La jeunesse du département de Kanel a manifesté son incompréhension par rapport aux nominations effectuées dans la gestion des affaires publiques. Leur responsable, Houdou Boubou Dia, de signifier dans un communiqué parvenu, hier, à Libération, qu’ils sont loin d’épouser cette conception selon laquelle le pouvoir serait une sorte de partage où, après victoire, les acteurs se retrouvent pour permettre à chacun de recueillir sa part du gain.
«Nous pensons à juste titre nous sentir dans l’attelage gouvernemental et même dans l’appareil administratif», considère-t-il.
Poursuivant, il éclaire que Kanel est à ranger dans le lot des collectivités qui ont battu le record de voix en faveur de l’Alliance pour la République (Apr). Aussi, signale t-il que de la présidentielle aux dernières compétitions électorales, les leaders locaux ont marqué le territoire. Sur ce, il énonce que Kanel a envie de voir plus de promotion de ses ressources humaines.
«Nous en avons énormément. Des jeunes techniquement compétents et politiquement représentatifs, de grands hommes aux compétences techniques avérées et respectés par leur base», avance-t-il, précisant que travailler à aider ces jeunes et grands hommes à fidéliser les militants et avoir le maximum de sympathisants, doit être la logique dans laquelle s’inscrit leur formation politique.
Pour lui, cela ne peut se faire que dans la promotion des jeunes et grands hommes en permettant leur pleine participation à la gestion des affaires publiques.
«Nous pensons à juste titre nous sentir dans l’attelage gouvernemental et même dans l’appareil administratif», considère-t-il.
Poursuivant, il éclaire que Kanel est à ranger dans le lot des collectivités qui ont battu le record de voix en faveur de l’Alliance pour la République (Apr). Aussi, signale t-il que de la présidentielle aux dernières compétitions électorales, les leaders locaux ont marqué le territoire. Sur ce, il énonce que Kanel a envie de voir plus de promotion de ses ressources humaines.
«Nous en avons énormément. Des jeunes techniquement compétents et politiquement représentatifs, de grands hommes aux compétences techniques avérées et respectés par leur base», avance-t-il, précisant que travailler à aider ces jeunes et grands hommes à fidéliser les militants et avoir le maximum de sympathisants, doit être la logique dans laquelle s’inscrit leur formation politique.
Pour lui, cela ne peut se faire que dans la promotion des jeunes et grands hommes en permettant leur pleine participation à la gestion des affaires publiques.
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