Il y a quelque chose de foncièrement pathétique dans la dernière sortie de l’ex-ministre Aliou Sow. On constate que depuis la bérézina du 25 mars, il ne parvient toujours pas à recouvrer ses esprits. D’ailleurs, si seulement il en était doté… Un rigolo dont la grandiloquence n’a d’égal que la vacuité du personnage.
Ce n’est pas ce roquet qui continue à hurler, comme un fou d’un village PDS aux abois, qui ternira l’image de Macky Sall. Après les accusations fantaisistes de blanchiment d’argent et d’autres encore plus farfelues, ces propos d’Aliou Sow sont encore la preuve que le peuple a eu raison de ranger les bonimenteurs du PDS dans les tiroirs de l’oubli où ils seront soumis à la critique rongeuse des souris.
Si Aliou Sow a des choses à dire sur le Président de la République, il en a toute la latitude, notamment depuis qu’il a été débarrassé du manteau de « ministron».
Je remarque seulement que ses nuits doivent encore être tourmentées par le jeune mort et les dizaines de blessés à Sangalkam, à la suite de son sinistre découpage mû par des intérêts bassement politiciens. Voilà qui explique ses délires dignes d’un roman de très mauvais goût.
Qu’il attende ! Qu’il ne s’impatiente pas ! Toute la lumière sera faite sur les morts causées par des actes posés par le régime que les Sénégalais viennent de bouter dehors.
L’ancien ministre a surement oublié le soutien constant dont il a bénéficié auprès de Macky Sall alors chef du gouvernement ou au perchoir de l’assemblée nationale. Mais avec des ingrats de cet acabit, aucune sottise n’est de trop quand il s’agit de cracher sur les bienfaiteurs d’hier.
Aliou Sow, la décence voudrait que vous vous taisiez car votre voix sonne faux. Les Sénégalais vous ont assez entendu. Ils ont changé, ce 25 mars, de disque tellement le vôtre était rayé. Donc, le plus grand service que vous pouvez rendre au pays, qui vient d’ouvrir un nouveau chapitre, est de ne plus polluer le débat public avec vos invectives malsaines et vos propos dignes d’un opéra mortifère.
Néné Fatoumata TALL
Chargée de communication de l’APR Golf Sud
Membre de la Convergence des Jeunesses Républicaines,
COJER
Ce n’est pas ce roquet qui continue à hurler, comme un fou d’un village PDS aux abois, qui ternira l’image de Macky Sall. Après les accusations fantaisistes de blanchiment d’argent et d’autres encore plus farfelues, ces propos d’Aliou Sow sont encore la preuve que le peuple a eu raison de ranger les bonimenteurs du PDS dans les tiroirs de l’oubli où ils seront soumis à la critique rongeuse des souris.
Si Aliou Sow a des choses à dire sur le Président de la République, il en a toute la latitude, notamment depuis qu’il a été débarrassé du manteau de « ministron».
Je remarque seulement que ses nuits doivent encore être tourmentées par le jeune mort et les dizaines de blessés à Sangalkam, à la suite de son sinistre découpage mû par des intérêts bassement politiciens. Voilà qui explique ses délires dignes d’un roman de très mauvais goût.
Qu’il attende ! Qu’il ne s’impatiente pas ! Toute la lumière sera faite sur les morts causées par des actes posés par le régime que les Sénégalais viennent de bouter dehors.
L’ancien ministre a surement oublié le soutien constant dont il a bénéficié auprès de Macky Sall alors chef du gouvernement ou au perchoir de l’assemblée nationale. Mais avec des ingrats de cet acabit, aucune sottise n’est de trop quand il s’agit de cracher sur les bienfaiteurs d’hier.
Aliou Sow, la décence voudrait que vous vous taisiez car votre voix sonne faux. Les Sénégalais vous ont assez entendu. Ils ont changé, ce 25 mars, de disque tellement le vôtre était rayé. Donc, le plus grand service que vous pouvez rendre au pays, qui vient d’ouvrir un nouveau chapitre, est de ne plus polluer le débat public avec vos invectives malsaines et vos propos dignes d’un opéra mortifère.
Néné Fatoumata TALL
Chargée de communication de l’APR Golf Sud
Membre de la Convergence des Jeunesses Républicaines,
COJER
Autres articles