Interrogé sur la maltraitance que certains Africains vivent dans les pays européens, l'Ambassadeur du Sénégal en Russie, Abdou Salam Diallo de répondre : « C’est sûr que certains vont dire que je suis ambassadeur, raison pour laquelle je n’ai pas ce problème. Je ne le cache pas car ce genre de problèmes existe partout dans le monde, même en Afrique. La Russie n’échappe pas à cette logique. Il y avait d’énormes difficultés dans ce pays en 1991. Il a fallu un président comme Poutine pour réorganiser le pays. Je dois avouer que je ne fais que reprendre ce que des diplomates africains m’ont dit et des africains qui vivent ici : depuis que le président Poutine a pris ce pays, la question de la xénophobie a pratiquement été réglée. Il ne tolère pas qu’un russe ait une attitude violente à l’encontre d’un Africain. Ce n’est plus comme il y'a 10 ans car le pouvoir n’accepte pas cela. Aujourd’hui, on peut circuler à n’importe quelle heure sans problème. Les Africains peuvent vivre sans crainte en Russie. »
« La communauté sénégalaise, des jeunes engagés et bien éduqués »
Sur les sénégalais vivant en Russie, l'Ambassadeur Diallo témoigne : « nous avons une communauté Sénégalaise qui est très restreinte si vous faites une comparaison avec celle qui est en Italie, en France ou en Espagne. Ici, nous avons une communauté à peu près estudiantine. Le reste, c’est des émigrés qui ont entre 25 et 30 ans. Des jeunes engagés et éduqués. Je passe de temps en temps les voir et je suis content de leurs comportements. En général, ils sont très bien éduqués car ils viennent souvent de foyers religieux. Ils se regroupent en Dahira et il y a une discipline de groupe. Globalement, nous n’avons pas de difficultés particulières. Certains sont en situation réglementaire et d’autres moins mais puisqu’ils ne commettent pas d’erreurs, ils sont acceptés. »
« La communauté sénégalaise, des jeunes engagés et bien éduqués »
Sur les sénégalais vivant en Russie, l'Ambassadeur Diallo témoigne : « nous avons une communauté Sénégalaise qui est très restreinte si vous faites une comparaison avec celle qui est en Italie, en France ou en Espagne. Ici, nous avons une communauté à peu près estudiantine. Le reste, c’est des émigrés qui ont entre 25 et 30 ans. Des jeunes engagés et éduqués. Je passe de temps en temps les voir et je suis content de leurs comportements. En général, ils sont très bien éduqués car ils viennent souvent de foyers religieux. Ils se regroupent en Dahira et il y a une discipline de groupe. Globalement, nous n’avons pas de difficultés particulières. Certains sont en situation réglementaire et d’autres moins mais puisqu’ils ne commettent pas d’erreurs, ils sont acceptés. »
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