DAKARACTU.COM - Rien ne va plus au Mps/Faxas! Les jeux ne sont certes pas faits, mais il semble que la guerre des longs couteaux est enclenchée pour le contrôle du parti référentiel de Serigne Cheikh Béthio Thioune. En effet, à l'issue d’une réunion avortée consécutivement à divers faux-fuyants, il est maintenant clair que la gestion du parti des Thiantacounes s'est scindée en trois pôles que tout à présent sépare.
D’abord il y a le clan de Khadim Thioune, fils du Guide et député à l’Assemblée Nationale. Il lui est reproché par les talibés une certaine prise de distance avec les militants depuis qu’il est à l’Hémicycle, agrémentée d’une tendance à se la jouer «chef de parti et député», injoignable et clanique, une cour autour de lui. Un comportement cavalier qui ne colle pas avec des idéaux de sobriété liées à sa fonction religieuse en tous cas. Lors du récent Kazou Rajab, au cours d’un grand Thiant, les talibés ont exprimé leur défiance envers lui, auprès d’une autre grande figure du mouvement MPS/Faxas, premier talibé de Cheikh Béthio Thioune, référence absolue de fidélité, Serigne Pape N'diaye «Prési». Cet homme, ancien professeur de Maths à Mariama Bâ est pressenti aussi pour diriger le parti. Il saurait être convaincant, sagesse oblige.
Et puis il y a le légataire, celui qui était là aux origines, et dont le nom figure dans le récépissé du MPS/Faxas, actuellement coordonnateur national, mais qui fait office de président. Il contrôle donc les structures et les bases, donc il fait peur aux deux autres. Son nom Khassim Diouf. Jeune et fonceur s'il le faut, il peut aussi rassembler, il a les données du parti dans ses mains, son concours est nécessaire pour quiconque veut prendre les rênes de ce parti. Alors? Pourquoi pas lui? L’histoire le dira.
En tous cas, de sources sûres, Serigne Béthio est tenu loin de cette guerre de moins en moins larvée entre les trois prétendants. Il est beaucoup plus préoccupé par sa santé, et ne se mêlera pas de ce combat, encore moins de son issue..
D’abord il y a le clan de Khadim Thioune, fils du Guide et député à l’Assemblée Nationale. Il lui est reproché par les talibés une certaine prise de distance avec les militants depuis qu’il est à l’Hémicycle, agrémentée d’une tendance à se la jouer «chef de parti et député», injoignable et clanique, une cour autour de lui. Un comportement cavalier qui ne colle pas avec des idéaux de sobriété liées à sa fonction religieuse en tous cas. Lors du récent Kazou Rajab, au cours d’un grand Thiant, les talibés ont exprimé leur défiance envers lui, auprès d’une autre grande figure du mouvement MPS/Faxas, premier talibé de Cheikh Béthio Thioune, référence absolue de fidélité, Serigne Pape N'diaye «Prési». Cet homme, ancien professeur de Maths à Mariama Bâ est pressenti aussi pour diriger le parti. Il saurait être convaincant, sagesse oblige.
Et puis il y a le légataire, celui qui était là aux origines, et dont le nom figure dans le récépissé du MPS/Faxas, actuellement coordonnateur national, mais qui fait office de président. Il contrôle donc les structures et les bases, donc il fait peur aux deux autres. Son nom Khassim Diouf. Jeune et fonceur s'il le faut, il peut aussi rassembler, il a les données du parti dans ses mains, son concours est nécessaire pour quiconque veut prendre les rênes de ce parti. Alors? Pourquoi pas lui? L’histoire le dira.
En tous cas, de sources sûres, Serigne Béthio est tenu loin de cette guerre de moins en moins larvée entre les trois prétendants. Il est beaucoup plus préoccupé par sa santé, et ne se mêlera pas de ce combat, encore moins de son issue..
Autres articles
-
Kaolack/Crd Pèlerinage national des Catéchistes : "Nous voulons célébrer cette espérance parce que dans notre foi chrétienne..." (Abbé Adrien Papa Sarr)
-
Crise dans le secteur de la boulangerie sénégalaise : un appel urgent aux autorités
-
KOLDA : La ferme "vision verte" victime de vol...
-
Thiès - Examen de fin de formation : les maîtres d'éducation physique et sportive à l'assaut du diplôme CAPCEM- EPS
-
Rentrée des Cours et Tribunaux : L’Ordre des avocats plaide devant le président pour "une justice réinventée, contrôlée"