La 14e législature se penche actuellement sur le projet de la loi 11/2024 portant révision de la constitution. L’objectif est de répondre au souci de la rationalisation des dépenses en supprimant le Hcct et le Cese. En plénière ce matin, les députés devront débattre de l’opportunité de se débarrasser de ces deux institutions. Pour le haut conseil des collectivités territoriales, il est noté qu’il n’est pas parvenu à apporter une solution appropriée permettant de mettre fin à la grève des travailleurs des collectivités territoriales qui dure depuis des années. En outre, il y’a l'existence d'un chevauchement entre les missions du HCCT et celles dévolues à certains services de l'État tels que l'Agence de Développement municipal (ADM), l'Agence de Développement local (ADL) et l'Agence nationale de l'Aménagement du Territoire (ANAT).
Par conséquent et dans un souci de cohérence et de constance, il a été proposé leur suppression qui permettra d'économiser 15,3 milliards de FCFA chaque année, soit plus de 70 milliards de FCFA au bout de 5 ans. Ces montants pourraient être investis dans des secteurs prioritaires tels que la santé, l'éducation, l'artisanat, la lutte contre l'émigration irrégulière et l'insécurité, notamment, dans la banlieue.
A ce niveau, les souteneurs de la suppression notent que le Sénégal traverse actuellement une situation financière difficile qui exige aux acteurs politiques, de toute obédience confondue, de prendre leurs responsabilités en s'affranchissant de leur manteau politicien. Les sénégalais, souligneront-ils, ont décidé de confier au Président de la République, Bassirou Diomaye Diakhar FAYE, les destinées du pays en validant l'offre politique proposée qui vise la transformation systémique, avec 54,28% des voix au premier tour.
Par conséquent et dans un souci de cohérence et de constance, il a été proposé leur suppression qui permettra d'économiser 15,3 milliards de FCFA chaque année, soit plus de 70 milliards de FCFA au bout de 5 ans. Ces montants pourraient être investis dans des secteurs prioritaires tels que la santé, l'éducation, l'artisanat, la lutte contre l'émigration irrégulière et l'insécurité, notamment, dans la banlieue.
A ce niveau, les souteneurs de la suppression notent que le Sénégal traverse actuellement une situation financière difficile qui exige aux acteurs politiques, de toute obédience confondue, de prendre leurs responsabilités en s'affranchissant de leur manteau politicien. Les sénégalais, souligneront-ils, ont décidé de confier au Président de la République, Bassirou Diomaye Diakhar FAYE, les destinées du pays en validant l'offre politique proposée qui vise la transformation systémique, avec 54,28% des voix au premier tour.
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