La région de Fatick est à l'honneur avec la célébration de la journée de l'enfant africain. En effet, c'est le Sine qui a été choisi cette année pour abriter les festivités de ce grand événement réunissant l'ensemble des enfants venus des 14 régions du Sénégal.
Pour ce faire, la grande place publique communément appelée « Berge du Sine » a accueilli les délégations dont le garde des sceaux, ministre de la justice, les présidents de tribunaux, les procureurs, la directrice de l'éducation surveillée et de la protection sociale, Ndèye Abibatou Diabé Siby etc. Cette dernière est d'ailleurs revenue sur cette journée. « La direction générale de l'éducation surveillée et de la protection sociale a toujours célébré la journée de l'enfant africain, mais pour cette édition 2018, la célébration est tout à fait particulière parce que simplement pour la première fois depuis que l'Organisation de l'Unité Africaine (UA) a institué cette journée, c'est la première fois qu'un ministre de la République participe aux côtés des éducateurs en célébrant l'enfant africain. La deuxième grande signification parmi les multiples significations de cette journée de l'enfant africain, c'est qu'elle se déroule ici à Fatick où toute la grande famille de l'éducation et de la protection sociale est réunie. Alors vous avez donné aux enfants le plaisir d’être ensemble et de fraterniser pendant tard dans la nuit. Et c'est important », a-t-elle déclaré.
Prenant la parole, le premier président de la cour d'appel de Kaolack, Mr Ousmane Kane, a mis l'accent sur les cas de viol, de maltraitance et autres formes de violence auxquelles font face les enfants du Sénégal, notamment les nombreux dossiers liés à ce genre de problématiques. Pour sa part, le garde des sceaux, ministre de la justice, Ismaila Madior Fall, a rappelé les efforts consentis par l'État du Sénégal dans le cadre de la protection sociale tels « la Cmu-élève, le programme de retrait des enfants de la rue, la loi portant modernisation des Daaras etc ». « L'Afrique compte l'une des jeunesses les plus dynamiques qui représente la moitié de sa population dont les besoins en termes d'éducation, de santé, de formation, d'encadrement, de formation, de logements, d’infrastructures sont immenses. Le Sénégal n'est pas épargné par cette réalité et tente d'y faire face autant que ses moyens le lui permettent. Il a inscrit son système de protection sociale dans une perspective conforme à la protection des droits de l'enfant afin d'offrir à celui-ci des paquets de services de nature à lui procurer une couverture maladie universelle, une prise en charge gratuite des médicaments, du traitement et de la vaccination, une gratuité des soins etc. Chers enfants, cette journée qui vous est consacrée doit nous faire prendre conscience que vos droits sont un pilier autour duquel les politiques de l'État en matière de développement doivent s'articuler pour promouvoir une politique d'émergence », a-t-il réagi.
A signaler que la journée de l'enfant africain a été placée cette année sous le thème « Aucun enfant laissé pour compte pour le développement de l'Afrique ».
Pour ce faire, la grande place publique communément appelée « Berge du Sine » a accueilli les délégations dont le garde des sceaux, ministre de la justice, les présidents de tribunaux, les procureurs, la directrice de l'éducation surveillée et de la protection sociale, Ndèye Abibatou Diabé Siby etc. Cette dernière est d'ailleurs revenue sur cette journée. « La direction générale de l'éducation surveillée et de la protection sociale a toujours célébré la journée de l'enfant africain, mais pour cette édition 2018, la célébration est tout à fait particulière parce que simplement pour la première fois depuis que l'Organisation de l'Unité Africaine (UA) a institué cette journée, c'est la première fois qu'un ministre de la République participe aux côtés des éducateurs en célébrant l'enfant africain. La deuxième grande signification parmi les multiples significations de cette journée de l'enfant africain, c'est qu'elle se déroule ici à Fatick où toute la grande famille de l'éducation et de la protection sociale est réunie. Alors vous avez donné aux enfants le plaisir d’être ensemble et de fraterniser pendant tard dans la nuit. Et c'est important », a-t-elle déclaré.
Prenant la parole, le premier président de la cour d'appel de Kaolack, Mr Ousmane Kane, a mis l'accent sur les cas de viol, de maltraitance et autres formes de violence auxquelles font face les enfants du Sénégal, notamment les nombreux dossiers liés à ce genre de problématiques. Pour sa part, le garde des sceaux, ministre de la justice, Ismaila Madior Fall, a rappelé les efforts consentis par l'État du Sénégal dans le cadre de la protection sociale tels « la Cmu-élève, le programme de retrait des enfants de la rue, la loi portant modernisation des Daaras etc ». « L'Afrique compte l'une des jeunesses les plus dynamiques qui représente la moitié de sa population dont les besoins en termes d'éducation, de santé, de formation, d'encadrement, de formation, de logements, d’infrastructures sont immenses. Le Sénégal n'est pas épargné par cette réalité et tente d'y faire face autant que ses moyens le lui permettent. Il a inscrit son système de protection sociale dans une perspective conforme à la protection des droits de l'enfant afin d'offrir à celui-ci des paquets de services de nature à lui procurer une couverture maladie universelle, une prise en charge gratuite des médicaments, du traitement et de la vaccination, une gratuité des soins etc. Chers enfants, cette journée qui vous est consacrée doit nous faire prendre conscience que vos droits sont un pilier autour duquel les politiques de l'État en matière de développement doivent s'articuler pour promouvoir une politique d'émergence », a-t-il réagi.
A signaler que la journée de l'enfant africain a été placée cette année sous le thème « Aucun enfant laissé pour compte pour le développement de l'Afrique ».
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