A quelques jours de la rentrée scolaire, prévue le 7 octobre, ce n’est pas encore l’affluence chez les bouquinistes par terre, particulièrement ceux des avenues Emile Badiane et Jean Jaurès.
Sur ces deux grandes artères, livres, cahiers, romans, stylos, gommes, crayons et autres matériels de géométrie sont exposés par terre, dans des cantines ou sur des tables, attendent l’arrivée des acheteurs.
Pour Alassane Ba, bouquiniste établi sur Emile Badiane, ‘’les parents d’élèves attendent que leurs enfants reçoivent leur programme’’ pour venir faire leurs achats de fournitures.
Son voisin Ibou Sakho abonde dans le même sens, déplorant que les Sénégalais attendent toujours la dernière minute pour venir. ‘’Les clients viennent au compte-gouttes actuellement. Et c’est au dernier moment qu’ils achètent pour la plupart du temps’’, explique-t-il.
Noyés dans le vacarme, les bouquinistes de l’Avenue Jean Jaurés vivent la même situation. Debout devant son étal de livres, cahiers et romans, principalement, Bachir Ramadan Seck, se tourne les pouces en attendant les clients. ‘’On n’en voit pas, ce n’est pas le rush’’, lance-t-il. ‘’Le peu de clients qui arrivent nous demandent des ouvrages du programme de l’école française qui a repris les cours’’.
A côté de Bachir, un vieux à la barbe hirsute, le visage ridé, embouche la même trompette sous le couvert de l’anonymat. ‘’Les clients ne sont pas nombreux en cette période. Peut-être que c’est la crise’’, explique-t-il.
Mais pour lui, il y a aussi ‘’la succession des événements’’. ‘’Il y a la fête de Tabaski qui se profile à l’horizon et nous venons de juste célébrer la Korité’’, fait-il observer.
( APS )
Sur ces deux grandes artères, livres, cahiers, romans, stylos, gommes, crayons et autres matériels de géométrie sont exposés par terre, dans des cantines ou sur des tables, attendent l’arrivée des acheteurs.
Pour Alassane Ba, bouquiniste établi sur Emile Badiane, ‘’les parents d’élèves attendent que leurs enfants reçoivent leur programme’’ pour venir faire leurs achats de fournitures.
Son voisin Ibou Sakho abonde dans le même sens, déplorant que les Sénégalais attendent toujours la dernière minute pour venir. ‘’Les clients viennent au compte-gouttes actuellement. Et c’est au dernier moment qu’ils achètent pour la plupart du temps’’, explique-t-il.
Noyés dans le vacarme, les bouquinistes de l’Avenue Jean Jaurés vivent la même situation. Debout devant son étal de livres, cahiers et romans, principalement, Bachir Ramadan Seck, se tourne les pouces en attendant les clients. ‘’On n’en voit pas, ce n’est pas le rush’’, lance-t-il. ‘’Le peu de clients qui arrivent nous demandent des ouvrages du programme de l’école française qui a repris les cours’’.
A côté de Bachir, un vieux à la barbe hirsute, le visage ridé, embouche la même trompette sous le couvert de l’anonymat. ‘’Les clients ne sont pas nombreux en cette période. Peut-être que c’est la crise’’, explique-t-il.
Mais pour lui, il y a aussi ‘’la succession des événements’’. ‘’Il y a la fête de Tabaski qui se profile à l’horizon et nous venons de juste célébrer la Korité’’, fait-il observer.
( APS )
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