Les faits se sont déroulés au Grand place Café Gui sis au rond-point qui mène à l'autoroute Malick Sy, fréquenté par les jeunes du quartier HLM 4. Dans sa livraison de ce lundi 23 octobre l’Observateur informe que le commerçant Semou Niokhor Diouf, 37 ans, a été froidement assassiné par Souleymane Sy, le grand frère de son ami d'enfance. Revenant sur les faits, l’Obs rappelle qu’il etait 11h en une fin de matinée du mercredi 18 octobre, quand les jeunes qui se regroupent autour du vendeur de « café Touba » ont été alertés par des cris en provenance du domicile des Sy. Au pas de la porte, Semou Niokhor Diouf a été retrouvé couché, se tenant la poitrine comme pour arrêter le flot de sang qui giclait par saccades. Devant lui, se tenait, le «marketman» Souleymane Sy, une paire de ciseaux à la main. Il venait de commettre l'irréparable.
Le poste de police des HLM, non loin des lieux, était rapidement alerté, et les hommes du commissaire Ndao se présentaient vite pour sécuriser les lieux, pendant que les sapeurs-pompiers acheminaient la victime au poste de santé de la commune. Ils n'iront pas loin. Semou Niokhor Diouf, touché dans la région du cœur, va succomber à ses blessures. Sa mort se répand comme une traînée de poudre dans le quartier, pendant que le présumé meurtrier est arrêté à son domicile et la paire de ciseaux saisie. Au poste de police où il a été placé en garde à vue, Souleymane Sy reconnaît être l'auteur du crime. Il tente néanmoins de se justifier en voulant faire passer son acte comme une manœuvre malencontreuse. D'après le marchand ambulant, sa victime qui fréquente régulièrement sa maison familiale, avait l'habitude d'y fumer du chanvre indien avec son jeune frère, son ami d'enfance.
Une version contestée par son propre frère qui, auditionné sur Procès-verbal, révélait aux enquêteurs que son ami, Semou Niokhor Diouf, voyageait à Istanbul, en Turquie, pour s'approvisionner en produits vestimentaires, parfums et autres articles de commerce. Il remettait des marchandises à revendre au présumé meurtrier, ce qui lui permettait d'avoir de l'argent de poche. Le frangin du présumé tueur raconte dans les colonnes de l’Obs, que le jour des faits, son défunt ami, Semou Niokhor Diouf était venu faire les comptes avec Souleymane, quand une querelle a éclaté entre la victime et le présumé meurtrier. C'est ainsi qu'est survenu l'irréparable.
Une autre version servie par une source de L'Observateur, parle de relations d'affaires entre le mis en cause et la victime. Selon cette source anonyme, Semou avait remis depuis son retour de voyage, des parfums à Souleymane. Ce dernier devait les écouler et lui rendre les sommes fixées comme prix de rente. Le marchand ambulant aurait vendu les parfums de classe à vil prix et en dépensant l'argent selon son bon vouloir. La source révèle qu'à chaque fois que le défunt voulait rentrer dans ses fonds, Souleymane le renvoyait à un autre jour. Jusqu'à cette fin de matinée du mercredi 18 octobre, quand il s'est présenté de nouveau au domicile des Sy pour réclamer son dû. Sans chercher à comprendre, Souleymane le renvoyait à un autre jour. Jusqu'à cette fin de matinée du mercredi 18 octobre, quand il s'est présenté de nouveau au domicile des Sy pour réclamer son dû. Sans chercher à comprendre, Souleymane qui était visiblement de très mauvaise humeur, demande tout bonnement à l'ami de son jeune frère de quitter la maison.
Une invite inamicale que n'accepte pas Semou Niokhor Diouf qui persiste à rentrer dans ses fonds. Souleymane monte dans sa chambre en haut et en redescend portant une paire de ciseaux. Il le pointe en direction de Semou Niokhor Diouf et menace de le tuer s'il persistait à le défier. Souleymane finit par poignarder son vis-à-vis en pleine région du cœur. Devant le sang qui giclait du côté gauche de sa poitrine, le commerçant voyageur tentant d'arrêter l'hémorragie, finit par s'écrouler de tout son corps devant la porte de la maison, en poussant un cri strident faisant accourir la foule massée devant le Grand Place « Café Gui » et les riverains qui volaient vainement à son secours.
