Comment le M23 compte-t-il tenir 'le congrès du peuple' et ravir la vedette à Wade le 23 décembre ?


Comment le M23 compte-t-il tenir 'le congrès du peuple' et ravir la vedette à Wade le 23 décembre ?
DAKARACTU.COM  C'était la mobilisation des grands jours ce mardi 20 décembre à la réunion des leaders du Mouvement des forces vives du 23 juin (M23). Tous (Macky Sall, Moustapha Niasse, Ousmane Tanor Dieng, Amath Dansokho, Abdoulaye Bathily, Cheikh Tidiane Gadio, Momar Samb, Penda Mbow, Mansour Sy Djamil, Cathy Cissé Wane...) étaient présents. Idrissa Seck, qui a eu un contretemps de dernière minute, s'est fait représenter par Oumar Guèye. La réunion, qui avait pour ordre du jour l'organisation de la manifestation du 23 décembre, a débuté par des discussions sur son opportunité. C'est Tanor qui a soulevé la question, estimant que les délais sont courts pour organiser la manif. Avant d'ajouter que le M23 risque "un échec politique" vu que Wade va déployer des moyens importants pour mobiliser plus de monde au même moment et que les journalistes vont s'arrêter sur les chiffres. Fadel Barro, coordonnateur de "Y en a marre", a rejoint le leader du Parti socialiste (PS). Macky Sall, président de l'Alliance pour la République (APR), a pris leur contrepied: "Le vin ou le bissap est tiré. Il faut le boire. On ne peut plus reculer sur la manifestation du 23 décembre." Cheikh Tidiane Gadio, Abdoulaye Bathily et presque tout le reste de l'assistance ont abondé dans le même sens que Macky. Décision a ainsi été prise d'organiser la manifestation le 23 décembre à 15h à la Place de l'Obélisque. Pour les besoins de la mobilisation, la tradition a été rompue. Chaque parti a été chargé de mobiliser ses militants qui peuvent arborer ses couleurs au besoin. Arrivé vers la fin de la réunion, Alioune Tine, coordonnateur du M23, qui sortait d'un interrogatoire du commissariat central à propos de la manifestation projetée, a informé l'assistance que celle-ci allait être autorisée.   
Mercredi 21 Décembre 2011




1.Posté par PAPA CEDRIC NDIAYE le 21/12/2011 08:43
BRAVO MACKY SALL POUR LA CONSTANCE ET LE COURAGE. NOUS SERONS TOUS AU MONUMENT DE COLOBANE. TOUS A LA PLACE DE L OBELISQUE DE COLOBANE LE 23 DECEMBRE A PARTIR DE 15H POUR EXIGER LE DEPART DU PERE DE KARIM S IL NE PART PAS CE QUI EST ARRIVE A GBAGBO OU A KHADDAFI LUI ARRIVERA . ALUI DE CHOISIR. LES SENEGALAIS NE COURBERONT JAMAIS LA TETE. VIVE LA DEMOCRATIE LA JUSTICE LA VERIT2 LE RESPECT DE LA CONSTITUTION QUI LIMITE LE MANDAT A 2. DONC WADE DOIT PARTIR PAR A OU PAR B. VIVE LE SENEGAL

2.Posté par Mangus le 21/12/2011 09:29
Tous à la place de l'obélisque le 23/12/2011 à 15 heures c'est répondre à l'appel du peuple défavorisé

3.Posté par Ndour le 21/12/2011 10:21
Oui je suis pour la manifestation du 23 Decembre.Meme si Wade parvient à mobiliser plus de militants que le M23 cela n'est pas grave car s ki seron au meeting de Wade sont des mercenaires(ils sont payés) or les militants du M23 sont des patriotes

4.Posté par JONY le 21/12/2011 10:58
TANOR RECULE TOUJOURS, SI VOUS VOUS SOUVENEZ WADE AVAIT SOUTENU QUE M. DIENG ETAIT UN REPUBLUCAIN UNE FACON DE FRUTRER LES ALLIES DU PS D'ENTAN. EN TOUT ETAT DE CAUSE NUL NE SAURAIT RECULER FACE A CE CRIME QUI EST ENTRAI D'ETRE PERPETUE. TOUS A LA PLACE DE L'OBELIQUE POUR DEFENDRE LA CONSTITUTION SENAGALAIS GARANT DE NOTRE STABILITE.

