Chér(e)s ami(e)s, mon peuple, chère jeunesse de mon pays,
Il est de coutume que j’agisse, que je pense très souvent à votre situation, à notre situation. Nous sommes plus que utile à ce pays, nous sommes le « fer de lance ».
Je fais appel à votre conscience, à votre bonne volonté de voir les choses changer. Je souhaiterais vous voir tous debout comme « un seul jeune » avide d’occupation.
L’heure de vérité s’approche et je sais que vous ne laisserez aucune chance à ceux qui échoueront à leurs missions. Bien entendu vous avez besoin de gouvernail, de guide qui puisse vous dire à quel sein se vouer. En ma qualité de jeune dévoué à sa jeunesse, permettez moi de vous tendre la main, pour, qu’ensemble nous essayons d’ouvrir la porte du vrai changement. Évidement, nous devons nous lever comme « un seul jeune » avide d’occupation.
Je ne doute une seule seconde que notre Président est animé de bonnes intentions envers sa jeunesse. Et j’ai la ferme conviction qu’en soutenant son effort, sa lutte pour le bien être sociale, nous auront tout à gagner. Il est de nature pour l’être humain de vouloir tout gérer, tout prouver, mais il est aussi de nature que l’échec vient en voulant tout gérer, tout prouver.
En ce jour, mes pensées vont vers ce jeune orphelin en âge de travailler, vivant seul avec sa mère et ses petites sœurs. Un pincement de cœur quand je le vois diplôme en main sillonner les artères de la capital, de bureau en bureau, usine en usine, espérant trouver de quoi subvenir aux besoins de sa mère et de ses petites sœurs. Vu que le climat de l’emploi est morose, qu’elle chance à ce jeune de pas voir sa petite famille sombrer dans l’extrême pauvreté ? AUCUNE.
Une anecdote qui permet de comprendre l’ampleur des dégâts du chômage dans notre cher Sénégal.
Ho ma très chère jeunesse, l’heure de vérité s’approche. D’ici là, armez vous de patience, d’ardeur, d’assurance, de caractère, de confiance, de conscience, de culot, de force, de persévérance, de résistance, de témérité, de vaillance, et surtout de vertu.
Mouhamed KOUDO
« Jeune de son Pays »
Il est de coutume que j’agisse, que je pense très souvent à votre situation, à notre situation. Nous sommes plus que utile à ce pays, nous sommes le « fer de lance ».
Je fais appel à votre conscience, à votre bonne volonté de voir les choses changer. Je souhaiterais vous voir tous debout comme « un seul jeune » avide d’occupation.
L’heure de vérité s’approche et je sais que vous ne laisserez aucune chance à ceux qui échoueront à leurs missions. Bien entendu vous avez besoin de gouvernail, de guide qui puisse vous dire à quel sein se vouer. En ma qualité de jeune dévoué à sa jeunesse, permettez moi de vous tendre la main, pour, qu’ensemble nous essayons d’ouvrir la porte du vrai changement. Évidement, nous devons nous lever comme « un seul jeune » avide d’occupation.
Je ne doute une seule seconde que notre Président est animé de bonnes intentions envers sa jeunesse. Et j’ai la ferme conviction qu’en soutenant son effort, sa lutte pour le bien être sociale, nous auront tout à gagner. Il est de nature pour l’être humain de vouloir tout gérer, tout prouver, mais il est aussi de nature que l’échec vient en voulant tout gérer, tout prouver.
En ce jour, mes pensées vont vers ce jeune orphelin en âge de travailler, vivant seul avec sa mère et ses petites sœurs. Un pincement de cœur quand je le vois diplôme en main sillonner les artères de la capital, de bureau en bureau, usine en usine, espérant trouver de quoi subvenir aux besoins de sa mère et de ses petites sœurs. Vu que le climat de l’emploi est morose, qu’elle chance à ce jeune de pas voir sa petite famille sombrer dans l’extrême pauvreté ? AUCUNE.
Une anecdote qui permet de comprendre l’ampleur des dégâts du chômage dans notre cher Sénégal.
Ho ma très chère jeunesse, l’heure de vérité s’approche. D’ici là, armez vous de patience, d’ardeur, d’assurance, de caractère, de confiance, de conscience, de culot, de force, de persévérance, de résistance, de témérité, de vaillance, et surtout de vertu.
Mouhamed KOUDO
« Jeune de son Pays »
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