La guerre des mots entre l’APR et l’AFP.


La guerre des mots entre l’APR et l’AFP.
DAKARACTU.COM - Même si elles sont dans la même coalition Bennoo Siggil Senegaal, l’Alliance pour la République (APR) et l’Alliance des forces du progrès (AFP) ne filent pas le parfait amour. C'est l'escalade verbale entre les camarades de Moustapha Niasse et les «frères » de Macky Sall. L'échange épique entre les deux formations politiques a commencé par la récente déclaration de Mbaye Dione, responsable des jeunes de l’AFP, appelant les Sénégalais à être vigilants par rapport à certains candidats à la présidentielle issus des flancs du PDS. Irrité par cette sortie, Idrissa Diop de l’APR ne s’est pas fait prier pour apporter la réplique. «Je ne croyais pas qu’on puisse descendre à un niveau abyssal », déplore Diop. Qui ajoute : «Cela démontre que la peur de notre candidat ne se situe pas simplement du côté du pouvoir mais aussi dans l’opposition». Avant de coclure que «la majorité des Sénégalais a déjà choisi le leader de l’APR pour présider aux destinées du Sénégal».
Lundi 26 Septembre 2011




1.Posté par sot le 26/09/2011 16:10
faux! la majorité des sénégalais a choisi le leader de l'AFP et non des voleurs comme Macky ou Idy

2.Posté par alpha le 26/09/2011 16:11
L'AFP de Moustapha est parti de 17 % en 2000 à 5 % en 2007.Ce parti appartient au passé.je pense que l' APR doit éviter de polémiquer avec des partis comme l'AFP. Moustapha Niasse est plus vieux ;c'est un home du passé;il doit aller à la retraite comme Wade.

3.Posté par ibras le 26/09/2011 16:14
SOT tu es petit comme ton nom.Tu ouvres le bal avec des insultes.Tu dois apprendre à bien se comporter c'est mieux.Il ne faut pas méler Macky ds ces histoires de vol.Moustapha a été premier ministre de wade non donc lui aussi c'est un voleur;parlons des idées mon cher c'est mieux.

4.Posté par ibras le 26/09/2011 16:17
Macky ne sera jamais derrière ce vieillard de moustapha Niasse.il ne peut pas dépasser 5 % aux élections.d'ailleurs L'AFP n'est pas un parti représentatif.

5.Posté par assouscs le 26/09/2011 16:21
non , ce serait ridicule , à 5 mois des élections, de faire douter le peuple de votre bonne foi. seul l'intéret du SENEGAL doit primer . des querelles de cette sorte peuvent démontrer que les politiciens ne pensent qu'à eux.

6.Posté par FATOU le 26/09/2011 16:50
JE SAIS QUE IDY VA REMPORTER LA MISE ...IL EST LE SEUL LEADER QUI PEUT BATTRE WADE ....MACHY FAIT LE MALIN ...IL VEUT JOUER UN DOUBLE JEU .....C 4EST DE LHYPOCRISIE POLITIQUE

7.Posté par FATOU le 26/09/2011 16:54
NON FRANCHEMENT MR SALL NE PAS DIRIGER LE SENEGAL . C'EST AMORPHE . DOUBLè D ' UN INCAPAPABLE...IL Nè PAS COURAGEUX IL A DEFESNETRè PAR WADE ..IL s 'EXPRIME MAL .ON EN BESOIN DE KELKUN QUI A UNE BONNE REPUTATION .MAIS PAS MACKY ....IL A UN PARTI ETHNOCENTRISTE

8.Posté par FATOU le 26/09/2011 16:56
NOUS ON A DEJA CHOISI IDY EN 2012 .LE SEUL CANDIDAT LIBERAL .... QUI PEUT GAGNER AU SECOND TOUR .....

9.Posté par FATOU le 26/09/2011 17:01
macky sall ah non ....il ne peut pas etre president .regardez les gens qui l'entourent n'ont aucun ancrage territorial. moi je ne vais pas voter ce poltron je prefere idy que lui ....

10.Posté par alioune diop le 26/09/2011 17:08
je ny crois pas macky est egal à niass .mr sall est un profitard il ne croit en rien ..il ve utiliser benno pour arriver sa fin ....c lui qui proferer des menaces à dansokho

11.Posté par ibras le 26/09/2011 17:24
Idy =voleur; parlons des autres ;IDY est disqualifié il a une maralité douteuse.Le seul candidat crédible c'est Macky.On verra au lendemain du 26 Fevrier.

