Le Sénégal travaille dans la prévention, "depuis plus d’une année", pour lutter contre le terrorisme et faire éventuellement face à ce phénomène à l’intérieur des frontières sénégalaises, a assuré, lundi à Dakar, le ministre de l’Intérieur et de la Sécurité publique, Abdoulaye Daouda Diallo.
"Le Sénégal n’est pas à l’abri d’une quelconque surprise’’, a-t-il déclaré à des journalistes, au terme d’une réunion préparatoire à l’édition 2015 du magal de Touba.
Il reste donc à "travailler à juguler’’ le terrorisme "en œuvrant dans la prévention et c’est ce que nous avons fait depuis plus d’un an et nous continuons à le faire en relation avec nos partenaires", a indiqué le ministre de l’Intérieur et de la Sécurité publique.
"Depuis ces surprises au Mali et dans d’autres pays de la sous-région, le chef de l’Etat nous à instruit à travailler dans la prévention et c’est que nous avons fait pour que cela n’arrive pas et si cela arrive, des exercices ont été faits pour répondre à ce phénomène’" a-t-il assuré.
Revenant sur l’interdiction du port de voile intégral, évoqué il y a quelques jours par le chef de l’Etat, Macky Sall, Abdoulaye Daouda Diallo souligne que ce n’est pas là "une question de religion mais de sécurité nationale".
"Nous sommes tous pratiquants. Donc, on ne peut pas prendre une décision qui pourrait affaiblir l’islam", a-t-il dit, invitant ses compatriotes à accepter cette décision qui relèverait de la prévention.
Selon Abdoulaye Daouda Diallo, les services du ministère de l’Intérieur et de la Sécurité publique veilleront à ce que cette décision soit "intégralement appliquée" sur l’ensemble du territoire national.
S’agissant de la sécurité au niveau des frontières, le ministre de l’Intérieur souligne que cette question "est difficile à régler".
"Nous vivons en communauté" sous le régime de la libre circulation des personnes et des biens" au sein de l’espace de la Communauté économique des Etats de l’Afrique de l’Ouest (CEDEAO), a-t-il signalé.
Sur cette base, "il y a nécessairement des difficultés de contrôle au niveau des frontières’’, mais la sécurisation d’un pays doit se baser sur les forces de ses services de renseignement, a fait valoir Abdoulaye Daouda Diallo.
D’après Abdoulaye Diallo, le Sénégal s’est inscrit dans cette perspective, consistant à miser sur le renseignement, en partenariat avec des pays occidentaux tels que les Etat Unis, mais aussi avec des pays voisins - La Guinée, la Guinée =-Bissau, le Mali et la Mauritanie.
"A l’intérieur du pays, la police, la gendarmerie et l’armée travaillent pour avoir le maximum d’informations pour ce qui concerne ce nouveau phénomène", a-t-il assuré, estimant que le terrorisme fait partie aujourd’hui de l’"existence et touche tout le monde".
"Le Sénégal n’est pas à l’abri d’une quelconque surprise’’, a-t-il déclaré à des journalistes, au terme d’une réunion préparatoire à l’édition 2015 du magal de Touba.
Il reste donc à "travailler à juguler’’ le terrorisme "en œuvrant dans la prévention et c’est ce que nous avons fait depuis plus d’un an et nous continuons à le faire en relation avec nos partenaires", a indiqué le ministre de l’Intérieur et de la Sécurité publique.
"Depuis ces surprises au Mali et dans d’autres pays de la sous-région, le chef de l’Etat nous à instruit à travailler dans la prévention et c’est que nous avons fait pour que cela n’arrive pas et si cela arrive, des exercices ont été faits pour répondre à ce phénomène’" a-t-il assuré.
Revenant sur l’interdiction du port de voile intégral, évoqué il y a quelques jours par le chef de l’Etat, Macky Sall, Abdoulaye Daouda Diallo souligne que ce n’est pas là "une question de religion mais de sécurité nationale".
"Nous sommes tous pratiquants. Donc, on ne peut pas prendre une décision qui pourrait affaiblir l’islam", a-t-il dit, invitant ses compatriotes à accepter cette décision qui relèverait de la prévention.
Selon Abdoulaye Daouda Diallo, les services du ministère de l’Intérieur et de la Sécurité publique veilleront à ce que cette décision soit "intégralement appliquée" sur l’ensemble du territoire national.
S’agissant de la sécurité au niveau des frontières, le ministre de l’Intérieur souligne que cette question "est difficile à régler".
"Nous vivons en communauté" sous le régime de la libre circulation des personnes et des biens" au sein de l’espace de la Communauté économique des Etats de l’Afrique de l’Ouest (CEDEAO), a-t-il signalé.
Sur cette base, "il y a nécessairement des difficultés de contrôle au niveau des frontières’’, mais la sécurisation d’un pays doit se baser sur les forces de ses services de renseignement, a fait valoir Abdoulaye Daouda Diallo.
D’après Abdoulaye Diallo, le Sénégal s’est inscrit dans cette perspective, consistant à miser sur le renseignement, en partenariat avec des pays occidentaux tels que les Etat Unis, mais aussi avec des pays voisins - La Guinée, la Guinée =-Bissau, le Mali et la Mauritanie.
"A l’intérieur du pays, la police, la gendarmerie et l’armée travaillent pour avoir le maximum d’informations pour ce qui concerne ce nouveau phénomène", a-t-il assuré, estimant que le terrorisme fait partie aujourd’hui de l’"existence et touche tout le monde".
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