Le Président Gambien Yaya Jammeh ne veut plus de prostituées qui racolent dans les artères des villes gambiennes. Une décision matérialisée en expulsant près d’une centaine de prostituées qui squattaient les coins chauds de Banjul, renseigne L’Obs, et autres grandes villes.
Traquées, interpellées par la police gambienne, près d’une centaine de filles de joie ont été embarquées à bord de deux bus de transport interurbain, direction la capitale du sud Sénégal, où elles ont débarqué samedi dernier, à la gare routière. Et curieusement, ces prostituées expulsées de Gambie ne sont pas toutes Sénégalaises. La plupart d’entre elles sont de nationalité Bissau-guinéenne, Ghanéenne. C’est donc avec grande surprise qu’elles ont constaté que leur point de chute était Ziguinchor et non leur pays d’origine.
Une expulsion insolite et inédite diversement appréciée à Ziguinchor. Dans les rues, les populations ruent déjà dans les brancards. « C’est inadmissible. Les autorités administratives et sanitaires doivent suivre de très près cette affaire. A travers cette mesure d’expulsion, l’Etat gambien veut faire de notre commune un dépotoir pour prostituées », se désole, sous le couvert de l’anonymat, un conducteur de véhicule « 7 places ».
De sources concordantes, il s’avère que ces filles de joie squattaient irrégulièrement des hôtels en Gambie et ont débarqué sans carnet sanitaire. Cependant, dès leur arrivée à Ziguinchor, explique un « coxeur », ces prostituées se « sont aussitôt éparpillées dans Ziguinchor ».
Inquiètes et impuissantes devant cet épiphénomène, les populations de Ziguinchor exhortent les autorités judiciaires à agir vite pour retrouver ces jeunes filles qui constituent de réels dangers ambulants.
Traquées, interpellées par la police gambienne, près d’une centaine de filles de joie ont été embarquées à bord de deux bus de transport interurbain, direction la capitale du sud Sénégal, où elles ont débarqué samedi dernier, à la gare routière. Et curieusement, ces prostituées expulsées de Gambie ne sont pas toutes Sénégalaises. La plupart d’entre elles sont de nationalité Bissau-guinéenne, Ghanéenne. C’est donc avec grande surprise qu’elles ont constaté que leur point de chute était Ziguinchor et non leur pays d’origine.
Une expulsion insolite et inédite diversement appréciée à Ziguinchor. Dans les rues, les populations ruent déjà dans les brancards. « C’est inadmissible. Les autorités administratives et sanitaires doivent suivre de très près cette affaire. A travers cette mesure d’expulsion, l’Etat gambien veut faire de notre commune un dépotoir pour prostituées », se désole, sous le couvert de l’anonymat, un conducteur de véhicule « 7 places ».
De sources concordantes, il s’avère que ces filles de joie squattaient irrégulièrement des hôtels en Gambie et ont débarqué sans carnet sanitaire. Cependant, dès leur arrivée à Ziguinchor, explique un « coxeur », ces prostituées se « sont aussitôt éparpillées dans Ziguinchor ».
Inquiètes et impuissantes devant cet épiphénomène, les populations de Ziguinchor exhortent les autorités judiciaires à agir vite pour retrouver ces jeunes filles qui constituent de réels dangers ambulants.
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