Certes, nous intervenons dans un débat qui, pour moi et bon nombre de citoyens d’ailleurs, pour la forme n’en vaut pas la chandelle. Mais, dans le fond, il a retenu notre attention à cause de notre engagement à faire sortir notre cher Pays de l’impasse qui perdure. L’on constate dans l’opposition en général, plusieurs tentatives de rassemblement des forces vives, démocratiques de la nation n’aboutirent pas, elles se disloquèrent pour plusieurs raisons dont les velléités de leadership. Et dans ce sillage, Benno Siggil Sénégal (BSS) dont les conséquences de l’orientation politique hypothèquent dangereusement l’espoir du peuple et l’avenir de toute la nation, n’est pas en reste bien que regroupant les partis de l’opposition dite classique. Le soulèvement populaire du 23 Juin dernier doit être compris comme un acte d’émergence d’un leadership nouveau de l’opposition qui se doit de fédérer et d’organiser. Au sein de Benno Siggil Senegal (BSS), le temps n’est pas d’asseoir une autorité sur les siens, mais de comprendre surtout le cadre politique rénové par le peuple qui s’est montré précautionneux et exigeant pour tout leader qui prétend diriger le pays. Donc les leaders, dans leur ensemble sont dans l’obligation de répondre aux vœux d’un peuple.
Le climat politique actuel à l’approche des élections présidentielles de 2012 est extrêmement pesant. Dans ce contexte particulier ou l’incertitude, la méfiance et l’inquiétude surgissent de toutes parts, le peuple sénégalais paie un lourd tribut à la cupidité ainsi qu’à l’avidité de ces opposants qui s’opposent entre eux et qui resteront dubitatif quant à leur avenir politique. Les heures sombres que vivent actuellement les leaders de Benno ne constituent qu’un cynisme politique qui ne cesse de hanter l’esprit des citoyens. A ce stade, la vigilance du peuple est encore de mise.
De ces dialogues infructueux, l’unique et récursif enseignement à tirer, demeure la constante de la mauvaise foi et de la scélératesse à l’esprit patriotique du peuple sénégalais, qui s’adosse à un duel sans merci entre deux hommes bien servis dans le passé et aussi liés par l’histoire politique. Ousmane Tanor DIENG et Moustapha NIASSE devraient dans une ultime unité au moins de circonstance accorder leurs violons pour porter le flambeau du désir de changement exprimé par les sénégalais. Et malgré tout, ils s’apparentent à une action urgente entreprise dans le désarroi. A la consultation générale des partis regroupes au sein de Benno Siggil Sénégal, Tanor n’a aucune représentativité, s’il n’est une « création de Diouf », ni la capacité à tenir son rang face a la tournure des événements qu’il a de plus en plus du mal à gérer. Il a été mis en place, cette fois-ci au banc des accuses pour une bonne conscience de l’opinion dont certains témoigneront aux audiences publiques en cours de sa gestion si biaisée des affaires de l’Etat d’alors. Sa stratégie pour le pouvoir en effroi est simple. C’est bien la même que celle d’avant l’alternance de mars 2000 que le peuple a balaye d’un coup d’effort. L’idée républicaine, tant défendue par Tanor en honneur à sa fidélité et son conservatisme socialiste, est derrière la conception de toutes les dictatures en Afrique. Ce qui traduit une trahison permanente dans une culture politique dominée par la personnalisation. Il n’est pas incontestablement le plus ruse, il se meut dans l’adversité nuisible pour pouvoir mettre en place une véritable « politique du changement ». Il manque à cet homme, pour être le meilleur, qu’une volonté de l’esprit plus conforme à la volonté générale. Et à la lumière des expériences du passe et de ce qui précède, Ousmane Tanor DIENG aura toutes les raisons de croire à un nouveau souffle. Il s’est engagé malgré lui dans un chemin sans retour, mais c’est un impératif devoir pour lui de suivre sans hésiter l’idéal convergent des forces vives du changement notamment Benno.