Les hommes du commissaire Ndao vont procéder à une perquisition de la chambre du mis en cause qui s'avère très fructueuse. Sous le lit sont découverts des seringues et d'autres objets compromettants, laissant penser à un usage de drogues. Interrogé à ce propos, Souleymane Sy continue de nier qu'il est un drogué. Il sera néanmoins déféré au parquet, vendredi, au terme de sa garde à vue.
Le poste de police des HLM, non loin des lieux, était rapidement alerté, et les hommes du commissaire Ndao se présentaient vite pour sécuriser les lieux, pendant que les sapeurs-pompiers acheminaient la victime au poste de santé de la commune. Ils n'iront pas loin. Semou Niokhor Diouf, touché dans la région du cœur, va succomber à ses blessures. Sa mort se répand comme une traînée de poudre dans le quartier, pendant que le présumé meurtrier est arrêté à son domicile et la paire de ciseaux saisie. Au poste de police où il a été placé en garde à vue, Souleymane Sy reconnaît être l'auteur du crime. Il tente néanmoins de se justifier en voulant faire passer son acte comme une manœuvre malencontreuse. D'après le marchand ambulant, sa victime qui fréquente régulièrement sa maison familiale, avait l'habitude d'y fumer du chanvre indien avec son jeune frère, son ami d'enfance.
Une version contestée par son propre frère qui, auditionné sur Procès-verbal, révélait aux enquêteurs que son ami, Semou Niokhor Diouf, voyageait à Istanbul, en Turquie, pour s'approvisionner en produits vestimentaires, parfums et autres articles de commerce. Il remettait des marchandises à revendre au présumé meurtrier, ce qui lui permettait d'avoir de l'argent de poche. Le frangin du présumé tueur raconte dans les colonnes de l’Obs, que le jour des faits, son défunt ami, Semou Niokhor Diouf était venu faire les comptes avec Souleymane, quand une querelle a éclaté entre la victime et le présumé meurtrier. C'est ainsi qu'est survenu l'irréparable.
Une autre version servie par une source de L'Observateur, parle de relations d'affaires entre le mis en cause et la victime. Selon cette source anonyme, Semou avait remis depuis son retour de voyage, des parfums à Souleymane. Ce dernier devait les écouler et lui rendre les sommes fixées comme prix de rente. Le marchand ambulant aurait vendu les parfums de classe à vil prix et en dépensant l'argent selon son bon vouloir. La source révèle qu'à chaque fois que le défunt voulait rentrer dans ses fonds, Souleymane le renvoyait à un autre jour. Jusqu'à cette fin de matinée du mercredi 18 octobre, quand il s'est présenté de nouveau au domicile des Sy pour réclamer son dû. Sans chercher à comprendre, Souleymane le renvoyait à un autre jour. Jusqu'à cette fin de matinée du mercredi 18 octobre, quand il s'est présenté de nouveau au domicile des Sy pour réclamer son dû. Sans chercher à comprendre, Souleymane qui était visiblement de très mauvaise humeur, demande tout bonnement à l'ami de son jeune frère de quitter la maison.
Une invite inamicale que n'accepte pas Semou Niokhor Diouf qui persiste à rentrer dans ses fonds. Souleymane monte dans sa chambre en haut et en redescend portant une paire de ciseaux. Il le pointe en direction de Semou Niokhor Diouf et menace de le tuer s'il persistait à le défier. Souleymane finit par poignarder son vis-à-vis en pleine région du cœur. Devant le sang qui giclait du côté gauche de sa poitrine, le commerçant voyageur tentant d'arrêter l'hémorragie, finit par s'écrouler de tout son corps devant la porte de la maison, en poussant un cri strident faisant accourir la foule massée devant le Grand Place « Café Gui » et les riverains qui volaient vainement à son secours.
Les hommes du commissaire Ndao vont procéder à une perquisition de la chambre du mis en cause qui s'avère très fructueuse. Sous le lit sont découverts des seringues et d'autres objets compromettants, laissant penser à un usage de drogues. Interrogé à ce propos, Souleymane Sy continue de nier qu'il est un drogué. Il sera néanmoins déféré au parquet, vendredi, au terme de sa garde à vue.
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