Les femmes détenues réintègrent leurs cellules pleines d’amertumes.
Abdoulaye Wade a fait ce qu’il avait décidé de faire. Nonobstant les avis de juges d’instruction qui ne voyaient aucunement l’utilité et la faisabilité de la mesure de grâce aux femmes détenues dans les prisons sénégalaises, 333 femmes ont passé la nuit de jeudi et la journée de vendredi à l’air libre. Les détenues de Liberté 6 et de Rufisque avaient été transportées jeudi de leurs prisons à Sébikotane, où elles ont été accueillies dans un centre d’hébergement de l’administration pénitentiaire. Elles avaient pour la plupart été enthousiasmées par cette information au début. Mais dans un doute total, sans avoir même des confirmations par leurs avocats, elles ont espéré être libres. Ce n’était que du vent, selon les dires de certaines d’entre elles. On les a sorties pour vider les lieux durant 24 heures et celles qui ont bénéficié d’une grâce, l’ont eue en fait depuis le 31 décembre naturellement, comme le président le en accorde chaque année à cette même date symbolique. Selon une détenue que nos sources ont pu joindre le jeudi, elles ont été sorties l’après-midi pour aller à Sébikotane où on leur a signifié qu’elles resteraient là 24 heures. « C’est pire que la prison», nous a confié celle qui était même pressée de retourner à Rufisque. Hier, dans la journée, elles ont reçu la visite d’Awa Ndiaye, ministre du Genre et de la Culture qui a disserté avec elles sur l’idée d’impulser une loi favorable à l’avortement en cas de viol ou d’inceste, deux maux qui sont les causes principales des infanticides dont les auteures forment une très grosse proportion des femmes détenues. Hormis cette causerie au coin des arbustes de Sébikotane, il a été question de bonne nourriture améliorée. C’était le moins qu’on pouvait faire pour elles, au vu des espoirs de liberté qu’on avait fait naître en elles. Les femmes détenues que nos sources ont pu joindre demeurent intriguées par cette sortie de prison qui n’en est pas une et qui ne répond à aucune explication immédiate. Les plus anxieuses se demandent à quoi elles ont servi et sont apeurées, car il leur a été dit par leurs parents, sensibles à toutes sortes de rumeurs, qu’elles avaient été les objets d’un sacrifice en vue de l’élection présidentielle. La rumeur, quand tu nous tiens… Certaines se voient même mourir mystiquement. Ces femmes qui espéraient recouvrer la liberté, sont retournées en prison hier soir à minuit. Pour vivre dans leurs crasseuses cellules des jours encore plus affreux. Elles ont eu le sentiment d’avoir été quelque part trompées sur le geste du président Wade. « Journée de partage et de générosité », avait-t-il dit pour justifier cette décision. Les détenues qui ont subi cette générosité n’en comprennent pas le sens. Que les numérologues se mettent au travail : Pourquoi 333 femmes ? Y-a-t-il un sens ésotérique caché dans ce chiffre ? Pourquoi le chiffre 20 ? Qui pour nous éclairer ? Qui pour les rassurer, ces détenues, qu’elles ne sont pas l’objet et l’enjeu d’une œuvre mystique ? Maintenant que le «20 » est tiré, il faut le boire.
Les femmes détenues réintègrent leurs cellules pleines d’amertumes.
Abdoulaye Wade a fait ce qu’il avait décidé de faire. Nonobstant les avis de juges d’instruction qui ne voyaient aucunement l’utilité et la faisabilité de la mesure de grâce aux femmes détenues dans les prisons sénégalaises, 333 femmes ont passé la nuit de jeudi et la journée de vendredi à l’air libre. Les détenues de Liberté 6 et de Rufisque avaient été transportées jeudi de leurs prisons à Sébikotane, où elles ont été accueillies dans un centre d’hébergement de l’administration pénitentiaire. Elles avaient pour la plupart été enthousiasmées par cette information au début. Mais dans un doute total, sans avoir même des confirmations par leurs avocats, elles ont espéré être libres. Ce n’était que du vent, selon les dires de certaines d’entre elles. On les a sorties pour vider les lieux durant 24 heures et celles qui ont bénéficié d’une grâce, l’ont eue en fait depuis le 31 décembre naturellement, comme le président le en accorde chaque année à cette même date symbolique. Selon une détenue que nos sources ont pu joindre le jeudi, elles ont été sorties l’après-midi pour aller à Sébikotane où on leur a signifié qu’elles resteraient là 24 heures. « C’est pire que la prison», nous a confié celle qui était même pressée de retourner à Rufisque. Hier, dans la journée, elles ont reçu la visite d’Awa Ndiaye, ministre du Genre et de la Culture qui a disserté avec elles sur l’idée d’impulser une loi favorable à l’avortement en cas de viol ou