On en sait un peu plus sur le scandale relatif à la vente d’une partie du parking du stade Léopold Sédar Senghor révélé par «Le Pop». En fait, le promoteur privé qui a servi des sommations de déguerpissement aux mécaniciens et qui demande aux gérants d’auto-école de vider les lieux n’est que la face visible de l’iceberg. Ce dernier agit pour le compte de grosses huiles.
Comment ça ?
Parce que le site a été morcelé et transformé en plusieurs baux qui ont été allègrement distribués. Et ce sont ces détenteurs de baux réunis dans un collectif occulte qui ont engagé le promoteur pour faire des constructions sur place. Une affaire qui éclabousse une fois de plus le Cadastre et sur laquelle nous reviendrons amplement. En attendant, il faut juste préciser que le «crime» a été signé en 2003.
C’est d’ailleurs ce que précise le ministère des Sports dans un communiqué : «Cette situation date de bien avant l’avènement du Président Macky Sall à la Magistrature Suprême de notre pays. Dans ce cadre, le Département des Sports tient à préciser qu’il s’oppose formellement à toute aliénation ou tentative d’aliénation de la réserve foncière du stade Léopold Sédar Senghor.»
Outre les questions d’accessibilité et de sécurité qui s’y attachent, rassure-t-on dans le document qui nous est parvenu, la réserve foncière est un élément fondamental de fonctionnalité de l’ouvrage et une condition essentielle de maintien et de sauvegarde de l’homologation conférée par les instances internationales de football notamment.
C’est pourquoi, ajoute le communiqué, «le ministre des Sports M. Matar Ba, faisant suite aux très hautes instructions de M. le Président de la République, a saisi le ministère délégué chargé du Budget pour demander l’arrêt des morcellements et des lotissements sur la réserve foncière du stade Léopold Sédar Senghor et la restauration de la tranche qui fait l’objet d’un déguerpissement.»
Comment ça ?
Parce que le site a été morcelé et transformé en plusieurs baux qui ont été allègrement distribués. Et ce sont ces détenteurs de baux réunis dans un collectif occulte qui ont engagé le promoteur pour faire des constructions sur place. Une affaire qui éclabousse une fois de plus le Cadastre et sur laquelle nous reviendrons amplement. En attendant, il faut juste préciser que le «crime» a été signé en 2003.
C’est d’ailleurs ce que précise le ministère des Sports dans un communiqué : «Cette situation date de bien avant l’avènement du Président Macky Sall à la Magistrature Suprême de notre pays. Dans ce cadre, le Département des Sports tient à préciser qu’il s’oppose formellement à toute aliénation ou tentative d’aliénation de la réserve foncière du stade Léopold Sédar Senghor.»
Outre les questions d’accessibilité et de sécurité qui s’y attachent, rassure-t-on dans le document qui nous est parvenu, la réserve foncière est un élément fondamental de fonctionnalité de l’ouvrage et une condition essentielle de maintien et de sauvegarde de l’homologation conférée par les instances internationales de football notamment.
C’est pourquoi, ajoute le communiqué, «le ministre des Sports M. Matar Ba, faisant suite aux très hautes instructions de M. le Président de la République, a saisi le ministère délégué chargé du Budget pour demander l’arrêt des morcellements et des lotissements sur la réserve foncière du stade Léopold Sédar Senghor et la restauration de la tranche qui fait l’objet d’un déguerpissement.»
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