Un an aprés, ce que je pense.


Un an aprés, ce que je pense.
Un an après je conviendrais avec l’ensemble du peuple sénégalais qui estime que les problèmes demeurent, que le chômage persiste et qu’il reste beaucoup à faire.
Toutefois, les difficultés auxquelles le gouvernement de Abdoul mbaye est confronté nous reconforte dans les positions que nous avions eu lorsqu’il fallait combattre Abdoulaye Wade. Aujourd’hui nous nous rendons compte que nous avions eu tord de se limiter simplement à dire que le PDS avait mis le pays à terre. Un an après on se rend compte que le Senegal de Abdoulaye Wade était un pays à bord du dépôt de bilan. Cela pose un veritable probleme d’heritage pour le nouveau pouvoir. Alors je voudrais dire…
A MES AMIS DU SENEGAL, que je demeure encore convaincu de la bonne foi du président de la république et de l’esprit révolutionnaire de son gouvernement. A ce pouvoir, je voudrais demander d’accentuer les efforts dans la prise en compte des préoccupations sociales des sénégalais et d’être moins prompt à communiquer sur la traque des biens mal acquis.
A MES CAMARADES DE l’APR, je dis que tout individus qui comme Wade n’aura aucune considération pour le peuple, tout gouvernement qui comme le sien se laissera emporter par le goût du pouvoir, tout président qui sera victime de faux conseillers, tout régime qui porte en lui les gênes de la corruption du népotisme, du clientélisme et de la gabegie, tout président qui, par la pression de ses proches, refuse de s’accrocher dans les chariots de la bonne gouvernance, sera simplement châtier de la même manière que le peuple l’avait fait avec Djimbory.
AU GENS DU PDS, je demande d’inaugurer l’ère de la contribution. Vous êtes né dans la contribution, la logique de la fin de cycle voudrait que vous agonisiez dans la contribution. Votre parti a déjà montré ses preuves dans l’opposition, il a montré ses limites dans la gestion du pouvoir, alors c’est seulement par la contribution qu’il peut apporter quelque choses à la démocratie sénégalaise en terme d’innovation politique.
Un an après, je voudrais dire aux forces sociales, syndicats et autres de poser le drapeau rouge et de venir servir la république derrière celui qui incarne son autorité.

Papa Malick Ndour, Membre de la COJER.
Lundi 25 Mars 2013
Papa malick Ndour




1.Posté par KILIFA le 25/03/2013 11:37
Yaw yaa meuna doul deugue!!! Un an sans actif donc pas de bilan

2.Posté par djim le 26/03/2013 08:35
tré pertinente court conscis et clair

3.Posté par rif le 26/03/2013 16:20
VRAIMENT IL NY AURA PA DE BILAN NORMALEMENT KI DAL DOUL REK LAY DEFF CET ENCUL2 LA



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