Une histoire peu catholique risque de faire bouger des lignes au sein de la Police à Mbacké. L’adjudant Balla Bâ , en service au commissariat de Gouy- Mbind à Touba, vient de déposer une plainte sur la table du Délégué du Procureur prés le Tribunal d’Instance de Mbacké contre des fonctionnaires de Police, en service au détachement du GMI de Bambey. Clairement en colère , l’adjudant poursuit ses collègues et les accuse d’atteinte à la dignité humaine, violences et voies de faits, coups et blessures volontaires, destruction de bien et dégradation d’une carte professionnelle de la Police Nationale.
La scène s’est produite le 21 décembre dernier , alors que l’adjudant Balla Bâ était en compagnie d’un de ses amis, au stade Iba Guèye de Mbacké où se tenait un match de football. Son désir d'entrer dans le stade s’était malheureusement heurté au niet des policiers en faction qui lui demandaient de décliner son identité . Chose qu’il dit avoir fait . Toutefois, confie-t-il dans la plainte , « ses bourreaux » ont exigé de lui qu’il leur remette la carte professionnelle. Ordre auquel il a refusé d’obtempérer pour ne pas outrepasser les textes qui lui interdisent de se séparer de ce document.
L’adjudant expliquera que cette carte finalement, lui a été violemment arrachée engendrant sa dégradation. Il confie aussi avoir été empoigné tel un délinquant, humilié, invectivé, roué de coups au niveau des cotes. Son ami aurait même reçu le même traitement. À sa plainte, il aurait adjoint une photo de la carte professionnelle dégradée et de deux certificats médicaux de constatations des violences physiques volontaires avec une incapacité temporaire de travail de deux et quatre jours. Affaire à suivre ….
La scène s’est produite le 21 décembre dernier , alors que l’adjudant Balla Bâ était en compagnie d’un de ses amis, au stade Iba Guèye de Mbacké où se tenait un match de football. Son désir d'entrer dans le stade s’était malheureusement heurté au niet des policiers en faction qui lui demandaient de décliner son identité . Chose qu’il dit avoir fait . Toutefois, confie-t-il dans la plainte , « ses bourreaux » ont exigé de lui qu’il leur remette la carte professionnelle. Ordre auquel il a refusé d’obtempérer pour ne pas outrepasser les textes qui lui interdisent de se séparer de ce document.
L’adjudant expliquera que cette carte finalement, lui a été violemment arrachée engendrant sa dégradation. Il confie aussi avoir été empoigné tel un délinquant, humilié, invectivé, roué de coups au niveau des cotes. Son ami aurait même reçu le même traitement. À sa plainte, il aurait adjoint une photo de la carte professionnelle dégradée et de deux certificats médicaux de constatations des violences physiques volontaires avec une incapacité temporaire de travail de deux et quatre jours. Affaire à suivre ….
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