Que cherche donc le sieur Mame Mactar Guèye, ci-devant porte parole de la Cap 21, qui envahit de manière intempestive et quotidienne nos medias, avec des élucubrations d’un autre âge mais d’une sinistre répétitivité ?
Il ne se passe pas de jour sans que Matar-le-preux ne commette une boulette. Il aura peut-être été marqué par le décès accidentel de son frère, le regretté Abdoulatif Guèye, accident que d’ailleurs il s’est empressé de qualifier de criminel, arguant que la mafia de la drogue avait perpétré ce crime pour se venger de la Loi Latif Guèye qui envoyait aux assises tous les trafiquants. Cette loi est aujourd’hui remise en question par les autorités judiciaires qui lui attribuent l’embouteillage des prétoires de la République. Est-ce pourquoi cet homme d’un naturel pourtant affable a pété les plombs ? Il voit des complots partout, à chaque coin de rue. Il s’auto-cambriole, de l’avis de Jean-Paul Dias, ses bureaux du Cices et déclare, sans enquête préalable de quelque autorité policière que ce soit, que ce sont les loges maçonniques qui ont perpétré ce forfait. Il sait le bougre que l’opinion quelque peu ignorante accrédite tout ce qui touche à ce cercle de la maçonnerie qu’elle considère comme diabolique. Et il en joue. Pas si fou que ça. Il se fait une réputation de père-la-pudeur, et se proclame chevalier de vertu.
Pour s’opposer au mouvement citoyen qui naît au Sénégal et que ses invisibles capacités intellectuelles ne lui permettent pas de contrer, pour faire plaisir à son patron, et parce qu’il n’a pas d’arguments politiques à leur opposer, son machin de la Cap21 n’en ayant pas la perspective, il s’en va dans la plus mauvaise expression de l’éducation et du respect dire à un guide religieux que ces mouvements citoyens sont infestés de francs-maçons et d’homosexuels. Les preuves de ce qu’il avance ? On verra après. Moult tergiversations accompagnées de démentis frileux ne le sortent pas d’affaire pour autant et devant le danger qui se profile à la porte des prétoires, Mame Mactar Guèye allume des contre-feux encore plus malodorants. Cette fois-ci, pour faire crédible, il tire sur son propre camp, en désignant les « gros bonnets du régime », comme il les appelle, comme étant des tristes pervertisseurs de braves étudiantes haïtiennes esseulées au campus dakarois. Les vilains bougres !!! Sauf que cela ne tient aucunement la route et a provoqué, en plus de l’hilarité générale, une cinglante mise au point indignée des étudiantes concernées.
Cet homme est dangereux. Il convient de l’arrêter et de le mettre en maison de repos. Il en a grand besoin. Nous aussi, ça nous reposera de ses frasques somnambulesques et abracadabrantesques qui ne nous font plus rire en nous faisant douter de la clairvoyance de la classe politique qui nous gouverne. Octroyons de toute urgence un mois de repos dans un hôpital à ce monsieur qui pourchasse des moulins à vent que lui seul aperçoit. Ou alors respectons ses traditions familiales et organisons lui, avec ses congénères lébous, un vrai Ndeup, grandeur nature, salutaire et bienfaisant pour notre tranquillité. Arrêter le cirque de Mame Matar Guèye est une urgence de salubrité publique.
Il ne se passe pas de jour sans que Matar-le-preux ne commette une boulette. Il aura peut-être été marqué par le décès accidentel de son frère, le regretté Abdoulatif Guèye, accident que d’ailleurs il s’est empressé de qualifier de criminel, arguant que la mafia de la drogue avait perpétré ce crime pour se venger de la Loi Latif Guèye qui envoyait aux assises tous les trafiquants. Cette loi est aujourd’hui remise en question par les autorités judiciaires qui lui attribuent l’embouteillage des prétoires de la République. Est-ce pourquoi cet homme d’un naturel pourtant affable a pété les plombs ? Il voit des complots partout, à chaque coin de rue. Il s’auto-cambriole, de l’avis de Jean-Paul Dias, ses bureaux du Cices et déclare, sans enquête préalable de quelque autorité policière que ce soit, que ce sont les loges maçonniques qui ont perpétré ce forfait. Il sait le bougre que l’opinion quelque peu ignorante accrédite tout ce qui touche à ce cercle de la maçonnerie qu’elle considère comme diabolique. Et il en joue. Pas si fou que ça. Il se fait une réputation de père-la-pudeur, et se proclame chevalier de vertu.
Pour s’opposer au mouvement citoyen qui naît au Sénégal et que ses invisibles capacités intellectuelles ne lui permettent pas de contrer, pour faire plaisir à son patron, et parce qu’il n’a pas d’arguments politiques à leur opposer, son machin de la Cap21 n’en ayant pas la perspective, il s’en va dans la plus mauvaise expression de l’éducation et du respect dire à un guide religieux que ces mouvements citoyens sont infestés de francs-maçons et d’homosexuels. Les preuves de ce qu’il avance ? On verra après. Moult tergiversations accompagnées de démentis frileux ne le sortent pas d’affaire pour autant et devant le danger qui se profile à la porte des prétoires, Mame Mactar Guèye allume des contre-feux encore plus malodorants. Cette fois-ci, pour faire crédible, il tire sur son propre camp, en désignant les « gros bonnets du régime », comme il les appelle, comme étant des tristes pervertisseurs de braves étudiantes haïtiennes esseulées au campus dakarois. Les vilains bougres !!! Sauf que cela ne tient aucunement la route et a provoqué, en plus de l’hilarité générale, une cinglante mise au point indignée des étudiantes concernées.
Cet homme est dangereux. Il convient de l’arrêter et de le mettre en maison de repos. Il en a grand besoin. Nous aussi, ça nous reposera de ses frasques somnambulesques et abracadabrantesques qui ne nous font plus rire en nous faisant douter de la clairvoyance de la classe politique qui nous gouverne. Octroyons de toute urgence un mois de repos dans un hôpital à ce monsieur qui pourchasse des moulins à vent que lui seul aperçoit. Ou alors respectons ses traditions familiales et organisons lui, avec ses congénères lébous, un vrai Ndeup, grandeur nature, salutaire et bienfaisant pour notre tranquillité. Arrêter le cirque de Mame Matar Guèye est une urgence de salubrité publique.
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