K. Dia agé de 29 ans a été attrait à la barre du tribunal correctionnel pour les délits de collecte illicite de données à caractère personnel et diffusion de fausses nouvelles tendant à discréditer la police. En effet, le prevenu qui est conducteur de moto a, au courant du mois d’octobre, pris en photo un agent de la police dans l’exercice de sa fonction avant de la relayer sur Facebook accompagné d’un message chargeant l’institution de raquette.
« Niarry Taly koufa diaar fay fournitures. » (Qui emprunte les voies de Niarry Taly paiera un coût pour fournitures.), a posté sur le réseau social avec une image où on pouvait identifier un agent de la police en service.
Face au juge, le jeune prévenu a reconnu sans ambages les faits qui lui sont reprochés et s’explique.
« Je ne faisais que blaguer. Je n’avais pas l’intention de prendre en photo le policier mais je prenais une photo des motos immobilisées par les policiers. », a-t-il soutenu. A la question du juge de savoir les raisons qui ont motivé son acte, le mis en cause clarifie en déclarant vouloir alerter ses camarades conducteurs de deux roues.
« J’ai partagé la photo pour alerter les conducteurs à ne pas emprunter la voie menant à Niarry Taly. », a-t-il ajouté.
Travailleur dans un multi-service, le mis en cause a soutenu ignoré les conséquences de son comportement avant de présenter ses plates excuses au tribunal.
« Je m’en excuse car je ne savais pas ce qui pouvait en découler. », a-t-il dit.
Le parquet a demandé une application de la loi pénale en son encontre. Pour sa part, la défense a brandi la méconnaissance qui a mis son client dans une pareille situation. Elle a approuvé la collecte illicite de données à caractère personnel mais rejette la diffusion de fausses nouvelles.
Pour l’avocat, le délit de diffusion de fausses nouvelles est un cheveu ajouté dans la soupe. Selon la robe noire, le prevenu n’avait pas l’intention de nuire à l’institution qu’est la police.
« Il mérite votre clémence. Il est jeune et c’est la première fois qu’il comparaît en plus il est un soutien de famille. », a dit l’avocat. Son autre confrère qui a pris la parole a renseigné que le mis en cause a dans l’immédiat supprimé la photo lorsqu’il a été informé de la gravité de son acte. Pour la première infraction, la défense a demandé une application bienveillante de la loi contrairement à la diffusion de la fausse nouvelle, elle a demandé la relaxe des fins de la poursuite.
Statuant publiquement et contradictoirement, le tribunal a déclaré le prévenu coupable des faits qui lui sont reprochés et l’a condamné à 2 mois assorti de sursis.
« Niarry Taly koufa diaar fay fournitures. » (Qui emprunte les voies de Niarry Taly paiera un coût pour fournitures.), a posté sur le réseau social avec une image où on pouvait identifier un agent de la police en service.
Face au juge, le jeune prévenu a reconnu sans ambages les faits qui lui sont reprochés et s’explique.
« Je ne faisais que blaguer. Je n’avais pas l’intention de prendre en photo le policier mais je prenais une photo des motos immobilisées par les policiers. », a-t-il soutenu. A la question du juge de savoir les raisons qui ont motivé son acte, le mis en cause clarifie en déclarant vouloir alerter ses camarades conducteurs de deux roues.
« J’ai partagé la photo pour alerter les conducteurs à ne pas emprunter la voie menant à Niarry Taly. », a-t-il ajouté.
Travailleur dans un multi-service, le mis en cause a soutenu ignoré les conséquences de son comportement avant de présenter ses plates excuses au tribunal.
« Je m’en excuse car je ne savais pas ce qui pouvait en découler. », a-t-il dit.
Le parquet a demandé une application de la loi pénale en son encontre. Pour sa part, la défense a brandi la méconnaissance qui a mis son client dans une pareille situation. Elle a approuvé la collecte illicite de données à caractère personnel mais rejette la diffusion de fausses nouvelles.
Pour l’avocat, le délit de diffusion de fausses nouvelles est un cheveu ajouté dans la soupe. Selon la robe noire, le prevenu n’avait pas l’intention de nuire à l’institution qu’est la police.
« Il mérite votre clémence. Il est jeune et c’est la première fois qu’il comparaît en plus il est un soutien de famille. », a dit l’avocat. Son autre confrère qui a pris la parole a renseigné que le mis en cause a dans l’immédiat supprimé la photo lorsqu’il a été informé de la gravité de son acte. Pour la première infraction, la défense a demandé une application bienveillante de la loi contrairement à la diffusion de la fausse nouvelle, elle a demandé la relaxe des fins de la poursuite.
Statuant publiquement et contradictoirement, le tribunal a déclaré le prévenu coupable des faits qui lui sont reprochés et l’a condamné à 2 mois assorti de sursis.
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