VIVE LE SENEGAL
VIVE LES PATRIOTS

5.Posté par moses le 21/12/2011 10:59
Tanor est un vrai peureux c pourkoi il n' a pas voulu de cette mobilisation. même si les politiciens ne mobilisent pas les jeunes du m23 sont là. Tanor sait qu'il n'est plus crédible aux yeux des sénégalais avec sa traîtrise du 1 décembre. Vive le m23. A bas les poltrons

6.Posté par brqvo le 21/12/2011 11:01
vous nous emmerder avec vos meeting vous etes tous pareils ;mettez vous dans la tete qu il ny a pas que les plitiques dans ce pays ALIOUNE THINE EST UN OPPORTINISNE COMME VOUS TOUS VOUS ROULEZ POUR VOS INTERETS ET NON POUR CEUX DU PEUPLE

7.Posté par Weuss le 21/12/2011 11:32
C'est Idy qui va en gagner si Wade ne se présente pas. Il avait dissout son parti rewmi au PDS finalement plusieurs de ses hommes sont restés et n'ont pas voulu le rejoindre.Maintenant, sans le savoir le M23 est entrain de renforcer Idy et affaiblir les autres partis de l'opposition en empéchant Wade de se présenter.
Tout sauf le voleur et le traitre du siécle. Il va juste gagner la ville de Thiés et rien d'autre à l'intérieur du pays.

8.Posté par Tep le 21/12/2011 12:50
Pour dejouer toute cette organisation mis en place par WADE, le M23 doit :

Inviter tous les etudiants de Cheikh ANTA au rasssemmblement pour montrer qu'ils ont ras bol de ne pas etre etre payer , de meme que tous ceux qui n'ont pas d'inscriptions

Inviter tous les chomeurs a se retrouver la bas

Tous les militants et Sympatisants des autres parties politiques

S'assurer qu le rassemblement ne se passe pas en meme temps que les SOPISTES comme ca les payes de WADE pourront se verser par la suite au M23

9.Posté par louly le 21/12/2011 14:12
Question A-t-on voté oui ou non le point de vue de la majorité est adopté telles sont les regles de l démocratie Mr Tanor Dieng J' espere qu cette fois ci tu ne vas pas ramer a contre courant Une chose est certaine toi et ta coalition ne menageraient aucun effort pour faire capoter la manifestation pour se dire qu on avait raison?

10.Posté par Mouhamed le 21/12/2011 16:24
Tanor a raison. Les puissances étrangères verront en ce meeting de Wade un plébiscite. Celui du M23 va échouer car aucun des leaders le composant ne dégagera les moyens nécessaires pour mobiliser. Alors qu'on a vu Macky mobiliser l'autre jour des milliers de gens.
Ne soyez pas ridicules, annulez cette manifestation et choisissez une date et préparez là comme il se doit.

11.Posté par man le 21/12/2011 16:54
moukh je ne peux pas degainer sur le nom que tu as utilise mais garde ca pour pls

12.Posté par man le 21/12/2011 16:56
moukh je ne peux pas degainer sur le nom que tu as utilise mais garde ca pour toi et tanor

13.Posté par citoyen le 21/12/2011 19:23
Sénégal: Mauvais présage pour le pays


Dans le discours sur la première décade de 'Tite-Live' Machiavel, après avoir rappelé que 'toutes les choses de ce monde ont un terme à leur existence', indique que la République échappe à cette règle, parce qu'elle trouve dans ses propres lois de quoi se rénover d'où l'importance d'élections sincères et transparentes organisées périodiquement. A l'époque où le seigneur était l'élément fédérateur dans la république, les Médicis, qui ont régné à Florence de 1434 à 1494, avaient compris cette nécessité et pour cause, le seigneur répétait tous les cinq ans les scènes de terreur et de violences qui lui avaient permis de s'emparer du pouvoir. Mais dans l'Etat républicain et démocratique, c'est la Constitution qui est l'élément fédérateur. C'est le pacte par lequel une nation manifeste sa souveraineté en définissant librement les modalités de dévolution et d'exercice du pouvoir politique.