d’inceste, deux maux qui sont les causes principales des infanticides dont les auteures forment une très grosse proportion des femmes détenues. Hormis cette causerie au coin des arbustes de Sébikotane, il a été question de bonne nourriture améliorée. C’était le moins qu’on pouvait faire pour elles, au vu des espoirs de liberté qu’on avait fait naître en elles. Les femmes détenues que nos sources ont pu joindre demeurent intriguées par cette sortie de prison qui n’en est pas une et qui ne répond à aucune explication immédiate. Les plus anxieuses se demandent à quoi elles ont servi et sont apeurées, car il leur a été dit par leurs parents, sensibles à toutes sortes de rumeurs, qu’elles avaient été les objets d’un sacrifice en vue de l’élection présidentielle. La rumeur, quand tu nous tiens… Certaines se voient même mourir mystiquement. Ces femmes qui espéraient recouvrer la liberté, sont retournées en prison hier soir à minuit. Pour vivre dans leurs crasseuses cellules des jours encore plus affreux. Elles ont eu le sentiment d’avoir été quelque part trompées sur le geste du président Wade. « Journée de partage et de générosité », avait-t-il dit pour justifier cette décision. Les détenues qui ont subi cette générosité n’en comprennent pas le sens. Que les numérologues se mettent au travail : Pourquoi 333 femmes ? Y-a-t-il un sens ésotérique caché dans ce chiffre ? Pourquoi le chiffre 20 ? Qui pour nous éclairer ? Qui pour les rassurer, ces détenues, qu’elles ne sont pas l’objet et l’enjeu d’une œuvre mystique ? Maintenant que le «20 » est tiré, il faut le boire.
DAKARACTU.COM Abdoulaye Wade a fait ce qu’il avait décidé de faire. Nonobstant les avis de juges d’instruction qui ne voyaient aucunement l’utilité et la faisabilité de la mesure de grâce aux femmes détenues dans les prisons sénégalaises, 333 femmes ont passé la nuit de jeudi et la journée de vendredi à l’air libre. Les détenues de Liberté 6 et de Rufisque avaient été transportées jeudi de leurs prisons à Sébikotane, où elles ont été accueillies dans un centre d’hébergement de l’administration pénitentiaire. Elles avaient pour la plupart été enthousiasmées par cette information au début. Mais dans un doute total, sans avoir même des confirmations par leurs avocats, elles ont espéré être libres. Ce n’était que du vent, selon les dires de certaines d’entre elles. On les a sorties pour vider les lieux durant 24 heures et celles qui ont bénéficié d’une grâce, l’ont eue en fait depuis le 31 décembre naturellement, comme le président le en accorde chaque année à cette même date symbolique. Selon une détenue que nos sources ont pu joindre le jeudi, elles ont été sorties l’après-midi pour aller à Sébikotane où on leur a signifié qu’elles resteraient là 24 heures. « C’est pire que la prison», nous a confié celle qui était même pressée de retourner à Rufisque. Hier, dans la journée, elles ont reçu la visite d’Awa Ndiaye, ministre du Genre et de la Culture qui a disserté avec elles sur l’idée d’impulser une loi favorable à l’avortement en cas de viol ou d’inceste, deux maux qui sont les causes principales des infanticides dont les auteures forment une très grosse proportion des femmes détenues. Hormis cette causerie au coin des arbustes de Sébikotane, il a été question de bonne nourriture améliorée. C’était le moins qu’on pouvait faire pour elles, au vu des espoirs de liberté qu’on avait fait naître en elles. Les femmes détenues que nos sources ont pu joindre demeurent intriguées par cette sortie de prison qui n’en est pas une et qui ne répond à aucune explication immédiate. Les plus anxieuses se demandent à quoi elles ont servi et sont apeurées, car il leur a été dit par leurs parents, sensibles à toutes sortes de rumeurs, qu’elles avaient été les objets d’un sacrifice en vue de l’élection présidentielle. La rumeur, quand tu nous tiens… Certaines se voient même mourir mystiquement. Ces femmes qui espéraient recouvrer la liberté, sont retournées en prison hier soir à minuit. Pour vivre dans leurs crasseuses cellules des jours encore plus affreux. Elles ont eu le sentiment d’avoir été quelque part trompées sur le geste du président Wade. « Journée de partage et de générosité », avait-t-il dit pour justifier cette décision. Les détenues qui ont subi cette générosité n’en comprennent pas le sens. Que les numérologues se mettent au travail : Pourquoi 333 femmes ? Y-a-t-il un sens ésotérique caché dans ce chiffre ? Pourquoi le chiffre 20 ? Qui pour nous éclairer ? Qui pour les rassurer, ces détenues, qu’elles ne sont pas l’objet et l’enjeu d’une œuvre mystique ? Maintenant que le «20 » est tiré, il faut le boire.
