Les agents de sécurité de l'université Assane Seck de Ziguinchor sont montés au créneau, ce 11 juin pour exiger le paiement de leurs arriérés de salaire en cette veille de la fête de Tabaski. Ils pointent du doigt le "repreneur" du nom de AMS sous traitant avec l’administration de l’université Assane Seck pour la gestion de l’institution depuis plusieurs années.
"Depuis qu’il a gagné le marché de la gestion de la sécurité, il n’a respecté aucun engagement. Il a promis un salaire de 90.000 Fr chose qu’il n’a pas faite, il paie plutôt 50.000 F Cfa, chaque mois. Depuis novembre dernier, nous constatons des retards dans le paiement. Nous interpellons les autorités compétentes à réparer cette injustice que nous subissons", a martelé Adama Diémé porte parole du jour, qui poursuit en ces termes " Nous sommes restés deux mois sans percevoir nos salaires et depuis 17 ans aucun agent de sécurité n’a eu d’avancement de statut".
Ces travailleurs, dont la plupart y sont depuis 2017, dénoncent les menaces faites par le repreneur qui est dans la dynamique de mettre fin à sa collaboration avec certains parmi les agents dénonciateurs. La section FRAPP de Ziguinchor venue apporter son soutien à ces agents de sécurité invite la direction de l’université à rappeler à l’ordre le "repreneur".
"Nous avons l’impression que la situation de ces agents n’est pas une priorité pour les autorités notamment celle de l’université. Nous demandons le rétablissement de cette injustice", peste Cheikh Sy, de FRAPP Ziguinchor.
Autres doléances soulevées, la couverture maladie, le versement social et une police universitaire, voilà des équations de plus qui préoccupent ces agents qui espèrent un dénouement heureux de cette situation qui hante leur quiétude.
"Depuis qu’il a gagné le marché de la gestion de la sécurité, il n’a respecté aucun engagement. Il a promis un salaire de 90.000 Fr chose qu’il n’a pas faite, il paie plutôt 50.000 F Cfa, chaque mois. Depuis novembre dernier, nous constatons des retards dans le paiement. Nous interpellons les autorités compétentes à réparer cette injustice que nous subissons", a martelé Adama Diémé porte parole du jour, qui poursuit en ces termes " Nous sommes restés deux mois sans percevoir nos salaires et depuis 17 ans aucun agent de sécurité n’a eu d’avancement de statut".
Ces travailleurs, dont la plupart y sont depuis 2017, dénoncent les menaces faites par le repreneur qui est dans la dynamique de mettre fin à sa collaboration avec certains parmi les agents dénonciateurs. La section FRAPP de Ziguinchor venue apporter son soutien à ces agents de sécurité invite la direction de l’université à rappeler à l’ordre le "repreneur".
"Nous avons l’impression que la situation de ces agents n’est pas une priorité pour les autorités notamment celle de l’université. Nous demandons le rétablissement de cette injustice", peste Cheikh Sy, de FRAPP Ziguinchor.
Autres doléances soulevées, la couverture maladie, le versement social et une police universitaire, voilà des équations de plus qui préoccupent ces agents qui espèrent un dénouement heureux de cette situation qui hante leur quiétude.
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