Les gendarmes et policiers enquêteurs du transport aérien viennent de boucler une première partie de leur enquête concernant des agents de l’Agence nationale de l’aviation civile et de la météorologie (Anacim) dans le cadre de la disparition de l’avion de Sénégalair, le samedi 05 septembre dernier. Neuf personnes, dont le directeur général de l’Anacim, ont été entendus et les résultats communiqués au Bureau enquête et analyse (Bea), piloté par Mamadou Lamine Traoré. Selon les sources de L’Obs, les trois enquêteurs dépêchés par le procureur de Paris, ainsi que leur technicien, sont aussi en train de fouiller.
Ces mêmes sources aéronautiques révèlent que les enquêteurs du transport aérien se tournent maintenant du coté de l’Agence pour la sécurité de la navigation aérienne en Afrique et Madagascar (Asecna) en l’occurrence, des aiguilleurs du ciel. Lesquels ont également une lourde responsabilité dans la navigation aérienne. Si l’on sait que l’erreur n’existe pas dans le corps. Parce que, confie-t-on, le « pilote devient aveugle une fois au ciel, les aiguilleurs sont ses yeux »… Et en l’espèce, des sources expliquent que les aiguilleurs, qui étaient ce jour, à la Tour de contrôle, au moment du crash, doivent répondre sur les mesures prises, après avoir constaté la disparition de l’avion du Radar. Parce que mentionnent les interlocuteurs de L’Obs, « l’avion n’avait pas émis de signal au point Ghatri (un point dans l’espace où l’appareil émet automatiquement un signal), ce qu’il a fait également au point suivant ». Ainsi, les enquêteurs vont-ils interroger les contrôleurs du ciel sur le dispositif mis en place après ces constats.
Pour ce qui est du Boeing 737 800 de la compagnie aérienne Equato-Guinéenne Ceiba, à l’origine du crash, des experts sont sur les lieux pour effectuer le test Ndt (non destructive test). Une technique qui permet de constater la présence de micro-crics pour pouvoir situer la partie qui est entrée en contact avec l’appareil de Sénégalair.
Ces mêmes sources aéronautiques révèlent que les enquêteurs du transport aérien se tournent maintenant du coté de l’Agence pour la sécurité de la navigation aérienne en Afrique et Madagascar (Asecna) en l’occurrence, des aiguilleurs du ciel. Lesquels ont également une lourde responsabilité dans la navigation aérienne. Si l’on sait que l’erreur n’existe pas dans le corps. Parce que, confie-t-on, le « pilote devient aveugle une fois au ciel, les aiguilleurs sont ses yeux »… Et en l’espèce, des sources expliquent que les aiguilleurs, qui étaient ce jour, à la Tour de contrôle, au moment du crash, doivent répondre sur les mesures prises, après avoir constaté la disparition de l’avion du Radar. Parce que mentionnent les interlocuteurs de L’Obs, « l’avion n’avait pas émis de signal au point Ghatri (un point dans l’espace où l’appareil émet automatiquement un signal), ce qu’il a fait également au point suivant ». Ainsi, les enquêteurs vont-ils interroger les contrôleurs du ciel sur le dispositif mis en place après ces constats.
Pour ce qui est du Boeing 737 800 de la compagnie aérienne Equato-Guinéenne Ceiba, à l’origine du crash, des experts sont sur les lieux pour effectuer le test Ndt (non destructive test). Une technique qui permet de constater la présence de micro-crics pour pouvoir situer la partie qui est entrée en contact avec l’appareil de Sénégalair.
Autres articles
-
Violences électorales : le cortège de Samm Sa Gafaka Samm Sa Ëllëk( ACSIF) attaqué à hauteur de Khombole… Un véhicule de la RTS saccagé
-
KOLDA/Législatives : Moussa Baldé(tête de liste départementale takku-wallu) " cette mobilisation démontre que Kolda a bel et bien une opposition forte..."
-
L'Amérique à l'aube d'une nouvelle ère Trump
-
Trump et Harris ont "convenu de la nécessité d'unifier le pays" (porte-parole du républicain)
-
Biden félicite Trump et l'invite à la Maison Blanche