Le ministre de l’environnement et du développement durable, Abdoulaye Baldé, lors de l’atelier de validation technique de la Contribution prévue déterminée au niveau national (CPDN), a indiqué que notre pays pourrait entre 2020-2035, réduire de 5 à 9% et sur fonds propres nos émissions de gaz à effet de serre (GES) . « Maintenant, si nous avons l’accompagnement en termes d’accès aux financements, aux technologies pour réformer l’industrie pour polluer le moins, nous pouvons aller de 17 à 27% d’ici à 2035. » dira-t-il. D’autant plus que les coûts d’adaptation sont extrêmement élevés notamment dans le secteur de la pêche qu’il a cité ou les montants peuvent aller jusqu’à 230 milliards de FCFA. « C’est extrêmement élevé. Il nous faut être accompagné et c’est pour cela que la solidarité internationale est requise», a ajouté M. Baldé.
Il a toutefois, précisé que le Sénégal, comme la plupart des pays en développement, n’était pas obligé d’avoir un engagement en matière de réduction de Ges. « Le Sénégal, comme la plupart des pays en développement, n’était pas obligé d’avoir un engagement en matière de réduction de GES, mais nous sommes des Etats responsables. Donc nous allons contribuer à la dynamique globale, car nous appartenons à la même planète »
Cet engagement de contribution du Sénégal, a-t-il cependant soutenu, ne perturbera pas nos objectifs de développement du point de vue PSE (Plan Sénégal émergent). « Au contraire, nous voulons une société plus résiliente et une économie sobre en carbone » a-t-il laissé entendre.
Le ministre sénégalais a aussi invité les pays développés à respecter les engagements de Copenhague visant à mettre sur pied un fonds de 100 milliards de dollars chaque année à partir de 2020.
Le Chef de l’Etat Macky Sall est d’ailleurs pressenti pour porter la sensibilisation quant à la contribution prévue déterminée au niveau national (CPDN) qui n’est autre que la contribution nationale en matière de réduction d’émission de GES.
Il a toutefois, précisé que le Sénégal, comme la plupart des pays en développement, n’était pas obligé d’avoir un engagement en matière de réduction de Ges. « Le Sénégal, comme la plupart des pays en développement, n’était pas obligé d’avoir un engagement en matière de réduction de GES, mais nous sommes des Etats responsables. Donc nous allons contribuer à la dynamique globale, car nous appartenons à la même planète »
Cet engagement de contribution du Sénégal, a-t-il cependant soutenu, ne perturbera pas nos objectifs de développement du point de vue PSE (Plan Sénégal émergent). « Au contraire, nous voulons une société plus résiliente et une économie sobre en carbone » a-t-il laissé entendre.
Le ministre sénégalais a aussi invité les pays développés à respecter les engagements de Copenhague visant à mettre sur pied un fonds de 100 milliards de dollars chaque année à partir de 2020.
Le Chef de l’Etat Macky Sall est d’ailleurs pressenti pour porter la sensibilisation quant à la contribution prévue déterminée au niveau national (CPDN) qui n’est autre que la contribution nationale en matière de réduction d’émission de GES.
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