Le magal de Ngabou a vécu ce mercredi. Occasion saisie par Serigne Cheikh Abdou Lô Ngabou, fils de Serigne Cheikh Lô Ngabou pour appeler au travail. Cet appel est d'abord destiné, dira-t-il, à tous les petits-fils de Serigne Touba qui ont tendance, selon la rumeur, à vivre les bras croisés. Le chef religieux qui se réjouit d'être descendant d'un homme qui a fait du travail son occupation particulière, souhaiterait lui ressembler et invite des pairs à copier le modèle Cheikh Ahmadou Bamba.
'' Nous, petits-fils de Serigne Touba, n'avons qu'une obligation : travailler et pratiquer notre religion. Notre activité ne doit nullement se résumer, comme c'est le cas pour certains d'entre nous, à parcourir les bureaux de fonctionnaires ou des élus pour recueillir des signatures ou chercher des profits. Travaillons ! C'est cela qui nous permettra de protéger notre noblesse, notre dignité! ''
Serigne Cheikh Abdou Lô, interpellé sur l'absence d'infrastructures dans la cité religieuse de Ngabou, estime que la localité de ses pères est victime d'un oubli ahurissant qui date de très longtemps. ''Nous ne viendrons jamais quémander quelque chose. Il revient à l'Etat de savoir que nous sommes une cité religieuse et de s'arranger à savoir ce dont nous avons besoin. Ngabou mérite de bénéficier d'infrastructures et d'un programme de modernisation comme toutes les autres villes religieuses. Hélas!"
Interpellé sur la genèse du magal, Serigne Cheikh Abdou Lô fera un petit résumé. '' Ce magal a été organisé par Serigne Cheikh Lô qui estimait que l'événement avait pour objectif de réunir les pauvres, les égarés et les personnes en difficulté. Son objectif était de donner à manger aux nécessiteux, ne serait-ce qu'en l'espace d'une journée, et de prier pour ceux qui souffrent pour diverses raisons. C'est exactement pour cela que mon père invitait les populations à venir rendre grâce à Dieu sur cette terre bénie. '' Ngabou est une cité religieuse qui se situe sur le tronçon Diourbel/Mbacké...
'' Nous, petits-fils de Serigne Touba, n'avons qu'une obligation : travailler et pratiquer notre religion. Notre activité ne doit nullement se résumer, comme c'est le cas pour certains d'entre nous, à parcourir les bureaux de fonctionnaires ou des élus pour recueillir des signatures ou chercher des profits. Travaillons ! C'est cela qui nous permettra de protéger notre noblesse, notre dignité! ''
Serigne Cheikh Abdou Lô, interpellé sur l'absence d'infrastructures dans la cité religieuse de Ngabou, estime que la localité de ses pères est victime d'un oubli ahurissant qui date de très longtemps. ''Nous ne viendrons jamais quémander quelque chose. Il revient à l'Etat de savoir que nous sommes une cité religieuse et de s'arranger à savoir ce dont nous avons besoin. Ngabou mérite de bénéficier d'infrastructures et d'un programme de modernisation comme toutes les autres villes religieuses. Hélas!"
Interpellé sur la genèse du magal, Serigne Cheikh Abdou Lô fera un petit résumé. '' Ce magal a été organisé par Serigne Cheikh Lô qui estimait que l'événement avait pour objectif de réunir les pauvres, les égarés et les personnes en difficulté. Son objectif était de donner à manger aux nécessiteux, ne serait-ce qu'en l'espace d'une journée, et de prier pour ceux qui souffrent pour diverses raisons. C'est exactement pour cela que mon père invitait les populations à venir rendre grâce à Dieu sur cette terre bénie. '' Ngabou est une cité religieuse qui se situe sur le tronçon Diourbel/Mbacké...
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