Dès lors, il est compréhensible qu'une divergence dans l'interprétation de dispositions constitutionnelles aussi substantielles que les articles 27 et 104 de la Constitution de 2001 puisse être constitutive de prodromes de troubles graves. Pour une question de clarté, il convient de rappeler ce que recouvrent les articles dont l'interprétation suscite une controverse nourrie.

Art 27 : 'La durée du mandat du président de la République est de cinq ans. Le mandat est renouvelable une seule fois'.

Art 104 : 'Le président de la République en fonction poursuit son mandat jusqu'à son terme. Toutes les autres dispositions de la présente Constitution lui sont applicables'.

Il faut préciser qu'en 2000, le président Wade a été élu pour sept ans. Interprétant les dispositions que voilà, les uns soutiennent que la réélection en 2007 du président, qui était en fonction depuis 2000 pour un mandat de sept ans, ne peut pas être considérée comme un renouvellement au sens de l'article 27 de la Constitution de 2001. Par contre, les autres estiment que la réélection du président Wade en 2007 tombe sous l'empire de l'article 27 de la Constitution de 2001, parce que le législateur en utilisant à l'alinéa 2 de l'article 104, le déterminant 'Toutes' qui s'adresse à une totalité, n'entendait laisser la Constitution de 2001 souffrir d'aucune exception, si ce ne fut la durée de sept ans du mandat qui était en cours. Donc tous les actes survenus ultérieurement à la promulgation de cette Constitution tombent sous son empire.

Depuis que cette controverse est née, l'on eût dit qu'un vent mu par une fureur iconoclastique souffle sur le Sénégal. Il est devenu incontestable qu'aujourd'hui, il règne dans le pays une atmosphère lourde des stimuli d'une crise aux conséquences imprévisibles. Il peut d'ores et déjà être observé que les passions s'avivent au fur et à mesure que l'année 2012 approche. Or, la passion étant le garrot de la raison, lorsqu'elle se déchaîne dans une société croire que la prison peut produire un effet inhibiteur serait une erreur, puisque même en temps normal, des études (en pénologie et en criminologie) ont conclu que la prison n'a plus l'effet intimidant qu'on lui prêtait. En tout cas, si l'on y prend garde, il est à redouter que la calamité qui s'était abattue sur la Côte d'Ivoire et ailleurs, vienne frapper notre pays. Ceci n'est pas pure affabulation, car même si l'histoire ne se répète pas constamment, il convient de rappeler que selon Aristote, 'il peut exister des proximités repérables' pouvant faire craindre une issue similaire, entre des situations ayant existé à des moments différents.

Toutefois, il est vrai que dans les pays où des drames se sont déroulés récemment, les autorités politiques avaient tardé à comprendre que le temps était passé où d'après Gordon Di Renzo, l'homme politique croyait devoir conquérir le pouvoir par n'importe quel moyen. En effet, il est fort probable que les tenants du pouvoir dans les pays concernés ne s'étaient pas rendus compte, que si dans le monde, les thèmes des critiques dans les années 60 et 70 s'adressaient à la domination coloniale et à l'exploitation des peuples ; à partir des années 80, les thèmes des critiques portent sur la justice, les droits des peuples, la morale, et ceci a fini par réveiller dans l'opinion internationale une forte répulsion pour tout ce qui s'apparente à l'oppression et à la tyrannie. Cette évolution de l'opinion internationale a permis à l'Onu et à la Cour pénale internationale de mettre en oeuvre dans certains pays et sous des formes déguisées le concept 'd'ingérence humanitaire' naguère proposé par Bernard Kouchner (Balkans, Kenya, Côte d'ivoire etc.)

Par ailleurs, l'irréparable a été commis par les autorités de ces pays, à partir du moment où elles avaient préféré la répression brutale à la concertation, alors que pour Spinoza, 'dans l'Etat, les conflits doivent être résolus, il est illusoire d'essayer de les éradiquer', d'autant plus que selon Kant 'les opinions se nourrissent de l'acharnement qu'on déploie à vouloir les combattre'. Mais, l'attitude de ces autorités pourrait s'expliquer par le fait qu'ayant toujours agi 'par droit de nature' à l'égard de leur peuple, c'est-à-dire toujours faire comme si rien n'est injuste, tout est permis, elles ne pouvaient pas s'apercevoir qu'après de longues années d'assujettissement et de servitude, leurs populations en étaient arrivées à constater qu'au lieu d'oeuvrer à leur émancipation, ces autorités s'employaient à river les chaînes qui les avaient maintenues durant des siècles en deçà de la citoyenneté.

