Le président de la république du Sénégal, après avoir déploré les actes qui se sont produits au niveau de l’Assemblée nationale en marge de l’installation des députés de la 14elégislature, est revenu sur la question de cette deuxième institution qui est aujourd’hui, au centre de tous les débats.
Macky Sall qui semble outré des incidents que tous les sénégalais ont regretté, a tenu à rappeler, en dehors du principe de la séparation des pouvoirs, qu’il reste toutefois, le garant de la marche de toutes les institutions. « Le président de la république est le garant des institutions y compris, l’Assemblée nationale. Ce qui a été noté à l’Assemblée nationale l’autre jour est simplement déplorable dans la mesure où le Sénégal, étant une démocratie qui s’est fortifiée et qui a été vécue durant ces dernières élections et mêmes d’autres. Le peuple dans une maturité exceptionnelle, a exprimé son choix, il n’y a pas de raison alors que ceux qui ont bénéficié de ce choix se comportent de la sorte devant la sacralité d’une telle institution comme l’Assemblée nationale », considère le président de la république qui répondait aux questions des confrères de Voa Afrique dans un entretien en marge de son déplacement à l’assemblée générale des Nations Unies.
Ainsi, mesurant l’impact de ces incidents qui peuvent aboutir à des décisions fâcheuses, le président Macky Sall prévient les députés et leur met devant leurs responsabilités : « Nous avons un système politique qui fait que l’Assemblée nationale ne peut pas bloquer en rien le fonctionnement de l’Etat. Il faut que les gens en soient conscients car, les pouvoirs du président ne dépendent aucunement de l’Assemblée nationale. Il faut que les parlementaires mesurent leurs responsabilités devant la Nation et la gravité des actes qui ont été posés. Nous avons toujours eu une forte opposition, mais jamais on a atteint ce niveau de gravité dans l’histoire de notre pays. Il y va de l’avenir de notre démocratie », précise encore le président en exercice de l’Union Africaine.
Le président du Sénégal ajoutera, pour terminer sur la question, que l’Etat en ce qui le concerne, assumera la permanence des institutions car, considère-t-il, « il y’a des attitudes qui ne sont pas acceptées dans une démocratie ».
Macky Sall qui semble outré des incidents que tous les sénégalais ont regretté, a tenu à rappeler, en dehors du principe de la séparation des pouvoirs, qu’il reste toutefois, le garant de la marche de toutes les institutions. « Le président de la république est le garant des institutions y compris, l’Assemblée nationale. Ce qui a été noté à l’Assemblée nationale l’autre jour est simplement déplorable dans la mesure où le Sénégal, étant une démocratie qui s’est fortifiée et qui a été vécue durant ces dernières élections et mêmes d’autres. Le peuple dans une maturité exceptionnelle, a exprimé son choix, il n’y a pas de raison alors que ceux qui ont bénéficié de ce choix se comportent de la sorte devant la sacralité d’une telle institution comme l’Assemblée nationale », considère le président de la république qui répondait aux questions des confrères de Voa Afrique dans un entretien en marge de son déplacement à l’assemblée générale des Nations Unies.
Ainsi, mesurant l’impact de ces incidents qui peuvent aboutir à des décisions fâcheuses, le président Macky Sall prévient les députés et leur met devant leurs responsabilités : « Nous avons un système politique qui fait que l’Assemblée nationale ne peut pas bloquer en rien le fonctionnement de l’Etat. Il faut que les gens en soient conscients car, les pouvoirs du président ne dépendent aucunement de l’Assemblée nationale. Il faut que les parlementaires mesurent leurs responsabilités devant la Nation et la gravité des actes qui ont été posés. Nous avons toujours eu une forte opposition, mais jamais on a atteint ce niveau de gravité dans l’histoire de notre pays. Il y va de l’avenir de notre démocratie », précise encore le président en exercice de l’Union Africaine.
Le président du Sénégal ajoutera, pour terminer sur la question, que l’Etat en ce qui le concerne, assumera la permanence des institutions car, considère-t-il, « il y’a des attitudes qui ne sont pas acceptées dans une démocratie ».
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