Le coordonnateur du forum civil section Transparancy, Birahime Seck se pose des questions sur la démarche adoptée par le Pool Financier Judiciaire qui, dans un communiqué, dit être saisi de plusieurs rapports de la Cellule Nationale de Traitement des Informations Financières (CENTIF). Dans un post sur sa page Tweeter, Birahime Seck considère « qu’il faut faire attention dans les approches afin de préserver le Pôle Judiciaire financier ».
En réalité , il s’agit selon le coordonnateur du Forum Civil, « d’une démarche du parquet qui doit être rigoureuse ». Par conséquent, il s’interroge sur les 1000 milliards qui faisaient du bruit pendant la période de campagne après une révélation du candidat tête de liste de Pastef, Ousmane Sonko. « Une information judiciaire est elle ouverte sur les 1000 milliards? Pourquoi le Parquet n'a pas communiqué sur les autres affaires qu'il traite? », demande t-il au Pool Judiciaire Financier qui, pour rappel, envisage l'ouverture d'une information judiciaire sous les chefs d'inculpations d'association de malfaiteurs, blanchiment de capitaux, escroquerie portant sur les deniers publics, corruption, trafic d'influence, abus de biens sociaux. Ceci porte sur « le blanchiment de capitaux, par le truchement de sociétés écrans qui auraient été utilisées pour des transactions suspectes d'une valeur estimée provisoirement à plus de 125 milliards de Francs CFA ».
En réalité , il s’agit selon le coordonnateur du Forum Civil, « d’une démarche du parquet qui doit être rigoureuse ». Par conséquent, il s’interroge sur les 1000 milliards qui faisaient du bruit pendant la période de campagne après une révélation du candidat tête de liste de Pastef, Ousmane Sonko. « Une information judiciaire est elle ouverte sur les 1000 milliards? Pourquoi le Parquet n'a pas communiqué sur les autres affaires qu'il traite? », demande t-il au Pool Judiciaire Financier qui, pour rappel, envisage l'ouverture d'une information judiciaire sous les chefs d'inculpations d'association de malfaiteurs, blanchiment de capitaux, escroquerie portant sur les deniers publics, corruption, trafic d'influence, abus de biens sociaux. Ceci porte sur « le blanchiment de capitaux, par le truchement de sociétés écrans qui auraient été utilisées pour des transactions suspectes d'une valeur estimée provisoirement à plus de 125 milliards de Francs CFA ».
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