Et, puisque ce sont ces populations qui les avaient librement élues, elles pouvaient entrer dans une résistance irréductible, surtout s'il leur venait à l'idée qu'elles avaient été abusées et, que par ruse, elles avaient été amenées à courir avec enthousiasme 'au-devant de leur fers, croyant assurer leur liberté' (Rousseau). En tout état de cause, l'actualité observée ici et là montre que ce que J.P Sartre appelle 'la conscience de soi' est devenue une réalité au niveau de toutes les populations et, que par conséquent, les autorités politiques doivent savoir qu'elles ont désormais des citoyens et non 'des personnes déterminables prêtes à obéir' au sens où l'entend Weber (les catégories de la sociologie).

A tout prendre, ce qui précède commande que nous précisions qu'il ne s'agit ni de susciter ni d'exalter l'anarchie. Après avoir établi un constat, notre démarche a consisté à montrer combien le général De Gaulle avait raison de rappeler que 'du jour où la noblesse française consacra son ardeur à défendre ses privilèges plutôt qu'à conduire l'Etat, la victoire du Tiers Etat était d'avance certaine' (le fil de l'Epée). Pour conclure cette partie de notre exposé, nous aurions pu paraphraser Rousseau et dire qu' 'un peuple libre obéit, mais ne sert pas , il obéit aux lois mais il n'obéit qu'aux lois, et c'est par la force des lois qu'il n'obéit pas aux hommes'.

Cependant, les cas qui sont exposés ci-dessus cachent une énigme que nous ne saurons éclairer avec certitude. En effet, nous ne pouvons pas affirmer que les chefs d'Etat concernés avaient délibérément fait la sourde oreille aux propos de leurs conseillers juridiques, qui auraient porté à leur 'haute attention' que si du temps de Pierre Corneille les crimes perpétrés par ou pour le Roi étaient absous, dans l'Etat moderne, pratiquer ou susciter des violences pour perpétuer un pouvoir est constitutif d'un double crime :

- Un crime politique pouvant être qualifié de 'haute trahison' parce qu'il y a viol du serment solennel fait au peuple lors de l'investiture.

- Un crime de droit commun, parce qu'en invoquant la théorie de la provocation en droit pénal, il peut être victorieusement soutenu qu'à cause de la position occupée sur l'échelle sociale, les propos et les discours ont eu un effet déterminant sur l'esprit des populations.

Dès lors, le crime de 'provocation aux violences collectives' peut être retenu. Or, une telle incrimination peut dans certains cas provoquer l'irruption de la Cour pénale internationale par le biais des articles 17 à 19 du statut de la Cpi. Mais après tout, peut-être que la libido dominendi exacerbée de ces chefs d'Etat n'a jamais été contrariée par des conseils de cette nature, tant l'expérience semble montrer que depuis la survenue des indépendances, beaucoup de chefs d'Etat refusent de se faire à l'idée qu' 'à notre époque, il n'y a pas de salut en dehors de la démocratie légitime, de la délégation du pouvoir par le peuple' (G. Ferrero).

S'agissant des tendances réactionnelles notées çà et là dans notre pays, à l'approche de l'élection présidentielle de 2012, il est rassurant de savoir que le peuple sénégalais n'est pas facilement inflammable, et qu'il ne sort pas des bornes à la moindre impulsion. Mais, il faut reconnaître que des nuages ne cessent de s'accumuler dans le ciel sénégalais, justifiant le fait qu'aujourd'hui il n'y a de certitude nulle part. Partout, 'l'attente inquiète', qui avait gagné les populations se transforme peu à peu en une peur instinctive au fur et à mesure que l'année 2012 approche. Cet état psychosocial dans lequel se trouvent les populations s'explique par la tendance effrénée à constituer des milices, à proférer des menaces, à organiser des opérations d'intimidation par des groupes appuyés par des chiens. Il y a aussi, la manifestation excessive d'un intentionnaliste malveillant se traduisant par un discours qui :

- soit avive la suspicion tant il rappelle les propos de Cicéron s'adressant au sénat pour susciter l'opposition contre Lucius Catilina : 'Il ne s'agit pas de savoir si notre vie est morale ou immorale, ni où est la grandeur de l'empire romain ! Il s'agit de savoir si tous ces biens, quelque opinion qu'on en ait, resteront à nous ou tomberont au pouvoir de nos adversaires'.