En conséquence la situation désespérée de la population n’autorise aucune hésitation, et il importe donc au rang de la conduite à tenir que les partis politiques véritablement engagés dans la lutte pour le changement taisent pour une fois leurs divergences et privilégient la voix de l’unité. Tout autre qu’un accord dans ce sens consacrera le point de non retour de la mauvaise foi caractérisée des leaders de l’opposition et déterminera le peuple souverain à prendre son destin en mains. Il appartient des lors aux forces du changement démocratique, de jouer les grands rôles dans un esprit commun qui jalonne l’initiative de la volonté populaire, de rassurer le peuple par leur unité pour arracher le pouvoir des mains des libéraux qui symbolisent à l’heure la honte, l’indignation de toutes les franges de la population. A qui veut l’entendre, nous n’avons d’idéologies à mettre en exergue, mais bien des défis à relever face à la situation chaotique que vivent les sénégalais. C’est le seul message du peuple face aux protagonistes pouvoiristes que rien ne pourrait bafouer sa souveraineté. Et le peuple est fatigué, il ne faut pas le pousser à bout.
Le climat politique actuel à l’approche des élections présidentielles de 2012 est extrêmement pesant. Dans ce contexte particulier ou l’incertitude, la méfiance et l’inquiétude surgissent de toutes parts, le peuple sénégalais paie un lourd tribut à la cupidité ainsi qu’à l’avidité de ces opposants qui s’opposent entre eux et qui resteront dubitatif quant à leur avenir politique. Les heures sombres que vivent actuellement les leaders de Benno ne constituent qu’un cynisme politique qui ne cesse de hanter l’esprit des citoyens. A ce stade, la vigilance du peuple est encore de mise.
De ces dialogues infructueux, l’unique et récursif enseignement à tirer, demeure la constante de la mauvaise foi et de la scélératesse à l’esprit patriotique du peuple sénégalais, qui s’adosse à un duel sans merci entre deux hommes bien servis dans le passé et aussi liés par l’histoire politique. Ousmane Tanor DIENG et Moustapha NIASSE devraient dans une ultime unité au moins de circonstance accorder leurs violons pour porter le flambeau du désir de changement exprimé par les sénégalais. Et malgré tout, ils s’apparentent à une action urgente entreprise dans le désarroi. A la consultation générale des partis regroupes au sein de Benno Siggil Sénégal, Tanor n’a aucune représentativité, s’il n’est une « création de Diouf », ni la capacité à tenir son rang face a la tournure des événements qu’il a de plus en plus du mal à gérer. Il a été mis en place, cette fois-ci au banc des accuses pour une bonne conscience de l’opinion dont certains témoigneront aux audiences publiques en cours de sa gestion si biaisée des affaires de l’Etat d’alors. Sa stratégie pour le pouvoir en effroi est simple. C’est bien la même que celle d’avant l’alternance de mars 2000 que le peuple a balaye d’un coup d’effort. L’idée républicaine, tant défendue par Tanor en honneur à sa fidélité et son conservatisme socialiste, est derrière la conception de toutes les dictatures en Afrique. Ce qui traduit une trahison permanente dans une culture politique dominée par la personnalisation. Il n’est pas incontestablement le plus ruse, il se meut dans l’adversité nuisible pour pouvoir mettre en place une véritable « politique du changement ». Il manque à cet homme, pour être le meilleur, qu’une volonté de l’esprit plus conforme à la volonté générale. Et à la lumière des expériences du passe et de ce qui précède, Ousmane Tanor DIENG aura toutes les raisons de croire à un nouveau souffle. Il s’est engagé malgré lui dans un chemin sans retour, mais c’est un impératif devoir pour lui de suivre sans hésiter l’idéal convergent des forces vives du changement notamment Benno.
En conséquence la situation désespérée de la population n’autorise aucune hésitation, et il importe donc au rang de la conduite à tenir que les partis politiques véritablement engagés dans la lutte pour le changement taisent pour une fois leurs divergences et privilégient la voix de l’unité. Tout autre qu’un accord dans ce sens consacrera le point de non retour de la mauvaise foi caractérisée des leaders de l’opposition et déterminera le peuple souverain à prendre son destin en mains. Il appartient des lors aux forces du changement démocratique, de jouer les grands rôles dans un esprit commun qui jalonne l’initiative de la volonté populaire, de rassurer le peuple par leur unité pour arracher le pouvoir des mains des libéraux qui symbolisent à l’heure la honte, l’indignation de toutes les franges de la population. A qui veut l’entendre, nous n’avons d’idéologies à mettre en exergue, mais bien des défis à relever face à la situation chaotique que vivent les sénégalais. C’est le seul message du peuple face aux protagonistes pouvoiristes que rien ne pourrait bafouer sa souveraineté. Et le peuple est fatigué, il ne faut pas le pousser à bout.
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