Par un communiqué transmis à la rédaction de Dakaractu, la Fédération nationale des Boutiques pour la modernisation ( FNBM) a tenu à " interpeller l’État sur la hausse préoccupante des prix du sucre et de l’huile sur le marché. Nous constatons que lorsque les prix des produits de base, comme le sucre ou l’huile, diminuent, l’État intervient rapidement pour informer le peuple de cette baisse, ce qui est une bonne initiative. Cependant, il est tout aussi essentiel que l’État communique et prenne des mesures lorsque ces prix augmentent de manière significative", a-t-on indiqué.
La fédération fait constater qu'actuellement " le sac de sucre est vendu à 29 500 FCFA, avec un risque d’atteindre 31 000 FCFA si des actions ne sont pas prises rapidement. De même, l’huile est actuellement vendue entre 21 500 et 22 000 FCFA, ce qui rend difficile le respect des prix homologués. Ces hausses impactent directement le pouvoir d’achat des consommateurs et la viabilité des commerçants. À chaque approche du ramadan, nous observons ce genre de situations. Il est impératif que des mesures anticipatives soient prises pour éviter que ces hausses ne se reproduisent à des périodes aussi sensibles".
La FNBM d'appeler " le ministre du Commerce à inviter les différents acteurs économiques à une concertation afin de prendre des décisions importantes et durables. Nous insistons sur la transparence dans la communication des mesures prises afin de maintenir la confiance entre l’État, les commerçants et les consommateurs". " Enfin, nous réitérons notre appel à l’État pour qu’il assume pleinement son rôle en informant la population de cette situation critique et en agissant pour stabiliser les prix. Tout comme il est important de célébrer une baisse des prix, il est primordial de reconnaître les hausses et de chercher activement des solutions".
La fédération fait constater qu'actuellement " le sac de sucre est vendu à 29 500 FCFA, avec un risque d’atteindre 31 000 FCFA si des actions ne sont pas prises rapidement. De même, l’huile est actuellement vendue entre 21 500 et 22 000 FCFA, ce qui rend difficile le respect des prix homologués. Ces hausses impactent directement le pouvoir d’achat des consommateurs et la viabilité des commerçants. À chaque approche du ramadan, nous observons ce genre de situations. Il est impératif que des mesures anticipatives soient prises pour éviter que ces hausses ne se reproduisent à des périodes aussi sensibles".
La FNBM d'appeler " le ministre du Commerce à inviter les différents acteurs économiques à une concertation afin de prendre des décisions importantes et durables. Nous insistons sur la transparence dans la communication des mesures prises afin de maintenir la confiance entre l’État, les commerçants et les consommateurs". " Enfin, nous réitérons notre appel à l’État pour qu’il assume pleinement son rôle en informant la population de cette situation critique et en agissant pour stabiliser les prix. Tout comme il est important de célébrer une baisse des prix, il est primordial de reconnaître les hausses et de chercher activement des solutions".
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