"Le ministre congolais - il avait auparavant été titulaire du portefeuille de l'Intérieur - a pu franchir toutes les étapes d'une procédure de naturalisation expresse sous le prétexte qu'il voulait vivre aux côtés de son épouse belge. Et les autorités belges l'ont cru. Pourtant, le profil de ce général aurait eu de quoi interpeller la commune d'Uccle, l'Office des étrangers, le secrétariat d'État à l'Asile et à la Migration, la Sûreté de l'État et le parquet de Bruxelles. Rien ni personne n'a contesté la procédure", souligne le magazine dans un communiqué.
Selon l'auteur de l'article, Philippe Engels, M. Oba est pourtant accusé depuis 2001 de crimes de guerre et de crimes contre l'humanité, à la suite de plaintes déposées en Belgique et en France dans le cadre des lois dites de "compétence universelle". Et sa responsabilité est lourdement engagée dans des massacres commis au Congo à la fin des années 1990 car il dirigeait à l'époque la police et les forces spéciales de sécurité accusées d'avoir liquidé des milliers d'opposants au régime, souligne l'hebdomadaire qui fait un rapprochement avec le cas de l'homme d'affaires belgo-kazakh Patokh Chodiev.
M. Oba reste "l'homme de main" du président congolais Denis Sassou Nguesso et "continue à se faufiller entre les mailles du filet", ajoute encore le Soir Mag, en rappelant comment il avait échappé à une arrestation le 6 janvier dernier à Paris et s'était "volatilisé" à bord d'un avion spécial qui l'avait ramené à Brazzaville.
Selon l'auteur de l'article, Philippe Engels, M. Oba est pourtant accusé depuis 2001 de crimes de guerre et de crimes contre l'humanité, à la suite de plaintes déposées en Belgique et en France dans le cadre des lois dites de "compétence universelle". Et sa responsabilité est lourdement engagée dans des massacres commis au Congo à la fin des années 1990 car il dirigeait à l'époque la police et les forces spéciales de sécurité accusées d'avoir liquidé des milliers d'opposants au régime, souligne l'hebdomadaire qui fait un rapprochement avec le cas de l'homme d'affaires belgo-kazakh Patokh Chodiev.
M. Oba reste "l'homme de main" du président congolais Denis Sassou Nguesso et "continue à se faufiller entre les mailles du filet", ajoute encore le Soir Mag, en rappelant comment il avait échappé à une arrestation le 6 janvier dernier à Paris et s'était "volatilisé" à bord d'un avion spécial qui l'avait ramené à Brazzaville.
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