Reçu par le porte-parole de Léona Niassène, Cheikh Ahmed Babacar Niass, le leader de Pastef , dans son discours, est revenu sur le sens de sa visite relatif à ses ziars à l'occasion de l'événement religieux consacré à Mame khalifa Niass. Ousmane SONKO a voulu dans son propos rassurer son monde sur ses positions par rapport à la religion.
En effet, selon lui, « la politique nous a rattrapé, mais nous sommes nés musulmans. Raison pour laquelle tout ce que nous faisons, nous le faisons avec raison, mais aussi conformément aux prescriptions de l’Islam. On a dit depuis le début que nous n’utilisons pas la religion à des fins politiques. C’est celui qui ne connaît pas la religion qui peut penser qu’on peut jouer avec. Pour cette raison nous estimons que nous devons être les premiers à accompagner et protéger nos guides religieux. Cela veut dire que nous ne devons pas essayer de leur faire faire ou de leur faire dire ou d’essayer de les utiliser sur des sujets qui peuvent semer de la confusion et mettre à mal leur crédibilité. Les protéger doit être notre devoir premier. » Cependant estime, Ousmane sonko, « le temporel et le spirituel, qui gèrent ce pays doivent se concerter et échanger. » .
Ainsi, le leader de PASTEF, la classe politique à ne pas mélanger les deux . Car dira t-il, « sur le plan politique, nous avons des militants dans la famille, et d’autres aussi on des militants, mais nous devons éviter que par nos comportements et par des manipulations qu’on divise les familles religieuses. Nous ne sommes pas venus pour faire de la politique, mais Dieu a fait qu’à chaque fois que nous sortons les gens sortent. Ce n’est pas de notre faute et nous nous en excusons. Cette maison appartient à tous le monde. A part Dieu, je ne vois pas qui peut nous empêcher de venir ici. Si nous voulons aller à la mosquée je ne vois pas à part Dieu qui peut nous en empêcher . C’est chez nous » a conclu Ousmane Sonko.
En effet, selon lui, « la politique nous a rattrapé, mais nous sommes nés musulmans. Raison pour laquelle tout ce que nous faisons, nous le faisons avec raison, mais aussi conformément aux prescriptions de l’Islam. On a dit depuis le début que nous n’utilisons pas la religion à des fins politiques. C’est celui qui ne connaît pas la religion qui peut penser qu’on peut jouer avec. Pour cette raison nous estimons que nous devons être les premiers à accompagner et protéger nos guides religieux. Cela veut dire que nous ne devons pas essayer de leur faire faire ou de leur faire dire ou d’essayer de les utiliser sur des sujets qui peuvent semer de la confusion et mettre à mal leur crédibilité. Les protéger doit être notre devoir premier. » Cependant estime, Ousmane sonko, « le temporel et le spirituel, qui gèrent ce pays doivent se concerter et échanger. » .
Ainsi, le leader de PASTEF, la classe politique à ne pas mélanger les deux . Car dira t-il, « sur le plan politique, nous avons des militants dans la famille, et d’autres aussi on des militants, mais nous devons éviter que par nos comportements et par des manipulations qu’on divise les familles religieuses. Nous ne sommes pas venus pour faire de la politique, mais Dieu a fait qu’à chaque fois que nous sortons les gens sortent. Ce n’est pas de notre faute et nous nous en excusons. Cette maison appartient à tous le monde. A part Dieu, je ne vois pas qui peut nous empêcher de venir ici. Si nous voulons aller à la mosquée je ne vois pas à part Dieu qui peut nous en empêcher . C’est chez nous » a conclu Ousmane Sonko.
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