Bien que retiré en France, Abdoulaye Wade n’en délaisse pas pour autant son parti, encore moins la bataille pour la libération de son fils Karim.
Pour donner un coup de fouet à ses ouailles libérales, il a décidé de mettre la main à la poche. L’on se rappelle qu’après que la Cour suprême a rendu son verdict définitif sur l’affaire Karim Wade, le pape du sopi affirmait, depuis sa résidence de Versailles, que le PDS et ses alliés allaient continuer la bataille pour freiner la progression de l’injustice dans notre pays. Abdoulaye Wade promettait de conduire lui-même le volet politique de ce combat et de procéder au préalable à une réadaptation des stratégies en fonction des nouvelles donnes politico-judiciaires.
Comme pour joindre l’acte à la parole, le secrétaire général du PDS a enjoint les responsables de son parti et quelques membres de son entourage restés à Dakar, de procéder au listing des besoins financiers et matériels pour une bonne préparation des batailles de remobilisation et d’occupation de l’espace politique sur plusieurs mois, et de lui faire parvenir un projet de budget dans ce sens, dans les meilleurs délais, renseigne L’Obs.
Le coordinateur Oumar Sarr et Cie ont ainsi entrepris de dresser l’esquisse de ce qui devrait être l’expression chiffrée de l’arsenal de guerre pour le PDS et ses alliés du Front pour la défense de la République.
Selon une source proche des responsables chargés de la vie, de la propagande et de l’animation du parti, le secrétaire général du PDS ambitionne de mettre armes et munitions politiques à la disposition de ses lieutenants afin que la guerre pour la libération de leurs responsables emprisonnés prenne une autre dimension en cette période de ferveur politique et de quasi-campagne électorale. Les fonds mobilisés, précise-t-on, sont exclusivement propres à Abdoulaye Wade, lequel a déploré le peu d’engouement de certains responsables élus au nom du parti à mettre la main à la poche lorsqu’il s’agit de l’intérêt du parti en pareilles circonstances.
Pour donner un coup de fouet à ses ouailles libérales, il a décidé de mettre la main à la poche. L’on se rappelle qu’après que la Cour suprême a rendu son verdict définitif sur l’affaire Karim Wade, le pape du sopi affirmait, depuis sa résidence de Versailles, que le PDS et ses alliés allaient continuer la bataille pour freiner la progression de l’injustice dans notre pays. Abdoulaye Wade promettait de conduire lui-même le volet politique de ce combat et de procéder au préalable à une réadaptation des stratégies en fonction des nouvelles donnes politico-judiciaires.
Comme pour joindre l’acte à la parole, le secrétaire général du PDS a enjoint les responsables de son parti et quelques membres de son entourage restés à Dakar, de procéder au listing des besoins financiers et matériels pour une bonne préparation des batailles de remobilisation et d’occupation de l’espace politique sur plusieurs mois, et de lui faire parvenir un projet de budget dans ce sens, dans les meilleurs délais, renseigne L’Obs.
Le coordinateur Oumar Sarr et Cie ont ainsi entrepris de dresser l’esquisse de ce qui devrait être l’expression chiffrée de l’arsenal de guerre pour le PDS et ses alliés du Front pour la défense de la République.
Selon une source proche des responsables chargés de la vie, de la propagande et de l’animation du parti, le secrétaire général du PDS ambitionne de mettre armes et munitions politiques à la disposition de ses lieutenants afin que la guerre pour la libération de leurs responsables emprisonnés prenne une autre dimension en cette période de ferveur politique et de quasi-campagne électorale. Les fonds mobilisés, précise-t-on, sont exclusivement propres à Abdoulaye Wade, lequel a déploré le peu d’engouement de certains responsables élus au nom du parti à mettre la main à la poche lorsqu’il s’agit de l’intérêt du parti en pareilles circonstances.
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