Les vrais enjeux qui ont defait le President Wade ne sont rien d'autres que la manque de consideration aux souffarance du bas peuple, qui n'avait ni voix, car ceux qui devaient parler en son nom se sont autoproclamés deputes d'Abdoulaye Wade, ni bras armé, car ceux qui devaient le défendre, se sont assimilés a ses boureaux quotidiens, les élites religieuses, notamment.
Avec ce geste, le Président Macky Sall, vient réellement de prendre la mesure des attentes du peuple, que l'on aime a nommer souverain, qui en fait, par la realite des circonstances, n'est qu'esaclave qui soublit. Ce pays n'a pas besoin d'autant de politiciens (de gens qui ne vivent de politiques), mais de travailleurs devoués, engagés et ayant une éthique réelle de leur responsabilité vis-a-vis de ceux peuple, pour qui, ils disent représenter.
J'ai l'habitude de dire a mes interlocuteurs, on ne manque pas de moyens, mais plutot c'est la définition des priorités qui nous fait défaut. On n'a pas le sens dela priorité de nos besoins ni de l'opportunité de nos actions, mais les moyens sont bien là.
Il est était temps de marquer cette rupture tant attentue. Comme l'adage le dit - mieux vaut tard que jamais- Et il faut la saluer a sa juste valeure. Cette institution, le Sénat, n' jamais montre sa nécesssite dans l'architectre administrative du pays. Au contraire, il ne servait qu'a caser des la clientele politique en manque de repere. Sa structuration a ete aussi completement devoye par le president Wade, qui en s'engageant avant l'alternance de 2000 de le supprimer, est revenu sur sa parole en le fagocytant d'une maniere éhontée et irresponsable, avce 65 sénateurs sur 100, nommes par le lui, alors que la seconde personnalite de l'Etat se retrouve non elue, mais nomme par le président, en occurrence le président du Senat, une aberration dans un Etat qui s'autoproclammé democratique, les elus du peuples sont moins que rien que les personnalité choisies et désignées par le président de la République.
Cet acte courageux doit certes etre salue a sa juste valeure, toutefois, il devra etre compris comme la ligne rouge de demarcation de l'orientation attendue par le peuple depuis cette seconde alternance apres 12 annes de derives, de laxisime, de nepotisme et de gabegie des deniers publics par le regime Wade. Le président Macky Sall, doit savoir qu'il sera le seul comptable devant le peuple Senegalais. Il n'a pas était élu pour satisfaire aux désidratats d'une clientele politique sans importane réelle pour l'amelioration des conditions de vie de la population, mais en mission pour ce peuple, comme il l'a lui-meme, souligne dès ses premiers jours de prise de pouvoir. Et cela ne doit pas etre seulement un discours du bout des levres, mais traduit dans le concret de ses actes qu'il posé chaque jour, comme il vient de l'administré, a travers cette suppression du Sénat, une institution impopulaire, inutile et budgétivoire.
Donc bravo pour cet acte courageux, mais la rupture doit encore etre, monsieur le Président, plus marquée.
Djibril DIOP
Coordinateur du CRASC
Avec ce geste, le Président Macky Sall, vient réellement de prendre la mesure des attentes du peuple, que l'on aime a nommer souverain, qui en fait, par la realite des circonstances, n'est qu'esaclave qui soublit. Ce pays n'a pas besoin d'autant de politiciens (de gens qui ne vivent de politiques), mais de travailleurs devoués, engagés et ayant une éthique réelle de leur responsabilité vis-a-vis de ceux peuple, pour qui, ils disent représenter.
J'ai l'habitude de dire a mes interlocuteurs, on ne manque pas de moyens, mais plutot c'est la définition des priorités qui nous fait défaut. On n'a pas le sens dela priorité de nos besoins ni de l'opportunité de nos actions, mais les moyens sont bien là.
Il est était temps de marquer cette rupture tant attentue. Comme l'adage le dit - mieux vaut tard que jamais- Et il faut la saluer a sa juste valeure. Cette institution, le Sénat, n' jamais montre sa nécesssite dans l'architectre administrative du pays. Au contraire, il ne servait qu'a caser des la clientele politique en manque de repere. Sa structuration a ete aussi completement devoye par le president Wade, qui en s'engageant avant l'alternance de 2000 de le supprimer, est revenu sur sa parole en le fagocytant d'une maniere éhontée et irresponsable, avce 65 sénateurs sur 100, nommes par le lui, alors que la seconde personnalite de l'Etat se retrouve non elue, mais nomme par le président, en occurrence le président du Senat, une aberration dans un Etat qui s'autoproclammé democratique, les elus du peuples sont moins que rien que les personnalité choisies et désignées par le président de la République.
Cet acte courageux doit certes etre salue a sa juste valeure, toutefois, il devra etre compris comme la ligne rouge de demarcation de l'orientation attendue par le peuple depuis cette seconde alternance apres 12 annes de derives, de laxisime, de nepotisme et de gabegie des deniers publics par le regime Wade. Le président Macky Sall, doit savoir qu'il sera le seul comptable devant le peuple Senegalais. Il n'a pas était élu pour satisfaire aux désidratats d'une clientele politique sans importane réelle pour l'amelioration des conditions de vie de la population, mais en mission pour ce peuple, comme il l'a lui-meme, souligne dès ses premiers jours de prise de pouvoir. Et cela ne doit pas etre seulement un discours du bout des levres, mais traduit dans le concret de ses actes qu'il posé chaque jour, comme il vient de l'administré, a travers cette suppression du Sénat, une institution impopulaire, inutile et budgétivoire.
Donc bravo pour cet acte courageux, mais la rupture doit encore etre, monsieur le Président, plus marquée.
Djibril DIOP
Coordinateur du CRASC
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