La paisible localité de Louly Sindiane, dans le département de Mbour, est sous le choc après la découverte d’une affaire de maltraitance d’une cruauté extrême. Un père de famille, D. Faye, est actuellement incarcéré, accusé d’avoir ligoté et emprisonné son fils, A. Faye, déficient mental, pendant une année entière dans un coin sombre de leur maison, rapporte L’Observateur.
Selon les témoignages, D. Faye, un homme d’une soixantaine d’années, aurait enchaîné les bras de son fils de 31 ans, avant de le confiner dans un espace isolé où le jeune homme vivait dans des conditions effroyables, ne pouvant ni se laver ni se déplacer librement. Cette situation dégradante aurait causé de graves blessures aux bras de la victime, infestées de vers, une vision qui a laissé les habitants du village horrifiés.
Les faits ont été découverts le 29 octobre, lorsque des voisins, alarmés par des cris de détresse venant de la maison de D. Faye, ont décidé d’intervenir. L’un des habitants, courageux, est entré dans la demeure et a trouvé A. Faye dans un état de santé pitoyable, couvert de plaies et manifestement affaibli par ses conditions de vie abominables. L’Observateur décrit cette scène comme d’une “barbarie inédite” pour les villageois qui peinent encore à comprendre l’ampleur de la cruauté.
Alertés, les gendarmes de Sandiara sont rapidement intervenus avec le soutien des pompiers et des services d’hygiène. Après une longue année de calvaire, A. Faye a finalement été libéré de ses chaînes et transporté aux urgences de l’hôpital Thierno Mouhamadoul Mansour Barro de Mbour pour des soins intensifs.
Interrogé sur ses motivations, D. Faye a expliqué qu’il souhaitait “surveiller” son fils, qu’il qualifie de violent et qui avait tendance à errer dans le village, un argument qui n’a pas convaincu les autorités ni les villageois. D. Faye est désormais poursuivi pour “acte de barbarie” envers un handicapé mental et a été déféré au parquet de Mbour.
Le village, encore sous le choc, espère que justice sera faite pour A. Faye, dont les souffrances atroces ont mis en lumière une réalité tragique et suscitent une indignation collective.
Selon les témoignages, D. Faye, un homme d’une soixantaine d’années, aurait enchaîné les bras de son fils de 31 ans, avant de le confiner dans un espace isolé où le jeune homme vivait dans des conditions effroyables, ne pouvant ni se laver ni se déplacer librement. Cette situation dégradante aurait causé de graves blessures aux bras de la victime, infestées de vers, une vision qui a laissé les habitants du village horrifiés.
Les faits ont été découverts le 29 octobre, lorsque des voisins, alarmés par des cris de détresse venant de la maison de D. Faye, ont décidé d’intervenir. L’un des habitants, courageux, est entré dans la demeure et a trouvé A. Faye dans un état de santé pitoyable, couvert de plaies et manifestement affaibli par ses conditions de vie abominables. L’Observateur décrit cette scène comme d’une “barbarie inédite” pour les villageois qui peinent encore à comprendre l’ampleur de la cruauté.
Alertés, les gendarmes de Sandiara sont rapidement intervenus avec le soutien des pompiers et des services d’hygiène. Après une longue année de calvaire, A. Faye a finalement été libéré de ses chaînes et transporté aux urgences de l’hôpital Thierno Mouhamadoul Mansour Barro de Mbour pour des soins intensifs.
Interrogé sur ses motivations, D. Faye a expliqué qu’il souhaitait “surveiller” son fils, qu’il qualifie de violent et qui avait tendance à errer dans le village, un argument qui n’a pas convaincu les autorités ni les villageois. D. Faye est désormais poursuivi pour “acte de barbarie” envers un handicapé mental et a été déféré au parquet de Mbour.
Le village, encore sous le choc, espère que justice sera faite pour A. Faye, dont les souffrances atroces ont mis en lumière une réalité tragique et suscitent une indignation collective.
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