Mes chers compatriotes,
En cette mémorable journée du 26 février 2012, le peuple sénégalais, notre grand peuple, avait rendez-vous, une nouvelle fois, avec l’histoire. Par sa mobilisation exceptionnelle notée en la circonstance, le Sénégal a, encore une fois, démontré sa maturité et son génie.
Je remercie les Sénégalaises et Sénégalais qui ont porté leur choix sur ma personne. Je me félicite de l’apport de tous les amis, mes camarades de l’APR et les forces alliées qui ont soutenu ma candidature dans le cadre de la Coalition Macky 2012.
Une victoire éclatante est sortie des urnes, c’est la victoire de l’électorat sénégalais, la victoire du peuple sénégalais. Nous nous devons tous de nous en réjouir et d’en être fiers, dans ces circonstances où le monde entier a les yeux braqués sur notre pays.
Assurément, et le peuple l’a démontré, le modèle de démocratie sénégalaise n’est pas une chimère. C’est une réalité patente, multiséculaire, et dont la progression est inéluctable.
La volonté populaire des Sénégalais s’est exprimée. La souveraineté du peuple est ressortie des urnes en cette journée du 26 février 2012. Il est du devoir de tous les Sénégalais de la respecter, de la faire respecter. Pour ma part, en ma qualité de citoyen, et de candidat porteur de l’espoir de tant de Sénégalais, j’en appelle au respect strict de cette volonté populaire si clairement exprimée. Quiconque serait tenté de violer cette souveraineté, une souveraineté au-dessus de toutes les autres dans une République, porterait la responsabilité de la colère populaire qu’il susciterait ainsi.
Entendre parler de victoire au premier tour est inadmissible ! Cela engendrerait des conséquences graves ! Au sortir d’une journée comme celle du 26 février, et des mois de tension que nous venons de connaître, marqués par de trop nombreux morts et blessés il ne faudrait pas bafouer encore la volonté du peuple, comme ce fut le cas le 23 juin 2012. Le peuple a parlé, il faut entendre sa voix. Il est impératif de suivre la voie qu’il a indiquée.
Le peuple sénégalais ne saurait être en marge de la marche du monde. Son choix s’inscrit dans la tendance des démocraties modernes où le deuxième tour traduit la maturité de l’électorat. Ce Sénégal cité en modèle achevé de démocratie ne peut pas devenir un contre-exemple par la volonté d’un homme ou d’un régime.
Les chiffres en notre possession, publiés par les médias, et les tendances des bureaux témoins indiquent qu’un deuxième tour est inéluctable.
Nous avons gagné les plus grands départements du pays.
Nous avons gagné dans chacun des quatre départements de la région de Dakar : Dakar, Pikine, Guédiawaye et Rufisque. Nous avons gagné très largement à Fatick, nous avons gagné à Tambacounda, nous avons gagné à Louga, nous avons gagné massivement à Matam, nous avons gagné de façon écrasante dans la diaspora…Dans ces conditions, il est inacceptable que les tenants du régime profitent du sommeil des braves gens, des Sénégalais éprouvés par une rude journée, pour tenter de distiller des résultats sortis seulement de leur imagination. Ce serait une nouvelle forfaiture que le peuple ne saurait accepter. Je mets donc en garde les apprentis sorciers contre toute tentative de confiscation de la volonté populaire. Le rejet massif dont le président sortant fait l’objet s’est manifesté dans les résultats. J’en appelle à la responsabilité de tous et de chacun.
En cette mémorable journée du 26 février 2012, le peuple sénégalais, notre grand peuple, avait rendez-vous, une nouvelle fois, avec l’histoire. Par sa mobilisation exceptionnelle notée en la circonstance, le Sénégal a, encore une fois, démontré sa maturité et son génie.
Je remercie les Sénégalaises et Sénégalais qui ont porté leur choix sur ma personne. Je me félicite de l’apport de tous les amis, mes camarades de l’APR et les forces alliées qui ont soutenu ma candidature dans le cadre de la Coalition Macky 2012.
Une victoire éclatante est sortie des urnes, c’est la victoire de l’électorat sénégalais, la victoire du peuple sénégalais. Nous nous devons tous de nous en réjouir et d’en être fiers, dans ces circonstances où le monde entier a les yeux braqués sur notre pays.
Assurément, et le peuple l’a démontré, le modèle de démocratie sénégalaise n’est pas une chimère. C’est une réalité patente, multiséculaire, et dont la progression est inéluctable.
La volonté populaire des Sénégalais s’est exprimée. La souveraineté du peuple est ressortie des urnes en cette journée du 26 février 2012. Il est du devoir de tous les Sénégalais de la respecter, de la faire respecter. Pour ma part, en ma qualité de citoyen, et de candidat porteur de l’espoir de tant de Sénégalais, j’en appelle au respect strict de cette volonté populaire si clairement exprimée. Quiconque serait tenté de violer cette souveraineté, une souveraineté au-dessus de toutes les autres dans une République, porterait la responsabilité de la colère populaire qu’il susciterait ainsi.
Entendre parler de victoire au premier tour est inadmissible ! Cela engendrerait des conséquences graves ! Au sortir d’une journée comme celle du 26 février, et des mois de tension que nous venons de connaître, marqués par de trop nombreux morts et blessés il ne faudrait pas bafouer encore la volonté du peuple, comme ce fut le cas le 23 juin 2012. Le peuple a parlé, il faut entendre sa voix. Il est impératif de suivre la voie qu’il a indiquée.
Le peuple sénégalais ne saurait être en marge de la marche du monde. Son choix s’inscrit dans la tendance des démocraties modernes où le deuxième tour traduit la maturité de l’électorat. Ce Sénégal cité en modèle achevé de démocratie ne peut pas devenir un contre-exemple par la volonté d’un homme ou d’un régime.
Les chiffres en notre possession, publiés par les médias, et les tendances des bureaux témoins indiquent qu’un deuxième tour est inéluctable.
Nous avons gagné les plus grands départements du pays.
Nous avons gagné dans chacun des quatre départements de la région de Dakar : Dakar, Pikine, Guédiawaye et Rufisque. Nous avons gagné très largement à Fatick, nous avons gagné à Tambacounda, nous avons gagné à Louga, nous avons gagné massivement à Matam, nous avons gagné de façon écrasante dans la diaspora…Dans ces conditions, il est inacceptable que les tenants du régime profitent du sommeil des braves gens, des Sénégalais éprouvés par une rude journée, pour tenter de distiller des résultats sortis seulement de leur imagination. Ce serait une nouvelle forfaiture que le peuple ne saurait accepter. Je mets donc en garde les apprentis sorciers contre toute tentative de confiscation de la volonté populaire. Le rejet massif dont le président sortant fait l’objet s’est manifesté dans les résultats. J’en appelle à la responsabilité de tous et de chacun.
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