L'opération de rapatriement dans leurs pays de ressortissants africains en situation irrégulière s'est déroulée "dans le respect des droits humains" et "conformément aux engagements internationaux" de l'Algérie, a affirmé, le 17 décembre 2016 , le ministère des Affaires étrangères dans un communiqué.
"D'évidence, la réalité des faits ne donne aucune base à la campagne tendancieuse menée par certains milieux connus pour leur hostilité envers l'Algérie qui exploitent à des fins inavouables une opération somme toute ordinaire, gérée dans le respect des droits humains des personnes rapatriées, et conformément aux engagements internationaux que l'Algérie a contractés", souligne le communiqué.
Le ministère a déploré que l'opération de rapatriement de personnes en situation irrégulière de différentes nationalités, qui s'est déroulée du 1er au 6 décembre, "a malencontreusement donné lieu à des commentaires malveillants destinés à jeter le discrédit sur l'hospitalité traditionnelle du peuple algérien ainsi que sur la solidarité naturelle de l'Etat vis-à-vis des pays voisins et amis affectés par des crises provoquant des déplacements de populations".
Cette opération, décidée en tant que "mesure de dernier recours", a-t-il précisé, a été mise en oeuvre par les autorités compétentes consécutivement aux "atteintes récurrentes" à l'ordre public commises dans plusieurs régions du pays et, notamment, à Alger où des "dépassements graves" ont été enregistrés, "en particulier des actes de vandalisme et des agressions physiques inacceptables et injustifiées contre des bénévoles du Croissant Rouge algérien".
Face à de tels comportements, "les forces de l'ordre ont fait preuve d'un professionnalisme et d'un sang-froid exemplaires qui ont permis de contenir les conséquences des incidents, minimes mais regrettables, survenus lors de l'opération de rapatriement", a relevé le ministère.
"L'Algérie, qui a toujours partagé les préoccupations des pays voisins et amis, continue, malgré une conjoncture économique peu favorable, de consentir des efforts considérables en termes de prise en charge de nombreux migrants qui bénéficient, au même titre que les citoyens algériens, de l'accès gratuit aux services de santé et d'éducation", a encore noté la même source.
"D'évidence, la réalité des faits ne donne aucune base à la campagne tendancieuse menée par certains milieux connus pour leur hostilité envers l'Algérie qui exploitent à des fins inavouables une opération somme toute ordinaire, gérée dans le respect des droits humains des personnes rapatriées, et conformément aux engagements internationaux que l'Algérie a contractés", souligne le communiqué.
Le ministère a déploré que l'opération de rapatriement de personnes en situation irrégulière de différentes nationalités, qui s'est déroulée du 1er au 6 décembre, "a malencontreusement donné lieu à des commentaires malveillants destinés à jeter le discrédit sur l'hospitalité traditionnelle du peuple algérien ainsi que sur la solidarité naturelle de l'Etat vis-à-vis des pays voisins et amis affectés par des crises provoquant des déplacements de populations".
Cette opération, décidée en tant que "mesure de dernier recours", a-t-il précisé, a été mise en oeuvre par les autorités compétentes consécutivement aux "atteintes récurrentes" à l'ordre public commises dans plusieurs régions du pays et, notamment, à Alger où des "dépassements graves" ont été enregistrés, "en particulier des actes de vandalisme et des agressions physiques inacceptables et injustifiées contre des bénévoles du Croissant Rouge algérien".
Face à de tels comportements, "les forces de l'ordre ont fait preuve d'un professionnalisme et d'un sang-froid exemplaires qui ont permis de contenir les conséquences des incidents, minimes mais regrettables, survenus lors de l'opération de rapatriement", a relevé le ministère.
"L'Algérie, qui a toujours partagé les préoccupations des pays voisins et amis, continue, malgré une conjoncture économique peu favorable, de consentir des efforts considérables en termes de prise en charge de nombreux migrants qui bénéficient, au même titre que les citoyens algériens, de l'accès gratuit aux services de santé et d'éducation", a encore noté la même source.
Autres articles
-
Campagne législative : le convoi de Amadou Bâ victime d’un accident
-
Disparition de Moustapha Bâ : l’AMS s’incline devant la mémoire de l’ex ministre des finances et rend hommage à un citoyen intègre
-
Importations et produits locaux : des dynamiques divergentes
-
Secteurs de la santé et de l’éducation : stabilité et légères baisses dans certains services
-
Violences électorales : le cortège de Samm Sa Gafaka Samm Sa Ëllëk( ACSIF) attaqué à hauteur de Khombole… Un véhicule de la RTS saccagé