mois de crise post-électorale dans cette ancienne colonie française. (belga)
Autres articles
-
Interdiction de son rassemblement : ATEL condamne la décision et se réserve le droit de saisir les institutions judiciaires.
-
Affaire Jérôme Bandiaky: « Dans ce dossier, il y’a des faits couverts par la loi d’amnistie… » ( Me Djiby Diallo)
-
Affaire Badou Ndiaye : Placé sous mandat de dépôt, il est inculpé pour importation de marchandises prohibées, blanchiment de capitaux, détournement de deniers publics…
-
Sénégal :Le marché des eurobonds réagit négativement après les annonces du gouvernement
-
Arrestation du DG de SITMA Badou Ndiaye : la douane lui réclame une somme de plus de 26 milliards de Fcfa