Abdoulaye Wade a fait ce qu’il avait décidé de faire. Nonobstant les avis de juges d’instruction qui ne voyaient aucunement l’utilité et la faisabilité de la mesure de grâce aux femmes détenues dans les prisons sénégalaises, 333 femmes ont passé la nuit de jeudi et la journée de vendredi à l’air libre. Les détenues de Liberté 6 et de Rufisque avaient été transportées jeudi de leurs prisons à Sébikotane, où elles ont été accueillies dans un centre d’hébergement de l’administration pénitentiaire. Elles avaient pour la plupart été enthousiasmées par cette information au début. Mais dans un doute total, sans avoir même des confirmations par leurs avocats, elles ont espéré être libres. Ce n’était que du vent, selon les dires de certaines d’entre elles. On les a sorties pour vider les lieux durant 24 heures et celles qui ont bénéficié d’une grâce, l’ont eue en fait depuis le 31 décembre naturellement, comme le président le en accorde chaque année à cette même date symbolique. Selon une détenue que nos sources ont pu joindre le jeudi, elles ont été sorties l’après-midi pour aller à Sébikotane où on leur a signifié qu’elles resteraient là 24 heures. « C’est pire que la prison», nous a confié celle qui était même pressée de retourner à Rufisque. Hier, dans la journée, elles ont reçu la visite d’Awa Ndiaye, ministre du Genre et de la Culture qui a disserté avec elles sur l’idée d’impulser une loi favorable à l’avortement en cas de viol ou d’inceste, deux maux qui sont les causes principales des infanticides dont les auteures forment une très grosse proportion des femmes détenues. Hormis cette causerie au coin des arbustes de Sébikotane, il a été question de bonne nourriture améliorée. C’était le moins qu’on pouvait faire pour elles, au vu des espoirs de liberté qu’on avait fait naître en elles. Les femmes détenues que nos sources ont pu joindre demeurent intriguées par cette sortie de prison qui n’en est pas une et qui ne répond à aucune explication immédiate. Les plus anxieuses se demandent à quoi elles ont servi et sont apeurées, car il leur a été dit par leurs parents, sensibles à toutes sortes de rumeurs, qu’elles avaient été les objets d’un sacrifice en vue de l’élection présidentielle. La rumeur, quand tu nous tiens… Certaines se voient même mourir mystiquement. Ces femmes qui espéraient recouvrer la liberté, sont retournées en prison hier soir à minuit. Pour vivre dans leurs crasseuses cellules des jours encore plus affreux. Elles ont eu le sentiment d’avoir été quelque part trompées sur le geste du président Wade. « Journée de partage et de générosité », avait-t-il dit pour justifier cette décision. Les détenues qui ont subi cette générosité n’en comprennent pas le sens. Que les numérologues se mettent au travail : Pourquoi 333 femmes ? Y-a-t-il un sens ésotérique caché dans ce chiffre ? Pourquoi le chiffre 20 ? Qui pour nous éclairer ? Qui pour les rassurer, ces détenues, qu’elles ne sont pas l’objet et l’enjeu d’une œuvre mystique ? Maintenant que le «20 » est tiré, il faut le boire.
Les femmes détenues réintègrent leurs cellules pleines d’amertumes.
Abdoulaye Wade a fait ce qu’il avait décidé de faire. Nonobstant les avis de juges d’instruction qui ne voyaient aucunement l’utilité et la faisabilité de la mesure de grâce aux femmes détenues dans les prisons sénégalaises, 333 femmes ont passé la nuit de jeudi et la journée de vendredi à l’air libre. Les détenues de Liberté 6 et de Rufisque avaient été transportées jeudi de leurs prisons à Sébikotane, où elles ont été accueillies dans un centre d’hébergement de l’administration pénitentiaire. Elles avaient pour la plupart été enthousiasmées par cette information au début. Mais dans un doute total, sans avoir même des confirmations par leurs avocats, elles ont espéré être libres. Ce n’était que du vent, selon les dires de certaines d’entre elles. On les a sorties pour vider les lieux durant 24 heures et celles qui ont bénéficié d’une grâce, l’ont eue en fait depuis le 31 décembre naturellement, comme le président le en accorde chaque année à cette même date symbolique. Selon une détenue que nos sources ont pu joindre le jeudi, elles ont été sorties l’après-midi pour aller à Sébikotane où on leur a signifié qu’elles resteraient là 24 heures. « C’est pire que la prison», nous a confié celle qui était même pressée de retourner à Rufisque. Hier, dans la journée, elles ont reçu la visite d’Awa Ndiaye, ministre du Genre et de la Culture qui a disserté avec elles sur l’idée d’impulser une loi favorable à l’avortement en cas de viol ou d’inceste, deux maux qui sont les causes principales des infanticides