- soit par une entreprise de destruction menée avec une pugnacité et une hargne qui rappellent l'insecte perçant une poutre. Tout cela fait croire que le pays s'apprête à devenir un champ de bataille de rats, laquelle ne cesse que faute de combattants.

Il y a aussi la constitution de milices qui est loin d'être un danger moindre. Il s'agit de groupes dont l'organisation et la formation présentent le caractère du groupe de combat. Les milices privées se définissent comme des groupes fortement entraînés, pouvant se rassembler rapidement et intervenir avec force dans des manifestations ou à l'occasion de troubles politiques ou sociaux. La doctrine estime que ces groupes peuvent être le prélude de mouvements insurrectionnels, d'où leur dangerosité dans l'Etat.

Au vu de la situation ainsi décrite, il pourrait être considéré comme superflu le fait de dire qu'il y a bien lieu pour tous les Sénégalais de s'inquiéter au plus haut point. Car, nonobstant le caractère pacifique de notre peuple, il faut tenir compte des travaux du savant belge De Greeff, dont les conclusions nous apprennent qu' 'il existe chez l'homme des mécanismes aveugles, qui tendent à le diriger d'une manière réflexe sous l'influence des instincts de défense'. Dès lors, nous pouvons dire qu'en cas d'agression physique ou morale, tout être humain peut tomber sous l'influence de ces mécanismes obscurs, et faire ce qu'il répugne le plus en temps ordinaire : tuer, dévaster etc. Cette thèse a été confortée par Monseigneur Emmanuel Lafond qui a pu dire, sur les ondes de Rfi, à la suite des observations faites à Soweto où il fut évêque qu' : 'A un certain niveau, tous les êtres humains ont le même courage, la même haine, la même lâcheté'.

Au total, la situation décrite supra montre que l'intérêt supérieur de la Nation nécessite qu'un glissement vers l'irréparable soit évité. Et puisque, selon Alain, 'la capacité d'ouverture et d'action du chef de l'Etat, constitue dans la République le ferment d'une évolution positive', la nature de la tournure que prendra ladite situation dépendra essentiellement du président Wade. En tout cas, nous pensons que ceux qui ont lutté pendant de longues années aux côtés du secrétaire général du Pds souhaiteraient voir le président Wade agir à l'image du soleil de Balthazar Gracian, en se disant comme lui qu' 'il faut laisser les choses avant qu'elles ne vous laissent. Il est d'un homme sage de savoir se faire un triomphe ( de sa propre fin) à l'imitation du soleil qui, pendant qu'il est encore tout lumineux, a coutume de se retirer, pour n'être point vu baisser et, par ce moyen, laisser en doute s'il est couché ou non'. En termes clairs, laisser à l'Histoire et à la postérité le doute de savoir s'il allait sortir vainqueur ou non des élections de février 2012, s'il y avait pris part.

14.Posté par Tissaty Kamou le 21/12/2011 19:32
UN SEUL MOT D'ORDRE, UN SEUL OBJECTIF,UN SEUL BUT: RESTER DEBOUT POUR EMPËCHER LE GRABATAIRE DE SE PRESENTER.

15.Posté par bakhour le 21/12/2011 19:50
a l encontre de ce qu est NIASSE le financier qui tiens toujours la barre ,seuls les aveugles ne peuvent pas ou refusent de le voir.C est lui egalement qui pilote le M23 en manipulant TINE la marionette.En tout cas nous au Parti socialiste nous avons deja averti de l echec de cette manifestation car nous avons l experience de ces genres de coups.Quand NIASSE c est un aigri qui toujours e nous developpons .



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