12.Posté par SJD Dakar le 26/09/2011 17:26
Jules Diop: mara était à bout
SOULEYMANE JULES DIOP: Nous voilà entrés de plain-pied, sans qu’il n’y paraisse, dans l’ère du moralisme libertaire. Il autorise le vol, le mensonge, et le reniement à tout moment. Il arrive à tout justifier, ou à peu près tout, par l’impératif national et le conditionnel patriotique. Avec une prouesse remarquable, les intérêts d’un parti deviennent ceux d’un pays, et les intérêts de deux hommes, ceux de onze millions d’individus. Je ne crois pas que les dizaines de « rewmistes » comprennent quelque chose à ce qu’on leur a fait faire en début de semaine. Ils ont été des soldats obéissants. Arrêtez la guerre, et ils arrêtent la guerre. Mais c’est la qualité première d’un militant : la discipline. Je me suis toujours intéressé à la structuration de ce parti, qui fonctionne jusqu’ici dans une parfaite illégalité, avec des statuts qui changent toutes les semaines. Il faut observer que dans sa devise « avoir, savoir, pouvoir », l’avoir vient avant tout le reste. Son chef lui-même, s’est lancé dans une course effrénée pour les deux premiers termes, condition nécessaire à la conquête et à l’exercice du pouvoir. Il a clairement dit à Mamadou Oumar Ndiaye du temps de Sopi, dans un entretien resté mémorable, qu’il lui fallait des moyens financiers subséquents et une capacité intellectuelle conséquente. Qu’il ait acquis le premier ne fait aucun doute. Le second est plus qu’hypothétique, je le confesse. C’est aussi une bonne façon de percevoir à quel point un parti peut s’identifier à son chef. Le problème avec Idrissa Seck, c’est d’avoir fait de la recherche effrénée de l’argent, non pas un conditionnel à la conquête du pouvoir, mais un impératif à sa propre survie. Il m’a confié, au début de l’alternance, alors qu’ils venaient de prendre le pouvoir, que s’il n’avait pas 6 milliards, il ne s’engagerait pas aux élections. Il n’avait pas dit 6 milliards volés, il avait dit 6 milliards. L’argent devait donc déterminer tout le reste. Il partage avec Abdoulaye Wade ce goût prononcé pour les pécunes. Leur problème est donc centré, non pas sur la question de la gestion du pouvoir, mais sur la gestion des pactoles qu’ils recevaient des « généreux donateurs arabes ». Idrissa Seck s’est confié à un Directeur de la publication d’un quotidien indépendant de la place, au début de sa brouille avec le président de la République. « J’ai mis de l’argent de côté, mais c’est lui qui m’a demandé de le faire. Il m’a demandé si je mettais de l’argent de côté, j’ai dit non. Il m’a dit que c’est maintenant qu’il faut le faire, c’est maintenant qu’il faut préparer 2012 ». Evidemment, ce que Wade ne savait pas, c’est que son adjoint préparait… 2007. Idrissa Seck n’est pas allé voir Abdoulaye Wade avant la présidentielle, par souci de rassemblement. Il l’a fait par nécessité. Quand le président de la République a fait arrêter son convoyeur de fonds, Vieux Sandiery Diop et son principal bailleur Bara Tall, il ne lui restait que la reddition en position accroupi. Il faut saluer le courage et la loyauté de l’entrepreneur, donneur de « paquets de sucre ». C’était leur nom de code. Quand Wade l’a appelé, pour se plaindre de le voir dépanner Idrissa Seck, il lui a répondu « c’est mon argent, j’en fais ce que je veux ». C’est la raison de son emprisonnement. Si Seck avait la garantie des finances, il les aurait laissé moisir en prison, sans état d’âme. Il est allé se donner à Wade, parce qu’il ne pouvait pas tenir financièrement. Il a encore changé d’avis, après avoir obtenu son soutien financier, c’est indéniable. C’est la raison de la grosse colère du président de la République, et il a raison quand il dit à Oumar Sarr et sa bande qu’ils n’ont rien compris. Il n’y a pas d’autre explication à sa seconde reddition. Il était tellement certain d’avoir trahi le président de la République, qu’il croyait sa fin proche, quand Wade a gagné la présidentielle. C’est ce qui explique son empressement à le féliciter, tout en boycottant (comble de l’illogisme) les législatives. Il ne lui restait plus qu’à trouver un moyen de fuir le pays, pour se réfugier en France. La date de son départ, il ne l’a pas choisie au hasard. C’est un 5 avril. Il a dit, dans sa peur presqu’irrationnelle de la prison, « je vais partir à cette date, parce