dont les auteures forment une très grosse proportion des femmes détenues. Hormis cette causerie au coin des arbustes de Sébikotane, il a été question de bonne nourriture améliorée. C’était le moins qu’on pouvait faire pour elles, au vu des espoirs de liberté qu’on avait fait naître en elles. Les femmes détenues que nos sources ont pu joindre demeurent intriguées par cette sortie de prison qui n’en est pas une et qui ne répond à aucune explication immédiate. Les plus anxieuses se demandent à quoi elles ont servi et sont apeurées, car il leur a été dit par leurs parents, sensibles à toutes sortes de rumeurs, qu’elles avaient été les objets d’un sacrifice en vue de l’élection présidentielle. La rumeur, quand tu nous tiens… Certaines se voient même mourir mystiquement. Ces femmes qui espéraient recouvrer la liberté, sont retournées en prison hier soir à minuit. Pour vivre dans leurs crasseuses cellules des jours encore plus affreux. Elles ont eu le sentiment d’avoir été quelque part trompées sur le geste du président Wade. « Journée de partage et de générosité », avait-t-il dit pour justifier cette décision. Les détenues qui ont subi cette générosité n’en comprennent pas le sens. Que les numérologues se mettent au travail : Pourquoi 333 femmes ? Y-a-t-il un sens ésotérique caché dans ce chiffre ? Pourquoi le chiffre 20 ? Qui pour nous éclairer ? Qui pour les rassurer, ces détenues, qu’elles ne sont pas l’objet et l’enjeu d’une œuvre mystique ? Maintenant que le «20 » est tiré, il faut le boire.
DAKARACTU.COM Abdoulaye Wade a fait ce qu’il avait décidé de faire. Nonobstant les avis de juges d’instruction qui ne voyaient aucunement l’utilité et la faisabilité de la mesure de grâce aux femmes détenues dans les prisons sénégalaises, 333 femmes ont passé la nuit de jeudi et la journée de vendredi à l’air libre. Les détenues de Liberté 6 et de Rufisque avaient été transportées jeudi de leurs prisons à Sébikotane, où elles ont été accueillies dans un centre d’hébergement de l’administration pénitentiaire. Elles avaient pour la plupart été enthousiasmées par cette information au début. Mais dans un doute total, sans avoir même des confirmations par leurs avocats, elles ont espéré être libres. Ce n’était que du vent, selon les dires de certaines d’entre elles. On les a sorties pour vider les lieux durant 24 heures et celles qui ont bénéficié d’une grâce, l’ont eue en fait depuis le 31 décembre naturellement, comme le président le en accorde chaque année à cette même date symbolique. Selon une détenue que nos sources ont pu joindre le jeudi, elles ont été sorties l’après-midi pour aller à Sébikotane où on leur a signifié qu’elles resteraient là 24 heures. « C’est pire que la prison», nous a confié celle qui était même pressée de retourner à Rufisque. Hier, dans la journée, elles ont reçu la visite d’Awa Ndiaye, ministre du Genre et de la Culture qui a disserté avec elles sur l’idée d’impulser une loi favorable à l’avortement en cas de viol ou d’inceste, deux maux qui sont les causes principales des infanticides dont les auteures forment une très grosse proportion des femmes détenues. Hormis cette causerie au coin des arbustes de Sébikotane, il a été question de bonne nourriture améliorée. C’était le moins qu’on pouvait faire pour elles, au vu des espoirs de liberté qu’on avait fait naître en elles. Les femmes détenues que nos sources ont pu joindre demeurent intriguées par cette sortie de prison qui n’en est pas une et qui ne répond à aucune explication immédiate. Les plus anxieuses se demandent à quoi elles ont servi et sont apeurées, car il leur a été dit par leurs parents, sensibles à toutes sortes de rumeurs, qu’elles avaient été les objets d’un sacrifice en vue de l’élection présidentielle. La rumeur, quand tu nous tiens… Certaines se voient même mourir mystiquement. Ces femmes qui espéraient recouvrer la liberté, sont retournées en prison hier soir à minuit. Pour vivre dans leurs crasseuses cellules des jours encore plus affreux. Elles ont eu le sentiment d’avoir été quelque part trompées sur le geste du président Wade. « Journée de partage et de générosité », avait-t-il dit pour justifier cette décision. Les détenues qui ont subi cette générosité n’en comprennent pas le sens. Que les numérologues se mettent au travail : Pourquoi 333 femmes ? Y-a-t-il un sens ésotérique caché dans ce chiffre ? Pourquoi le chiffre 20 ? Qui pour nous éclairer ? Qui pour les rassurer, ces détenues, qu’elles ne sont pas l’objet et l’enjeu d’une œuvre mystique ? Maintenant que le «20 » est tiré, il faut le boire.
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