La Commission africaine des droits de l’homme et des peuples a manifesté dans un communiqué, son inquiétude suite aux différents heurts entre manifestants et forces de l'ordre au Sénégal, tout comme sa préoccupation par rapport à la mesure gouvernementale de restriction de l’accès aux réseaux sociaux comme Facebook, WhatsApp ou Twitter pour faire cesser « la diffusion de messages haineux et subversifs. »
Cependant, la commission voudrait rappeler que les droits à la vie, à la liberté d’expression et l’accès à l’information, à la liberté de réunion et de manifestation ainsi que la liberté de mouvement, sont des droits garantis par la Charte africaine des droits de l’homme et des peuples (la Charte africaine), respectivement en ses articles 4, 9, 11 et 12.
Cependant, la commission voudrait rappeler que les droits à la vie, à la liberté d’expression et l’accès à l’information, à la liberté de réunion et de manifestation ainsi que la liberté de mouvement, sont des droits garantis par la Charte africaine des droits de l’homme et des peuples (la Charte africaine), respectivement en ses articles 4, 9, 11 et 12.
Elle exhorte les forces de sécurité au respect de tous les droits garantis par la Charte africaine et d’autres instruments pertinents et à éviter tout recours à la force létale dans le cadre du maintien de l’ordre public.
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