L’autoroute Ila’a Touba est en passe de connaître des journées sombres. Une terrible grogne a lieu ces dernières semaines et elle émane d'hommes d’affaires, de transporteurs et de jeunes de la ville sainte de Touba. En effet, lors de la phase préparatoire, les autorités leur avaient assuré une bonne implication voire un recours à leurs services en cas de besoin.
Aujourd’hui, il s’avère que rien n’est effectif. Même certains maires ont commencé à se faire entendre. C’est le cas de Babacar N'diaye de N'gogom qui a vu un de ses villages entièrement déplacé et sa commune traversée par l’autoroute sur une quinzaine de kilomètres. Son désappointement réside dans le fait que l’exécutif local de Bambey et les chinois ont commencé à construire des forages et divers autres petits œuvrages sans y associer les villageois.
A Touba, ce sont les hommes d’affaires dont des chefs religieux pour l’essentiel qui ont vainement attendu de se voir confier des marchés. Chez les transporteurs, la colère est incontrôlable. Beaucoup d’entre eux, privés de leurs véhicules de transport en commun « Rim », avaient espoir d’être recrutés. D’ailleurs, telle était la promesse du sous-préfet de N'dame. Aujourd’hui, ils attendent avec impatience de voir cette promesse se réaliser. Les jeunes des villages que jalonne l’autoroute espéraient eux-aussi rompre d’avec leur vie de chômeur. Hélas, nenni !
Au stade actuel des choses, tout se complique pour ce joyau de plus de 400 Milliards de francs qui fâche déjà. Affaire à suivre….
Aujourd’hui, il s’avère que rien n’est effectif. Même certains maires ont commencé à se faire entendre. C’est le cas de Babacar N'diaye de N'gogom qui a vu un de ses villages entièrement déplacé et sa commune traversée par l’autoroute sur une quinzaine de kilomètres. Son désappointement réside dans le fait que l’exécutif local de Bambey et les chinois ont commencé à construire des forages et divers autres petits œuvrages sans y associer les villageois.
A Touba, ce sont les hommes d’affaires dont des chefs religieux pour l’essentiel qui ont vainement attendu de se voir confier des marchés. Chez les transporteurs, la colère est incontrôlable. Beaucoup d’entre eux, privés de leurs véhicules de transport en commun « Rim », avaient espoir d’être recrutés. D’ailleurs, telle était la promesse du sous-préfet de N'dame. Aujourd’hui, ils attendent avec impatience de voir cette promesse se réaliser. Les jeunes des villages que jalonne l’autoroute espéraient eux-aussi rompre d’avec leur vie de chômeur. Hélas, nenni !
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