Les populations de la collectivité territoriales de Parouma ont battu le macadam ce dimanche pour réclamer de meilleures conditions de vie. Celles-ci sont entre autres l’électricité, les infrastructures sociales de base, de l’eau potable et routes adéquates.
Sous un soleil de plomb, les populations munies de pancartes sur lesquelles on pouvait lire, « nous voulons des routes bitumées ! Nous demandons de l'eau potable ! Nous réclamons une ambulance ! »
La marche de protestation entamée à Kathilaty village situé à l’Est de Paroumba s’est terminée à la mairie où ils ont tenu un point de presse. Face aux journalistes, les marcheurs ne sont pas passés par quatre chemins pour déplorer les difficultés auxquelles ils sont confrontés.
À en croire leur porte-parole du jour Lountang Camara « nous ne disposons pas des infrastructures sociales de base, nous n’avons pas d’électricité, ni d’eau potable encore moins d’ambulance. Les routes ne sont pas bitumées. Et mieux, elles sont impraticables en période hivernale. La liste est loin d’être exhaustive », déplore-t-il.
Il faut signaler que cette commune est frontalière avec la République de Guinée Conakry où l’accès parfois est difficile. Et surtout actuellement toutes les routes menant sur la RN6 sont coupées par les fortes pluies. Ainsi, ces populations sont obligées de faire des dépenses supplémentaires pour rallier Diaobé ou Kounkané, bourgades de la RN6.
M. Camara d’interpeller les autorités en ces termes : « nous demandons aux autorités étatiques de ce pays dans le cadre du PUDC et du PUMA et bien d’autres programmes de penser à la commune de Paroumba. » Ensuite à Pakour un mémorandum a été remis au sous-préfet.
Sous un soleil de plomb, les populations munies de pancartes sur lesquelles on pouvait lire, « nous voulons des routes bitumées ! Nous demandons de l'eau potable ! Nous réclamons une ambulance ! »
La marche de protestation entamée à Kathilaty village situé à l’Est de Paroumba s’est terminée à la mairie où ils ont tenu un point de presse. Face aux journalistes, les marcheurs ne sont pas passés par quatre chemins pour déplorer les difficultés auxquelles ils sont confrontés.
À en croire leur porte-parole du jour Lountang Camara « nous ne disposons pas des infrastructures sociales de base, nous n’avons pas d’électricité, ni d’eau potable encore moins d’ambulance. Les routes ne sont pas bitumées. Et mieux, elles sont impraticables en période hivernale. La liste est loin d’être exhaustive », déplore-t-il.
Il faut signaler que cette commune est frontalière avec la République de Guinée Conakry où l’accès parfois est difficile. Et surtout actuellement toutes les routes menant sur la RN6 sont coupées par les fortes pluies. Ainsi, ces populations sont obligées de faire des dépenses supplémentaires pour rallier Diaobé ou Kounkané, bourgades de la RN6.
M. Camara d’interpeller les autorités en ces termes : « nous demandons aux autorités étatiques de ce pays dans le cadre du PUDC et du PUMA et bien d’autres programmes de penser à la commune de Paroumba. » Ensuite à Pakour un mémorandum a été remis au sous-préfet.
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