Invité de l’émission "NAN CI WAX" le consultant parlementaire Malick Ndao estime que la polémique autour de la Déclaration de Politique Générale du Premier Ministre est inutile. Pour lui, l'argument brandi par le groupe parlementaire Yewwi Askan Wi est un faux débat. Il invite le président du groupe parlementaire Yewwi Askan Wi, Ayib Daffé à se ressaisir. « Ayib Daffé doit arrêter de raconter des balivernes dans les médias », lance-t-il.
L’expert parlementaire qui s’appuie sur l’article 55 de la constitution, estime que , le premier ministre Ousmane Sonko doit tenir sa Déclaration Politique Générale devant l’Assemblée Nationale et rien ne l’empêche de venir faire face aux députés. « L’affaire du faux règlement intérieur est plus qu’un faux débat. Vous savez que les politiciens utilisent ce qu’on appelle l’écran de fumée pour échapper aux véritables questions qui sont là, la question de l’emploi de la jeunesse, les problèmes de la société…», dénonce-t-il.
Interrogé sur le blocage du débat d’orientation budgétaire (DOB) à l’initiative du groupe parlementaire Benno Bokk Yakaar, il salue l’acte qu’il considère comme un acte fort qui exprime le principe de séparation des pouvoirs. « Si le premier ministre Ousmane Sonko avait du respect envers l’institution parlementaire, il n'allait pas dire qu’il va tenir sa déclaration politique générale dans l’espace public », soutient-il.
Abordant la dissolution de l’Assemblée nationale, en juillet 2024, défendue par certains alliés de la coalition Diomaye Président, à l’instar d’Aminata Touré. Le consultant parlementaire Malick Ndao est foncièrement convaincu que la dissolution ne peut intervenir qu'en septembre 2024 ,selon la loi qui dispose que la prise de fonction officielle est reconnue qu’à l’installation des nouveaux députés.
L’expert parlementaire qui s’appuie sur l’article 55 de la constitution, estime que , le premier ministre Ousmane Sonko doit tenir sa Déclaration Politique Générale devant l’Assemblée Nationale et rien ne l’empêche de venir faire face aux députés. « L’affaire du faux règlement intérieur est plus qu’un faux débat. Vous savez que les politiciens utilisent ce qu’on appelle l’écran de fumée pour échapper aux véritables questions qui sont là, la question de l’emploi de la jeunesse, les problèmes de la société…», dénonce-t-il.
Interrogé sur le blocage du débat d’orientation budgétaire (DOB) à l’initiative du groupe parlementaire Benno Bokk Yakaar, il salue l’acte qu’il considère comme un acte fort qui exprime le principe de séparation des pouvoirs. « Si le premier ministre Ousmane Sonko avait du respect envers l’institution parlementaire, il n'allait pas dire qu’il va tenir sa déclaration politique générale dans l’espace public », soutient-il.
Abordant la dissolution de l’Assemblée nationale, en juillet 2024, défendue par certains alliés de la coalition Diomaye Président, à l’instar d’Aminata Touré. Le consultant parlementaire Malick Ndao est foncièrement convaincu que la dissolution ne peut intervenir qu'en septembre 2024 ,selon la loi qui dispose que la prise de fonction officielle est reconnue qu’à l’installation des nouveaux députés.
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