qu’avec tous les chefs d’Etat qui viennent participer à la fête, Abdoulaye Wade n’osera pas m’arrêter ». Un an auparavant, il lui a fait le même coup, en lui balançant une déclaration de candidature en pleines festivités du 04 avril. En réalité, c’est ce qui a toujours déterminé l’agenda d’Idrissa Seck, depuis sa sortie de prison. Il choisit des mois comme le ramadan, le 4 avril, la korité, pour faire ses forfaits, en s’assurant de neutraliser son bourreau, par ces dates « bénies ». Au fond, c’est le président de la République qui s’est fait avoir deux fois, dans cette querelle de mafieux. « Libère-moi, on va se partager les fonds », et il disparait. Quand Wade bloque tous les comptes en Europe, il revient, « donne-moi un peu de sous, je vais calmer mes militants pour te soutenir », et il présente sa candidature à la présidentielle ! Ce qui fait mal, c’est le nombre de familles déchirées, le nombre de carrières sacrifiées par les turpitudes de cet homme loquace. Il fait croire qu’il est inutile de croire, qu’il est inutile d’espérer, que le mensonge est une vertu, que finalement, personne n’est fiable. C’est ce seckticisme politique qu’il faut combattre, parce qu’il conduit à un nihilisme social. Nous ne pouvons pas continuer à enseigner aux enfants de ce pays que la fin justifie toujours les moyens, que tous les politiciens sont menteurs et roublards, quand ils n’y ajoutent pas la bouffonnerie. C’est inadmissible, quelle que soit la raison qu’on puisse invoquer. Je disais à un ami commun, bien gentil de me transmettre ses salutations, que finalement, Idrissa Seck est un Abdoulaye Wade en plus jeune. Ce qu’Abdoulaye Wade a de mieux, c’est qu’il ne nous ment pas. Disons que, quand il nous ment, nous savons qu’il nous ment. Idrissa Seck a la jeunesse en plus, le coran pour nous endormir. J’étais en train de réfléchir à nouveau à la façon dont certains membres de son entourage se sont enrichis. Pas tous, évidemment. Tous les gens dignes qui l’ont entouré sont restés pauvres. Mais ceux qui sont venus de Thiès en mobylettes n’ont pas construit leurs villas de 300 millions aux Almadies avec de l’argent gagné, excusez-moi. Finalement, nous devons remercier Dieu de nous avoir sauvés de cet homme. Il fait ressurgir des préjugés tenaces sur sa condition. Il a dit tant de mal de Wade… Et maintenant, il envoie tous ceux qui l’ont soutenu se soumettre sans condition. Quelle ignominie ! Il faut comprendre la sortie du président de la République contre Oumar Sarr. C’est Idrissa Seck qui lui a dit tout ce qu’il a sorti contre son porte-parole, c’est lui Idrissa Seck qui se jouait de tous, et qui pense qu’il est le seul que la nature ait fait avec 300 grammes de cervelle. Il était mort avant la présidentielle, il vient de mourir une seconde fois. J’étais étonné de voir, pendant que les deux finalisaient leurs négociations, le radicalisme de Rewmi dans le cadre du Front Siggil Sénégal. Oumar Sarr tirait sur le fils du président de la République, pendant que son mentor lui parait ses canines dorées. Quand il a fallu rejoindre Abdoulaye Wade, il a proprement sabordé le front de l’opposition, comme il avait fait avec Ousmane Tanor Dieng et Abdoulaye Bathily. Depuis une semaine, des amis communs intercèdent en faveur de ce nouveau reniement. Ils assurent que, malgré tout, je pourrai visiter le pays sans être inquiété. Il prendra le pouvoir, ou le pouvoir le prendra. Il se paiera la tête de tous ses ennemis, pour consommer tranquillement sa « fortune » amassée. Mais où est la morale dans tout ça ? Il retournera au pouvoir sans son âme. Il l’a déjà vendue.

13.Posté par bling bling le 26/09/2011 17:38
mais cé évident que niasse n'avait pas 5/° en 2007. Wade avait volé les élections aidé en cela par le gangster macky! les sénégalais ne font confiance ni à macky ni à idy: tous des voleurs formés à l'école de wade! ils font plutôt confiance à Niasse. Et cette année les sénégalais se dresseront comme un seul homme pour que la victoire ne soit pas volée à Niasse

14.Posté par baol le 26/09/2011 19:48
qui vuvra verra !

15.Posté par ibras le 26/09/2011 19:57
Idy a reconnu qu'il est né pauvre mais il est devenu riche par le vol.comment ce type peut pretendre diriger le Sénégal ?Les sénégalais ne sont pas dupes.



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